background preloader

Intelligence collective

Intelligence collective
L'organisation matricielle, véritable révolution copernicienne du management permet enfin d'associer les talents dans nos entreprises. L'enjeu ? Favoriser l'innovation, véritable levier de croissance et d'engagement. L’histoire explique l’actualité et est source d’inspiration pour l’avenir. Alors rappelons-nous que le management existe depuis des milliers d’années et plus loin encore. Le management matriciel Une structure matricielle repose sur le principe de dualité au niveau du contrôle et de la gestion. L’intelligence collective Ce modèle réunit des salariés compétents et intéressés vers un objectif commun – bref des talents différents et opportunistes – choisis pour leurs compétences et leurs talents respectifs et non pour leur emploi. De la coopération vers la collaboration Les salariés installés pour un enjeu collectif dans un nouvel environnement s’attachent aux résultats plus qu’aux moyens, plus qu’aux affects, plus qu’aux intérêts politiques et individuels. Related:  Management

Le bien-vivre au travail, premier défi de l’entreprise intelligente L’information n’a pas obtenu toute l’attention qu’elle méritait. Une étude publiée dans la revue médicale International Archives of Occupational and Environmental Health a établi que « le chômage tuerait entre 10 000 et 20 000 personnes par an en France ». Voilà de quoi remettre en cause de nombreuses idées reçues et nous inciter à changer de regard sur le monde du travail au XXIème siècle. Ces résultats rappellent que la bataille pour l’emploi doit être une priorité. Ils soulignent aussi que le travail représente bien davantage qu’une source de revenus. Comme l’ont observé nombre de psychologues et de sociologues, il est aussi une indispensable source de bien-être et de plaisir. Créer des emplois de qualité Ce constat vient souligner que la première responsabilité sociale des entreprises consiste non seulement à créer des emplois, mais des emplois de qualité permettant à ceux qui les occupent d’y trouver des voies d’accomplissement et des motifs de fierté.

Les 7 points qui différencient une entreprise libérée d’une organisation classique Chroniques d’experts Organisation Le 28/05/2015 Temps de lecture : 8 minutes Identifier les sept points communs des entreprises libérées permet de comprendre, en creux, ce qui peut dysfonctionner dans les organisations traditionnelles. Quel que soit le domaine ou le secteur d’activité dans lequel elles évoluent, les entreprises libérées ont des points communs. 1. La souffrance au travail a un coût : le coût du stress a été évalué à 3,8 % du PIB par des études européennes, soit entre 3 et 3,5 millions de journées de travail perdues. 2. Incarner une vision et la faire partager à ses collaborateurs : si cela était courant dans les entreprises familiales et paternalistes de la période préindustrielle, les dirigeants d’aujourd’hui sont tout aussi volatiles que les investisseurs. 3. Pour maintenir la cohésion au sein d’un collectif de travail, il ne suffit pas d’afficher des valeurs telles qu’on peut le voir dans les chartes d’entreprise. 4. 5. C’est le leitmotiv de toutes les entreprises. 6. 7.

LE BONHEUR AU TRAVAIL :  DE LA PROPOSITION DE REVE AU RISQUE D’INJONCTION A ETRE | Metavision Dans la droite ligne de la mode de la libération des entreprise ou de la pleine conscience, on voit surgir une nouvelle proposition : Le bonheur au travail. L’irruption, ou devrions nous dire l’éruption, de ces propositions sonne comme des promesses d’avenir radieux mais peuvent parfois être transformées en des injonctions cachées d’un système économique en réorganisation permanente et qui tente d’amener les individus à compenser individuellement les problèmes que ce même système génère. La proposition du bonheur mérite d’être examinée car qui refuserait une telle proposition ? La référence à Spinoza tente de placer le débat dans le champ philosophique. C’est certainement une nécessité car le bonheur est bien une question de philosophie. La référence à Spinoza peut porter à une certaine confusion : Spinoza parle de joie plutôt que de bonheur. Magda Hollender nous montre comment l’environnement ne détermine pas toujours l’état interne de l’individu. Soyez libre ! [1] Voir les articles:

L’innovation managériale comme levier de confiance pour HCL | Le blog Nicomak L'organisation : HCL Dans ce billet, j’aimerais vous parler de HCL, une société de services en informatique. Basée en Inde, elle évoluait dans le domaine des TI (Technologies de l’Information) avec un chiffre d’affaire de 700 millions de dollars et 30.000 employés en 2005. A cette époque, cela faisait déjà 5 ans que l’entreprise connaissait une croissance annuelle de 30%. C’est un chiffre respectable, mais pas suffisant pour suivre le rythme imposé par ses concurrents. La question qui se posa à ce moment : Comment passer à la vitesse supérieure en terme de croissance ? Vineet Nayar, tout fraichement arrivé au poste de CEO, était convaincu du potentiel des salariés à résoudre cette problématique : Revolutions don’t usually start with the monarchy (ndl : Les révolutions ne commencent pas d’habitude par la monarchie) La problématique de HCL Vineet a compris qu’une équipe créative et hautement engagée peut être un atout majeur pour solutionner les problématiques noueuses de ses clients. Le projet

La coopération en mode matriciel : risques et bonnes pratiques | Performance collective Les organisations matricielles, séduisantes sur le papier, portent les germes de nombreux dysfonctionnements : dilution des responsabilités, alourdissement des processus de décision, bureaucratie galopante … Un client nous a demandé d’accompagner la transition de son entreprise vers un mode matriciel (inévitable du fait de la mutualisation des fonctions support sous forme de shared services) en donnant aux collaborateurs des clés pour bien coopérer. Je décris ici notre apport. La principale difficulté de la coopération dans une organisation matricielle est de maintenir un rapport "gagnant / gagnant" entre les équipes de l’axe horizontal (dans notre exemple la fonction support) et celles de l’axe vertical (la fonction business) Le rapport "gagnant / gagnant" … et les autres ! Dans l’excellent modèle des "positions de vie" de l’analyse transactionnelle, avoir un rapport gagnant / gagnant correspond à une relation "++". Je suis "–" quand je considère … qu’aucun des deux n’est à la hauteur !

Pourquoi les salariés n'aiment plus leur bureau Gros malaise entre l’open space, la machine à café et le photocopieur… les Français ne supportent plus l’aménagement de leurs espaces de travail. Ils sont 43% à le dire, contre 31% dans le monde (sources : chaire immobilier et développement durable de l’ESSEC, UK Green Building Council, baromètre Actinéo sur la qualité de vie au bureau, édition 2013). Portes ouvertes ou fermées, lieux de réunions systématiquement sans fenêtres, escaliers glauques, fumeurs éjectés, néons sans âme, mobilier à roulettes, confort thermique et acoustique aléatoires, coupure avec le milieu naturel, cloisonnement anarchique (« Pourquoi lui a un bureau, et pas moi ? Un impact direct sur la motivation Une architecture moderne obsédée par sa vision fonctionnelle, éloignée de l’usager Au fil des siècles, tant bien que mal, l’homme a su adapter son espace de travail à ses besoins. Les moines du Moyen Age travaillaient debout et en silence ; une concentration en forme de droiture personnelle.

Management : 6 leçons des philosophes Ils nous invitent à nous connaître nous-même, à douter de nos certitudes, à aimer les autres, à avoir du courage… Pour bien diriger et encadrer une équipe, inspirons-nous des philosophes ! Souvent à contre-courant des idées reçues sur le leadership, les pensées de Platon, Descartes ou encore Kant, sont un atout précieux pour développer une véritable philosophie managériale et poser les bases d’un management humaniste. Leçon de philo appliquée à la vie en entreprise avec Patrick Errard, auteur de La philosophie au secours du management. Margaux Rambert Sommaire A découvrir Les idées à retenir « Connais-toi toi-même », de Socrate et « Cogito ergo sum » - « Je pense donc je suis » -, de Descartes. « Qui est-on, avant d’être manager ? L’idée reçue : « Evoluer dans sa carrière, c’est devenir manager. Le décryptage de Patrick Errard« En France, l’évolution de carrière est essentiellement basée sur une culture méritocratique. En pratique : « Pourquoi suis-je manager ou ai-je envie de le devenir ?

Leadership appréciatif Initialement introduit par Srivastva et Cooperrider (1987), le leadership appréciatif est basé sur les fondamentaux du constructivisme social. Le leadership appréciatif se concentre à comprendre, à apprendre et à s'appuyer sur ce qui fonctionne plutôt que ce qui ne va pas dans le milieu du travail. Il apprend à chaque individu dans la société à être des leaders, à s'apprécier comme leaders dirigeants, à explorer les conditions qui donnent cette idée et cette énergie pour imaginer son avenir en tant que leader. Selon la définition du mot apprécier, il existe 4 façons de définir ce mot. En premier, apprécier représente l'acte de reconnaître le meilleur chez les gens ou le monde autour de soi. Le coeur du leadership appréciatif En 2010, Diana Whitney, Amanda Trosten-Bloom et Kae Rader ont élaboré une stratégie de leadership appréciatif qui tourne autour de 5 énergies potentielles et positives pour atteindre des résultats performants : Le leadership appréciatif est épistémique Bibliographie

Related: