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Plaisir au travail: 3 solutions pour les cadres qui ont le blues

Plaisir au travail: 3 solutions pour les cadres qui ont le blues
J’ai répondu aux questions de Gaëlle Picut pour le Monde sur le thème du blues des cadres, de plus en plus éprouvés par les conditions difficiles dans lesquelles ils doivent exercer non seulement leur métier, mais aussi leur fonction. Au delà du constat sinistre, voici trois pistes pour ceux qui veulent revenir aux commandes de leur vie professionnelle. Dans cet article en forme de sonnette d’alarme, Philippe Rodet, Philippe Zawieja, chercheur et auteur du livre Le Burnout (PUF), Denis Monneuse, auteur du livre Le silence des cadres (Vuibert) et moi-même nous accordons à dire que la situation des cadres et managers se dégrade à une vitesse inquiétante sans que les entreprises semblent s’en préoccuper outre mesure. Ce qui se traduit par une explosion des burnouts et une démotivation galopante. Au delà du constat sinistre, quelles solutions pour les cadres à bout de souffle? The working dead: zombies de boulot et management biohasardeux En attendant le burnout 2- Se mettre au job crafting Related:  Coaching Développement persoBien-être au travail

Job crafting: devenir l’artisan de son propre plaisir au travail Le job crafting consiste à mettre les doigts dans le cambouis d’un job imparfait pour le mettre à sa main et le rendre plus agréable et satisfaisant. Au prix d’un peu d’exploration, d’huile de coude et au bénéfice d’un quotidien professionnel remodelé, pimenté, amélioré, devenir l’artisan de son propre plaisir au travail est bénéfique à plus d’un titre. Décodage d’une pratique jubilatoire! Le job crafting consiste à façonner son travail par soi-même, dans plusieurs de ses dimensions, de manière à le mettre à sa main et y trouver davantage de plaisir, d’engagement, de motivation, de résilience, de satisfaction. Les Job crafters peuvent modifier les contours de leur poste de bien des manières, comme le souligne cette étude de l’Université du Michigan What is Job Craftin and Why does it Matter?: L’artisan, c’est celui qui met les mains dans sa matière première, qui la sculpte, qui la modèle, qui la transforme, qui l’agence en choisissant à chaque fois l’outil adapté à ses besoins.

10 petites choses qui mettent de bonne humeur au travail Il y a suffisamment de petites choses qui agacent, qui fatiguent ou qui inquiètent au boulot pour se pourrir consciencieusement le moral. D’ailleurs, on en parle beaucoup, on s’en agace beaucoup, on se fatigue beaucoup etc. Mais quid de ce qui fait du bien, de ce qui met de bonne humeur ? Une multitude de petits choses peuvent nous mettre de bonne humeur, pour peu qu’on les regarde. Les abrutis de service, le matériel défectueux ou obsolète, le chauffage en rideau (ou en grève du zèle), les mauvaises odeurs, qu’elles viennent de la cantine ou du voisin de bureau, l’informatique à activation aléatoire, le manque de lumière, de verdure, d’intimité bref, la consternante liste des petites choses désagréables est aussi longue qu’un dimanche de novembre chez Tante Simone. Dont acte. Alors prenons joyeusement le contre-pied de ces petites choses qui nous mettent de mauvaise humeur au travail: penchons-nous sur les petites choses qui alimentent la bonne et dont nous pouvons nous réjouir.

Plaisir au travail: comment c'est possible - OSER changer Plaisir au travail… bonheur au travail… Que voilà des mots qui, pour plusieurs, ne vont pas ensemble. Et pourtant, c’est possible quand certains besoins importants sont satisfaits. Qu’est-ce qui vous procure de la satisfaction au travail? Quelles sont vos sources de motivation? Certains répondront que le plaisir au travail, c’est d’avoir une marge de manoeuvre, de pouvoir prendre des initiatives. Pour plusieurs, le bonheur au travail, c’est se retrouver avec des collègues, échanger avec eux, rencontrer des personnes intéressantes. Chacune de ces réponses souligne un des sept besoins dont la satisfaction assure notre motivation au travail, et même notre plaisir au travail. Le confort Nous avons tous besoin d’une zone de confort, c’est la base. Quand des changements importants surviennent dans l’organisation du travail, c’est cette zone de confort qui est menacée. La question à vous poser ici: Jusqu’à quel point suis-je confortable dans mon travail? La variété Être reconnu, valorisé

Bonheur au travail : que faire quand on n’est pas salarié d’une entreprise libérée Aaah, papillonner avec un bonheur serein et une efficacité radieuse de tâche en tâche, de réunion en projet collaboratif, de déjeuner d’affaires en déconnexion décomplexée, dans une entreprise où l’on a compris la singularité des besoins professionnels judicieusement remis au cœur du système… le rêve. Seulement voilà, votre quotidien, c’est plutôt contraintes, flicage, pression et manque de reconnaissance. Pas de panique, vous pouvez vous libérer du manque de plaisir en entreprise ! Selon le reportage sur le bonheur au travail de Martin Meissonnier, sorti en 2015, seuls 11% des gens sont heureux d’aller au travail. Face à ce sinistre constat, plusieurs attitudes sont possibles, qui vont avoir un impact direct sur, justement la possibilité d’aller vers davantage de plaisir au travail. Les vieilles méthodes ont la peau dure et votre entreprise ne va vous libérer du déplaisir au travail en 48h chrono. 1- Définir le job idéal Le job idéal, une réalité à inventer? 2- Passer au job crafting

30 choses que vous devez commencer à faire pour vous-même Marc et Angel sont les auteurs de « 1000 petites choses que les gens heureux réussissent à faire différemment. Voici leur liste incroyable de 30 choses qu’il faut commencer à faire pour vous-même. N’hésitez pas à visiter leur site pour avoir des conseils et des astuces pour avoir plus d’inspiration dans votre vie (site en anglais). 1) Passez du temps avec les bonnes personnes. 2) Affrontez vos problèmes de face. 3) Commencez à être honnête avec vous-même.Soyez honnête avec tout ce qui est juste et bien, ainsi qu’avec tout ce qui doit être changé. 4) Faites de votre propre bonheur une priorité. 5) Soyez vous-même, véritablement, fièrement. 6) Vivez au présent. 7) Apprenez les leçons de vos erreurs. 8) Soyez plus poli avec vous-même. 9) Profitez des choses que vous avez déjà. 10) Créez votre propre bonheur. 11) Donnez une chance à vos idées et vos rêves. 12) Pensez que vous êtes prêt pour la prochaine étape. 13) Commencez de nouvelles relations pour de bonnes raisons. Crédits: lifebuzz.com

Pour s'épanouir au travail, il faut "faire confiance à l'intelligence" Famille, argent, sexualité, enfants... Vos patients parlent-ils aussi de leur travail de temps en temps? Je suis frappée par la place importante, centrale même, que ce thème occupe dans leurs récits. Le plus souvent, ils évoquent une absence de sens, un manque douloureux de cohérence entre leur être et le modèle qu'on leur impose. J'entends des mots très durs : hiérarchie vexatoire, humiliations, précarisation, menaces permanentes et diffuses de licenciement, placardisation... Tout de même, le travail peut aussi être synonyme de liberté... Oui, mais cette idée est relativement récente. >> Gros plan sur le bonheur au travail avec L'Express et Arte >> Heureux au travail? >> Découvrez dans quels pays vous seriez le plus heureux au travail Selon vous, l'idée que le travail participe à l'épanouissement personnel est une "supercherie intellectuelle". Quelles solutions proposez-vous? Il faut laisser aux salariés la responsabilité de définir leur fonction en faisant confiance à leur intelligence.

Analyse Transactionnelle : test de personnalite, bilan de competence, relations interpersonnelles Pas de bien-être sans bien-faire. Primo Levi, dans ce maître livre qu’est La Clef à molette, soumet une hypothèse au lecteur : on peut définir la liberté de bien des façons « mais peut-être que le genre de liberté le plus accessible, le plus goûté subjectivement et le plus utile à l’homme, coïncide avec le fait d’être compétent dans son propre travail, et donc avec le fait de l’exécuter avec plaisir ». Il fait dire à son personnage : « Je crois vraiment que pour vivre heureux il faut forcément avoir quelque chose à faire, mais pas quelque chose de trop facile, ou bien quelque chose à désirer, mais pas un désir en l’air, quelque chose qu’un type ait l’espoir d’y arriver ». Quelque chose qui rende le travail digne d’être vécu, quelque chose qui, dans le réel, mérite qu’on se donne la peine de vivre. Cet éloge des plaisirs de l’effort désirable n’est pas l’apanage de l’écrivain. Il est difficile d’y mettre du sien quand le « bien-faire » devient superflu ou méprisé.

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