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Jusqu’où écrire pour Google

Jusqu’où écrire pour Google
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Publicité en ligne : Google peut-il cumuler les métiers Sergey Brin et Larry Page observèrent avec intérêt le système mis au point par Bill Gross, et lancèrent le service AdWords au début de l’année 2002, en reprenant les principes développés par Bill Gross : liens sponsorisés et coût par clic. Cependant, Sergey Brin et Larry Page décidèrent de séparer dans les résultats du moteur les liens sponsorisés des liens dits « naturels » (c’est-à-dire générés sans contrepartie financière). Tandis que ces derniers occuperaient la gauche de la page, les liens sponsorisés occuperaient deux encarts clairement identifiés en haut et à droite. Ainsi, Google établissait une séparation stricte entre les deux types de liens, tout en conservant l’idée de faire des liens sponsorisés une réponse au besoin d’information exprimé par l’internaute, au même titre que les liens naturels. Les annonceurs clients d’AdWords paramètrent une enchère pour un mot-clé qu’ils choisissent. En plus de cette activité de vente directe, Google joue un rôle d’intermédiaire.

Touché par la foudre, un data center de Google perd des données Ce n’est pas commun. Mais visiblement pas inévitable. Le 13 août, les data centers européens de Google situés à Saint-Ghislain, en Belgique, ont connu des défaillances en raison d’un orage. Le site de Google à Saint Ghislain, en Belgique (Google) Le réseau d’électricité local a en effet été frappé quatre fois par la foudre, explique l’entreprise américaine sur son site dédié aux incidents qui touchent son infrastructure, entraînant une « courte panne de courant » dans l’entrepôt où Google stocke les données de ses clients professionnels, qui paient pour avoir de l’espace (oui, ça existe). Panne qui a elle-même causé la perte d’informations : « Dans presque tous les cas, les données ont été transférées avec succès vers un lieu de stockage stable, bien qu’une intervention humaine ait été requise afin de remettre les systèmes à leur état de marche normal. Sans compter qu’aucune mention n’y est faite d’éventuelles sauvegardes de secours qui auraient pu sauver la mise des clients de Google.

Le jour où Google est devenu cyberpunk LE MONDE | • Mis à jour le | Par Damien Leloup Ce 10 août, Google est devenu Alphabet. Une opération stratégique en forme de changement de nom : Google va continuer d’exister, mais ne sera plus qu’une filiale d’Alphabet, une holding qui chapeautera le moteur de recherche et tous ses produits liés, mais aussi une myriade d’autres sociétés travaillant à des projets futuristes. Dans les années 1980, l’auteur de science-fiction William Gibson a remis au goût du jour un vieux mot japonais pour désigner de gigantesques conglomérats dont les produits envahissent la vie quotidienne et dominent le monde : zaibatsu. Google – pardon, Alphabet – incarne ces zaibatsu. Comme certains zaibatsu cyberpunks, Google a aussi sa vision du monde. Changer le monde Reste le cas particulier des deux fondateurs de Google, Sergey Brin et Larry Page, qui ne cachent pas leur volonté d’aller bien plus loin que la « simple » accumulation de milliards de dollars.

(Recherche)>Questionner le digital labor au prisme des émotions (et vice versa) D’un côté : la manipulation des émotions par Facebook, un article sur la viralité des émotions (Guerini & Staiano, 2015), le dossier de la Harvard Business Review consacré aux émotions dans le marketing et le management, les articles d’INfluencia sur les émotions, la capture des humeurs, le marketing émotionnel (chez Apple), le storytelling basé sur le partage des affects (chez RedBull), l’Internet des Objets connecté aux émotions (via L’Atelier), AdvertisingAge qui prédit que le Big data ne sera vraiment big que quand il prendra en compte les émotions, la revue e-marketing qui voit les émotions (des clients) à portée de main des entreprises. Avec Camille Alloing, nous surveillons ces discours et ces dispositifs depuis un certain temps (on en parlait déjà dans notre première comm’, en 2012, à propos de l’e-reputation). Qu’advient-il de ces données ? En attendant, voici quelques ressources liées à l’article : Le dépôt sur HAL : Dans "affect"

Le futur que Google nous prépare Eric Schmidt, le PDG de Google, ne se présente pas comme dirigeant d’entreprise. Il ne parle pas business, mais révolution et vision du monde. Son avant-dernier livre, The New Digital Age, se conclut ainsi : « Notre ambition est de créer le meilleur des mondes. » Et Google ne se contente pas de paraphraser Aldous Huxley. Il se donne aussi les moyens de sa puissance. Avec, tout d’abord, une assise économique phénoménale. Écarter l’État et ses règles comme la solidarité et la justice… Son influence est telle qu’elle en devient une force politique. Le projet politique de Google est centré sur la méritocratie, le culte absolu de l’excellence. « Une vision du monde, qui se retrouve dans leur manière d’organiser le travail », note Yann Le Pollotec, chargé de la révolution numérique au PCF. « L’une des bibles des libertariens américains, explique Dominique Cardon, est l’ouvrage d’Ayn Rand Atlas Shrugged. « Il y a un messianisme scientiste chez Google, poursuit Dominique Cardon.

» Google peut-il faire basculer une élection ?|Sciences dessus dessous Il faut croire que les éditeurs des Proceedings of the National Academy of Sciences étaient prêt pour les élections… Hier, en effet, la revue savante américaine a publié sans embargo et libre d’accès une étude sur l’effet que peuvent avoir les moteurs de recherche comme Google sur l’issue d’un scrutin. Et, franchement, les résultats sont un brin inquiétants… Sachant d’une part que les médias peuvent influencer les préférences des électeurs, deux chercheurs de l’American Institute for Behavioral Research and Technology, Robert Epstein et Ronald E. Différentes mesures de perception des candidats (confiance, amabilité, etc.) ont été prises avant et après ces manipulations, mais l’essentiel est bien sûr leur effet sur les intentions de vote — effet qui a atteint 36 à 63 % en labo ! MM. Ce n’est pas particulièrement étonnant, remarquez. Je ne suis pas sûr de partager complètement le pessimisme de MM.

Comment Google détourne les internautes de leur recherche d’hôtel L’intérêt suscité par l’article de Sosconso intitulé Réservation d’hôtels : peut-on échapper aux agences en ligne ? nous incite à revenir sur l’un des problèmes que rencontrent les touristes: comment trouver un hôtel sur Internet ? De manière étonnante, la difficulté existe, même lorsque l’on connaît son nom. Prenons l’exemple suivant : à Chartres (Eure-et-Loir), nous voulons trouver l’hôtel Jehan de Beauce. Voici, sur l’impression d’écran ci-dessous, la page qui apparaît: en haut, une zone rosée, consacrée aux résultats commerciaux. Pourquoi l’hôtel que nous cherchons est-il ainsi enterré ? Comment se positionner en premier sur une page ? Voici, sur l’impression d’écran ci-dessous, la page qui apparaît lorsque l’on tape le nom de son établissement : en haut, dans la zone rosée, l’adresse de son site (hotel-laperouse.fr). [Mise à jour le 10 septembre: M. En-dessous, dans la zone blanche, on retrouve son adresse. M. Revenons sur Internet. Et vous, qu’en pensez-vous ?

Google, le meilleur espion du Web ? - Linkeo Labs La Pieuvre Google, avec une part de marché de près de 70%, ne cesse d’étendre ses tentacules sur le web, en nous proposant toujours plus d’outils et plus de fonctionnalités personnalisables. La mission de Google, qui est « d’organiser l’information mondiale et la rendre accessible et utile », est plutôt réussie, mais ce que Google a surtout compris, c’est que la collecte d’informations lui permettrait de mieux régner ! En effet, à travers les nombreux outils qu’il propose, Google récupère une tonne d’informations sur nos données personnelles : lieu de résidence, âge, sexe, habitudes de recherche, clic sur les résultats de recherche, etc… En résumé, Google est capable de récolter des informations très personnelles sur nos habitudes de recherche, ce qui lui permet d’établir des statistiques précises sur les tendances de recherches d’une ville ou d’un pays, et d’anticiper le Marché. Présentation des canaux d’informations de Google : Profils public et médias sociaux :

Combien de CO2 pèsent un mail, une requête Web et une clé USB Surfer sur le Net, envoyer un email, télécharger des documents, les partager : toutes ces actions ont un poids pour la planète, d’autant plus important que nous sommes actuellement 1,5 milliard d’internautes à naviguer sur le Web quasi quotidiennement, tant pour notre vie professionnelle que personnelle. Les technologies de l’information et de la communication (TIC) contribuent ainsi à hauteur de 2 % aux émissions européennes de gaz à effet de serre, selon un rapport de septembre 2008 réalisé par l’agence d’évaluation environnementale BIO Intelligence service pour la Commission européenne. Ce chiffre devrait doubler d’ici 2020, si nous ne changeons pas nos modes de vie. Les emails. En France, chaque salarié, dans une entreprise de 100 personnes, reçoit en moyenne 58 courriels par jour et en envoie 33. Le but de l’Ademe n’est bien sûr pas d’inciter à préférer les courriers traditionnels aux mails mais d’expliquer comment en faire usage d’une manière plus respectueuse de l’environnement.

Chiffres Google - 2015 À l’origine, Google n’était qu’un moteur de recherche, sans doute le meilleur au niveau de la pertinence des liens. Mais depuis, les services offerts par Google se sont multipliés : gestion des emails avec Gmail, du calendrier avec Agenda, stockage et édition de documents avec Drive… Un nombre incalculable de services permettant à Google de figurer parmi les toutes premières entreprises du web. Nous mettons régulièrement à jour cette page, qui rassemble les principaux chiffres en rapport avec l’entreprise Google, de l’activité sur les outils aux utilisateurs actifs en passant par les résultats financiers. Moteur de recherche Part de marché Google Monde : 90,35% – Bing à 3,7%, Yahoo! Source : StatCounter. Requêtes Google 30 000 milliards de pages sont indexées par Google.20 milliards de sites sont visitées (crawlées) par Google, chaque jour.3,3 milliards de requêtes sont effectuées chaque jour (100 milliards par mois).15% des requêtes sont de nouvelles requêtes (500 millions par jour) !

Google : le contexte, pierre angulaire des évolutions à venir du moteur de recherche Bien que Google soit devenu Alphabet pendant l’été, sa filiale liée au search reste prépondérante. Le moteur de recherche fait toujours partie des priorités de la holding, malgré la diversification progressive de ses activités. Durant sa première conférence Think with Google organisée hier à Paris, Google a présenté des fonctionnalités qui seront bientôt implémentées sur le moteur de recherche. Hier, Google fêtait ses 17 ans. Depuis le 7 septembre 1998, le moteur de recherche Google n’a cessé d’évoluer : Adwords en 2000, la recherche universelle en 2007, le Knowledge Graph et Google Now en 2012… En parallèle, nous avons assisté à une personnalisation de plus en plus marquée des résultats de recherche en fonction de l’utilisateur, grâce aux données de profil récoltées par Google, aux données issues de Google+ ou d’autres services. Le contexte pour personnaliser les résultats de recherche Google prend un exemple très simple et très parlant : le cas de la requête « hôtel Paris ».

Et si Google proposait la version en cache de vos pages par défaut Et si Google proposait la version en cache de vos pages par défaut ? 5.00/5 (100.00%) 6 votes Aujourd'hui, nous vous proposons de nous faire peur avec un scénario catastrophe, tout en évaluant les (mal)chances que ce dernier arrive réellement... Tout part d'un sondage dans l'outil "Google Opinion Rewards" détecté par un internaute nommé Brandon Giesing et publié sur le site Google Operating System. En d'autres termes : "Imaginez que vous faites des recherches sur votre moteur mobile ; Plutôt que de cliquer sur un lien pour aller consulter un site web externe, comment trouveriez-vous le fait que la page s'affiche directement en-dessous de ce lien ?". Imaginez alors la situation : un internaute pourrait alors rester sur Google (mobile ou version desktop également, d'ailleurs), consulter vos pages mais tout cela sans générer une seule visite sur votre site ! Dans ce cas, vous nous direz que la solution serait toute trouvée avec la balise meta NoArchive.

Paul Otlet, l’homme qui inventa le « Google de papier » Paul Otlet empruntait un chemin radicalement nouveau, qui préfigurait le World Wide Web De plus en plus, les universitaires spécialisés dans l’histoire des sciences de l’information s’interrogent : jusqu’à quel point est-il possible de considérer Paul Otlet comme l’un des précurseurs d’Internet ? [4]. Par ailleurs, ce dispositif perfectionné de classification et d’archivage s’inscrivait dans un ensemble plus vaste, le Palais mondial, surnommé par la suite le Mundaneum, que Paul Otlet envisageait comme une articulation de bâtiments, d’organismes internationaux et de collections destinés à fonctionner en réseau et à relier tous les citoyens de la planète. [5] Pour caractériser ce réseau international d’informations dont il souhaite l’avènement, Paul Otlet parle même d’« un cerveau mécanique et collectif »[+] NotePaul OTLET, Le livre sur le livre, Traité de documentation, 1934, réédité en 2015 par Les Impressions Nouvelles, p.391. [8].

Energie, pollution et internet La lecture de la semaine provient du New York Times, il s’agit du premier article d’une série consacrée au coût écologique du Cloud computing (informatique dans les nuages, le fait que nos données soient stockées, non pas dans les nuages, mais dans des infrastructures très matérielles). Le titre “Energie, pollution et Internet”, ce début d’article fait un résumé de la longue enquête du quotidien américain. “Des dizaines de milliers de data center (gigantesques bâtiments abritant des serveurs) sont aujourd’hui nécessaire pour supporter l’explosion de l’information numérique. Des quantités gigantesques de données sont mises en circulation chaque jour lorsque, d’un simple clic ou au contact du doigt, les gens téléchargent des films sur iTunes, regardent l’état de leurs comptes sur le site de leur banque, envoient un mail avec une pièce jointe, font leurs courses en ligne, postent un message sur Twitter ou lisent un journal en ligne.” Xavier de la Porte

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