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Et si on essayait de définir la culture digitale ?

Et si on essayait de définir la culture digitale ?
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18-25 ans : génération gonflée... et gonflante ? Je ne les comprends pas. C'est un mystère total, j'ai l'impression d'être face à des extraterrestres. » On imagine une telle sentence dans la bouche d'une septuagénaire aigrie regardant passer des adolescentes en minishort... Pas du tout. Juliette a 31 ans, elle-même ne boude pas les tenues légères, quand la météo s'y prête. « Je me suis sentie vieille », confesse tristement Ninon, à peine trentenaire elle aussi, journaliste dans un quotidien national. « Ils m'ont renvoyé une image terrible de mon travail », déclare Louis, grand brun aux yeux clairs, chef de service dans une entreprise qui conçoit des sites Internet. « Si tu les mouches, ça fait vieux con ; si tu ne dis rien, tu les laisses croire qu'ils ont tout compris. Il n'y a pas d'issue », soupire encore Marie. >>> Retrouvez cette enquête dans le numéro de Marianne en kiosques. Il est également disponible au format numérique en vous abonnant ou via et On sent que le sujet la travaille.

La stratégie digitale de la Société Générale en faveur des clients Culture Banque > Banques > Tout un dispositif digital pour la clientèle Société Générale David Audran Responsable et Fondateur du blog La Société Générale place le digital au coeur de sa stratégie en banque de détail notamment avec des outils de gestion de budget. La Société Générale développe son modèle de banque omnicanale avec réussite : son application mobile « L’Appli Société Générale » la mieux notée parmi les applications de gestion quotidienne de comptes de 18 banques choisies dans l’Apple store,son SAV est particulièrement efficace sur Twitter avec un délai de réponse de 9 minutes pour Société Générale vs 7h pour la moyenne des banques,l’obtention d’un #TwitterAwards de Bronze, catégorie Customer, pour son engagement de réponse en 30 minutes maximum sur Twitter. L’application mobile Société Générale Sur L’Appli Société Générale le client peut paramétrer des alertes d’opérations ou d’évènements à venir (prélèvements ; dépenses ; solde ; prêt immobilier ; cartes ; sécurité…).

Dominique Cardon : "Nous devons nous armer d’une culture critique des algorithmes" Politique, environnement, médecine... Il ne se passe plus une journée sans que nous n'entrions en interaction avec un algorithme, bien souvent sans même nous en rendre compte. Méconnus, ces rouages façonnent pourtant le Web d'aujourd'hui. Entre code informatique et mathématiques, les algorithmes sont l'objet de nombreux fantasmes, du fait notamment du secret qui entoure leur conception. Sociologue reconnu pour ses travaux sur les enjeux politiques d'Internet, Dominique Cardon interroge dans son nouvel essai ces algorithmes qui rythment notre quotidien. Pourquoi ouvrir la « boîte noire » des algorithmes ? Dominique Cardon : Il faut « ouvrir la boîte noire » des algorithmes et ne pas se laisser intimider par la complexité de ces technologies, non pas pour en décoder les raffinements statistiques, mais pour comprendre le genre de monde qu’elles fabriquent. Concrètement, comment l'ouvrir ? Les algorithmes « calculent avec des intentions ». Il y a énormément de questions à se poser :

Les 3 étages de la transformation digitale du collaborateur Les remises de prix sur la transformation digitale des entreprises se multiplient: à qui sera le mieux récompensé pour ses hackatons, son approche omnicanal, le déploiement de smartphones pour ses collaborateurs, le lancement d’un service d’auto-uberisation… Mais embarquer 10 000, 100 000 collaborateurs sur la voie de la transformation est un chantier autrement plus complexe sur lequel la plupart des grands groupes continuent de buter. La première difficulté réside déjà dans le fait d’arriver à qualifier des «stades de maturité» dans la transformation digitale du collaborateur. On ne sait d’ailleurs si l’on doit mettre «digitale» derrière transformation tant la succession des mutations auxquelles sont confrontées le collaborateur dépasse le cadre du digital pour accoster sur des sujets de management et d’organisation inévitablement liés. J’aime utiliser un modèle à 3 niveaux de maturité: Stade 1 – Digitalisation de l’expérience opérationnelle Stade 3 – L’expérience ambassadeur A propos

Les adolescents et Internet : en finir avec les idées reçues Ils s’appellent Zoé, Mathys, Julie ou encore Loïc. Ce sont des adolescents qui n’ont pas connu « le monde sans internet ». Pour cette raison, On dit souvent d’eux qu’ils sont des « digital natives » dotés de capacités innées, inscrites même dans leur développement biologique . Bref, de Zoé, Mathys, Julie et les autres, on dit beaucoup de choses. La parole aux adolescents Pour le savoir, c’est à eux qu’il faut s’adresser, c’est eux qu’il faut observer, c’est avec eux qu’il faut échanger. Les parcours de chacun de ces adolescents sont faits de rencontres, de points d’achoppement, de moments déclencheurs, de prises de conscience, de retournements de situations… Ils prouvent que les pratiques informationnelles et communicationnelles sont évolutives, profondément dépendantes d’un contexte, à la fois social, culturel et académique. Vérités et contre-vérités Une « vie numérique » (Reynald, 17 ans) Rechercher l’information Une responsabilité collective

Conduite du changement, étape 3/8 : développer une vision La troisième étape de la conduite du changement consiste à développer une vision. C’est indispensable afin de montrer la direction stratégique et inspirer les personnes. La vision doit être claire. Cinq minutes doivent suffire pour qu’elle soit comprise et suscite l’intérêt. Un piège à éviter est de produire un gros document que personne ne lira vraiment. Présenter la vision s’apparente à préparer un acte de vente. Pourquoi ? Répondre à cette question, c’est reformuler de façon positive les urgences précédemment établies. Quelles retombées espère-t-on ? Comment ? La vision doit être réaliste. Je résume cela en disant que la vision doit décrire un chemin : on définit l’objectif que l’on veut atteindre, on constate d’où on part et on détermine la ou les premières étapes. Quoi ? Répondre à la question « quoi ? Quant à eux, les responsables métiers doivent s’intéresser aux outils qui ne se valent pas tous. << Lire le billet précédent Lire le billet suivant >> A propos de l'auteur de ce billet :

Pourquoi nous avons besoin d’un droit de citation audiovisuelle Dans le cadre de la consultation en cours sur le projet de loi numérique, le collectif SavoirsCom1 a fait une proposition visant à instaurer un droit de citation audiovisuelle en France. C’est une idée qui figurait aussi initialement dans le rapport proposé par l’eurodéputée Julia Reda, mais qui n’a hélas pas été retenue suite au vote du Parlement européen. Image par ClkerFreeVectorImages. CC0 Public Domain. Source : Pixabay. La conjonction de deux actualités, l’une venant de France et l’autre venant des États-Unis, me donne l’occasion une nouvelle fois de montrer pourquoi nous avons réellement besoin d’un droit de citation audiovisuelle pour protéger la liberté d’expression et comment il est possible de l’instaurer dès maintenant en utilisant les marges de manoeuvre appréciables offertes par le droit français et européen. Le droit de citation audiovisuelle contre la censure Hélas, un tel « droit de citation » n’existe pas actuellement dans la loi française. Explications : J'aime :

Révolution digitale : pensez en 3 dimensions Par Caroline Faillet et François Pinochet On entend partout parler de phénomènes générationnels, avec des classifications qui laissent à désirer : X,Y et… Z ! Chaque nouvelle génération aurait des caractéristiques propres aux outils technologiques avec lesquels elle a grandi. Allons donc ! De quelle révolution parlons-nous ? Il y a eu, comme il est expliqué dans l’Art de la guerre digitale, 3 révolutions numériques qui ont bouleversé ce que nous sommes tous en tant que citoyens, en tant que consommateurs et en tant que salariés. Il y eut d'abord le Web 1.0, le web des moteurs de recherche Le citoyen découvre le pouvoir de s'informer avec les moteurs de recherche. Dans l'entreprise, c'est le collaborateur veilleur, celui qui tire son pouvoir d'être une revue de presse ambulante, d'être capable de dénicher une information sur la concurrence. Qui plus est, ils doivent bien souvent apprendre à utiliser ces connaissances avant même d'avoir eu le temps de les digérer et e les assimiler.

Digital dark age About[edit] An early mention of the term was at a conference of the International Federation of Library Associations and Institutions (IFLA) in 1997.[1] The term was also mentioned in 1998 at the Time and Bits conference,[2][3] which was co-sponsored by the Long Now Foundation and the Getty Conservation Institute. The problem is not limited to text documents, but applies equally to photos, video, audio and other kinds of electronic documents. One concern leading to the use of the term is that documents are stored on physical media which require special hardware in order to be read and that this hardware will not be available in a few decades from the time the document was created. For example, it is already the case that disk drives capable of reading 5 1⁄4 inch floppy disks are not readily available.[4] The Digital Dark Age also applies to the problems which arise due to obsolete file formats. Examples[edit] Prevention[edit] In popular culture[edit] See also[edit] References[edit]

DevOps : une approche qui séduit de plus en plus d'entreprises mardi 4 octobre 2016 D'après une étude réalisée par IDC France, 46% des entreprises en France sont déjà fortement sensibilisées à l'approche Devops et les initiatives de ce type continuent de progresser en 2016 dans les entreprises privées et les organisations publiques. L'Observatoire Devops réalisé par IDC montre l'attrait que représente Devops pour les entreprises privées et les organisations publiques en France. Celles qui ont déjà l'expérience Devops perçoivent des bénéfices substantiels et croissants. Méthodes agiles et Devops sont, pour les entreprises, des leviers prioritairement destinés à renforcer le time-to-market (en d'autres termes, réduire le délai entre l'initiation du projet applicatif et le déploiement en direction des utilisateurs). Mais l'approche Devops reste complexe et cette complexité repose sur le fait que de nombreux paramètres doivent être pris en compte pour que l'initiative porte pleinement ses fruits.

Le personnage (3/5) : Dis moi quel est ton avatar, je te dirai ... Troisième moment de notre semaine peuplée de personnages. Aujourd'hui, comme chaque mercredi, nous interrogeons les pratiques numériques. Des Sims à World of Warcraft en passant par Second Life, quelle identité se crée-t-on lorsqu'on façonne son avatar dans un jeu vidéo ? Etienne Armand Amato © Radio France Aujourd’hui, il s’agit de se choisir un corps, une allure, un nom aussi, une enveloppe de pixel pour évoluer dans différents mondes virtuels et jeux vidéos. Puis vinrent Second life, ou les Sims, où l’on atteint des niveaux de sophistication et de précision dans la possibilité de façonner les personnages très élevés. Etienne-Armand Amato, est chercheur et enseignant, il a cofondé l’Observatoire des Mondes Numériques en Sciences Humaines et a codirigé avec Etienne Perény Les avatars jouables des mondes numériques, aux éditions hermès Sciences. Un peu avant la fin de l’émission, les Nouvelles Vagues passent au singulier. Programmation musicale:

Sérendipité (2014) , Sylvie Catellin, Laurent Loty, Sciences humaines BONUS : En complément du livre, découvrez les fictions à l’origine de la sérendipité, cliquez sur l’onglet « extrait pdf » ci-contre. Quand Walpole invente le mot « sérendipité » en 1754, il évoque la faculté de découvrir, « par hasard et sagacité », ce que l’on ne cherchait pas. Aujourd’hui, le terme connaît une vogue croissante au sens de « découverte par hasard ». Mais si cette focalisation permet d’affirmer la dimension imprévisible et non programmable de la recherche, l’occultation de la sagacité empêche de saisir ce que « sérendipité » désigne véritablement, et qui est au cœur de toute découverte. Pour comprendre le sens profond du terme, il faut remonter aux contes orientaux qui ont inspiré Walpole et Voltaire (pour la « méthode de Zadig »), et lire les romanciers et les savants qui se sont passionnés pour cette idée. Parmi eux, Balzac et Poe, Freud et Poincaré, Cannon et Wiener. Préface de Laurent Loty

Après les attentats de Paris, l’importance de l’éducation aux médias et à l’information Les attentats meurtriers du 7-9 janvier, suivis de ceux du 13 novembre, placent l’éducation aux médias et à l’information (EMI), ses compétences et ses valeurs, au cœur des enjeux de démocratie. Le traitement médiatique exceptionnel des attaques demande un accompagnement pédagogique de même acabit, alors que ces événements ont remis à sa juste place la tentation d’une littératie numérique uniquement instrumentée par l’économie, coupée des enjeux de citoyenneté. Les attentats nous incitent à considérer enfin Internet comme un média à part entière, dont les usages doivent être renforcés non pas tant pour susciter des vocations à la programmation que pour comprendre les relations de pouvoir, les intérêts et les valeurs qui le régissent. Ils nous exhortent à mettre la gouvernance de l’Internet dans l’agenda de l’EMI, pour donner des moyens d’action à des citoyens en devenir qu’on ne saurait réduire à des usagers. Maîtriser les cultures de l’information Faiblesses historiques Leader en Europe

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