background preloader

OiRA - Outils d’évaluation des risques pour les TPE - Votre métier

OiRA - Outils d’évaluation des risques pour les TPE - Votre métier
Related:  Dossier GDR

Mise en œuvre d’une démarche de prévention. Mettre en oeuvre une démarche de prévention - Démarches de prévention Travailler ensemble pour prévenir les risques Travailler en mode projet permet de donner une meilleure cohérence aux actions des différents acteurs de la prévention, qu’ils soient internes ou externes à l’entreprise. Le mode projet nécessite cependant la mise en œuvre de moyens parfois importants. Les très petites et petites entreprises (TPE) peuvent mettre en place des modalités d’échanges moins formelles mais qui sont orientées selon celles d’une gestion par projet, c’est-à-dire : se donner des objectifs, décider des moyens et définir les résultats attendus. Mobiliser les ressources internes La direction et l’encadrement doivent être porteurs de la démarche de prévention et des actions qui en découlent : y croire, la défendre, la promouvoir et assurer les moyens de sa pérennité. Se faire aider ou travailler à plusieurs Des outils utiles au mode projet L’analyse a posteriori d’un accident du travail survenu dans l’entreprise peut être également utile. Planification des actions de prévention

Affiches INRS Thème : Bruit Support des documents recherchés : Affiche (/accueil/pages-contact/FormulaireEnvoyerLien.html?currentUrl=http%3A%2F%2Fwww.inrs.fr%2Faccueil%2Fproduits%2Fmediatheque%2Fdoc%2Fcomplement-autres-ressources.html%3Ftypedocument%3DAffiche%26skipMod%3Dtrue%26planClassement%3D3d2¤tTitle=Compl%C3%A9ment%20autres%20ressources) ( (/accueil/pages-contact/Choixformulaire.html? Liste des résultats de la recherche "typedocument=Affiche; planClassement=3d2" Pagination des résultats Par page : tous(#) | 10 | 20(#) | 50(#) ( ( ( ( Page1 | Page2(#) | Page suivante(#) Dernière page(#) La gestion des risques : un enjeu majeur pour les entreprises - Blog Abisco (Mis à jour le: 5 septembre 2016) Les risques, quelle que soit leur origine, portent atteinte au bon développement de l’entreprise d’où l’intérêt de les éviter autant que possible. La bonne nouvelle c’est que de plus en plus d’employeurs en sont conscients et ont déjà pris les mesures nécessaires pour les éloigner. Qu’appelle-t-on risques ? Dans le contexte actuel, les risques sont présents partout et prennent différentes formes. En termes de risques, on peut citer : Les risques naturelsLes risques financiersLes risques industrielsLes risques technologiques et cyber-risquesLes risques liés à la sécurité des personnes et du travailLes risques liés au détournement d’informations Tout ce qui peut entraver le développement de l’entreprise est un risque à éloigner d’où la nécessité d’instaurer une bonne gestion des risques. Choix ou nécessité ? Pour continuer à faire profit, les entreprises se retrouvent dans une position de survie face aux nombreux risques aujourd’hui présents sur le marché.

Protection individuelle contre le bruit Le bruit en milieu de travail est à l’origine de nombreuses surdités mais aussi d’autres pathologies (stress, fatigue…). L’exposition au bruit handicape aussi parfois l’exécution de la tâche à effectuer. De multiples protections peuvent être adoptées pour limiter l’exposition au bruit des salariés, et notamment le port des protecteurs individuels. Il faut bien les choisir pour éviter l’inconfort ou encore la difficulté de communiquer quand on les porte… Le nombre de cas de surdités professionnelles reconnues est supérieur à 1 000 cas par an. Protecteurs individuels contre le bruit Les protecteurs individuels contre le bruit (PICB) sont classés de 2 façons. Conditions d’efficacité Pour qu’un PICB joue bien son rôle de protection, il doit être porté en permanence, affaiblir suffisamment le bruit auquel est exposé le sujet, être le plus confortable possible. Réduction de l’exposition au bruit par le port d’un protecteur individuel contre le bruit Information et formation du personnel

Risques électriques. Prévention du risque électrique Caractéristiques des matériels et installations électriques Protection contre les contacts directs Un contact direct est un contact entre une partie du corps humain et une partie active (pièce normalement sous tension) d’une installation électrique. Pour prévenir les contacts directs il existe plusieurs moyens : Éloignement : la distance d’éloignement dépend de l’environnement (chantier, locaux réservés à la production…) et de la valeur de tension. Barrière ou enveloppe : elles constituent un obstacle (écran, boîtiers, armoires…) possédant un degré de protection minimal (IP2X ou IPXXB en basse tension, IP3X ou IPXXC en haute tension) et ne pouvant être ouverts qu'à l'aide d'une clé ou d'un outil. © Œuvre INRS Installation de batteries électriques stationnaires © Patrick Delapierre pour l’INRS Armoire électrique d’un équipement de travail © Œuvre INRS Installation de batteries électriques stationnaires © Patrick Delapierre pour l’INRS Armoire électrique d’un équipement de travail

Évaluation des risques professionnels. Évaluation des risques professionnels - Démarches de prévention Qu’est-ce que l’évaluation des risques professionnels ? L'évaluation des risques professionnels (EvRP) consiste à identifier les risques auxquels sont soumis les salariés d'un établissement, en vue de mettre en place des actions de prévention pertinentes couvrant les dimensions techniques, humaines et organisationnelles. Elle constitue l'étape initiale de toute démarche de prévention en santé et sécurité au travail L'EvRP est une démarche structurée dont les résultats sont formalisés dans un "document unique". Ce document est mis à la disposition des salariés, des membres du CHSCT, des délégués du personnel, du médecin du travail, de l'inspecteur du travail et des agents des services de prévention des organismes de sécurité sociale ainsi que des inspecteurs de la radioprotection. Pourquoi évaluer les risques professionnels ? L’évaluation des risques professionnels figure parmi les principes généraux de prévention énoncé dans le Code du travail : (articles L.4121-21 et L.4121-32).

Évaluation des risques et document unique L’évaluation des risques constitue une étape cruciale de la démarche de prévention. Elle en est le point de départ. L’identification, l’analyse et le classement des risques permettent de définir les actions de prévention les plus appropriées, couvrant les dimensions techniques, humaines et organisationnelles. L’évaluation des risques doit être renouvelée régulièrement. Évaluer les risques qui ne peuvent pas être évités est l’un des principes généraux de prévention présents dans le Code du travail. Identifier les dangers, analyser les risques L’évaluation des risques professionnels consiste tout d’abord à identifier les dangers et analyser les risques : Identifier les dangers, c’est connaître tous les facteurs susceptibles de causer un dommage à la santé des salariés. L’évaluation porte sur la conception des lieux (aménagement, réaménagement), sur les installations et les équipements de travail, sur les substances et préparations chimiques et sur les situations de travail.

DUER : 11 exemples de risques à évaluer rapidement L'obligation d'élaborer un DUER La loi impose à chaque employeur l'obligation de prendre toutes les mesures nécessaires pour assurer la sécurité de ses salariés et protéger leur santé physique et mentale (1). Ces mesures comprennent : des actions de prévention des risques professionnels et de la pénibilité au travail ; des actions d'information et de formation des travailleurs ; la mise en place d'une organisation et de moyens adaptés. Ainsi, il vous faut établir un inventaire précis des risques professionnels auxquels peuvent être exposés vos salariés. En effet, des accidents peuvent être évités en prenant en compte les facteurs de pénibilité au travail (3). 10 facteurs de pénibilité sont reconnus aujourd'hui (4). La liste des risques, y compris ceux liés aux ambiances thermiques (2)ainsi que les moyens qui permettent de les limiter ou de les supprimer doit être établie pour chaque unité de travail de l'entreprise ou de l'établissement. Risques à mentionner dans le DUER : 11 exemples 1. 2.

Travail sur écran. Risques pour la santé Si la situation de travail n'est pas adaptée, le travail sur écran peut être à l’origine d’effets sur la santé tels que la fatigue visuelle, des troubles musculo squelettiques (TMS) et du stress. Fatigue visuelle Actuellement, il n’a pas été démontré que le travail informatisé pouvait engendrer des pathologies visuelles, travailler devant un écran pendant plusieurs heures d'affilée peut entraîner une fatigue visuelle. Phénomène réversible qui disparait après le repos, la fatigue visuelle se traduit par des plaintes, des modifications physiologiques, et une baisse des performances visuelles. Ses manifestations sont des sensations de lourdeur des globes oculaires, des rougeurs, des picotements, des éblouissements, une myopie temporaire, les yeux secs, des maux de tête... Ils peuvent être liés à la posture de l’opérateur devant son écran. Le contenu de la tâche peut aussi avoir une influence sur la survenue de TMS. Risques psychosociaux et stress

L'exposition aux agents chimiques dangereux Le facteur "exposition aux agents chimiques dangereux" concerne les agents chimiques dangereux mentionnés aux articles R.4412-3 et R.4412-60 , y compris les poussières et les fumées. Il fait partie des facteurs de pénibilité pris en compte au titre de l'environnement physique agressifs et doit entrer en vigueur au 1er juillet 2016. Consulter le dossier "pénibilité et conditions de travail" En complément du décret n°2015-1888 , deux arrêtés datés également du 30 décembre 2015 sont venus préciser les modalités de mise en oeuvre du facteur lié aux agents chimiques dangereux. Un premier arrêté fixe la liste des classes et catégories de danger concernés par le dispositif de pénibilité parmi ceux listés par le règlement européen sur les agents chimiques dangereux. Si les salariés ne se trouvent dans aucune de ces situations d’exclusion, alors l’employeur doit procéder à une évaluation de l’exposition conformément à une grille d’évaluation figurant en annexe de l’arrêté.

BTP : un secteur exposé aux risques professionnels La place du secteur du BTP dans le paysage économique français Le secteur du bâtiment et des travaux publics, avec 8,6 % de la masse salariale du régime général, est l’un des plus importants de l’économie française. La branche professionnelle du BTP compte environ 479 627 entreprises regroupant 1 400 000 salariés. Malgré le recul de l'activité, on dénombre davantage d'établissements en 2010 qu'en 2009. Source : INSEE L’artisanat, qui compte 380 000 entreprises de moins de 20 salariés (+ 18 000 par rapport à 2010), soit 98 % des entreprises du bâtiment, 992 000 actifs et 77 milliards d’euros de chiffre d’affaires, conforte sa place de « première entreprise du bâtiment de France. Le secteur du bâtiment est donc l'un des plus importants de notre activité économique, mais, avec plus de 18 % des accidents avec arrêt de travail et près de 30 % des décès, il reste un secteur à risque élevé. Un secteur à risque élevé Le nombre d'accidents du travail diminue depuis les années 90

Troubles musculo-squelettiques - Prévention des risques pour la santé au travail A SAVOIRLes TMS sont des risques à effets différés. Douleurs, maladresses, raideur ou encore perte de force musculaire lors d’un mouvement sont les premiers signes de troubles musculo-squelettiques. A quoi correspondent ces troubles ? Quelles sont les pathologies ? La définition des troubles musculo-squelettiquesL’expression « troubles musculo-squelettiques » TMS regroupe ou un ensemble de maladies localisées au niveau ou autour des articulations : poignets, coudes épaules, rachis ou encore genoux. Ces pathologies concernent les muscles, tendons et gaines tendineuses, les nerfs, les bourses séreuses, les vaisseaux sanguins, les articulations, les ligaments, à la périphérie des articulations des membres supérieurs, de la colonne vertébrale et des membres inférieurs. Ces troubles musculo-squelettiques peuvent être reconnus comme maladie professionnelle. Quelles sont les pathologies les plus fréquentes ? Les maladies les plus répandues touchent surtout les membres supérieurs.

Sécurité : quels risques sur les chantiers ? La problématique de la sécurité sur un chantier est souvent perçue comme une contrainte, jusqu’au jour où l’accident arrive. Le BTP est le secteur d’activité le plus touché par les accidents graves, au tau de fréquence parfois élevé. Même si le risque zéro n’existe pas, des changements d’habitudes et la mise en place de règles simples peuvent permettre de réduire singulièrement le nombre d’accidents sur un chantier. Pour l’installateur, qui doit à la fois protéger ses équipes et assurer la pérennité de l’activité, il s’agit d’un enjeu de première importance. Adapter son comportement pour limiter les risques Certaines attitudes préliminaires doivent être adoptées par le travailleur et son responsable : Connaître les procédures Tout d’abord, il est indispensable de suivre à la lettre les procédures éditées dans le cadre de la démarche de sécurité mise en place sur le chantier. Quels risques existent sur les chantiers ?

Related: