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Michel Bauwens : « Quand survient le chaos, il faut déjà avoir les solutions »

Michel Bauwens : « Quand survient le chaos, il faut déjà avoir les solutions »
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StarckHouse, Coffret 3 SUISSES maison Philippe Starck Le dessin et les volumes de la maison sont l'oeuvre du designer Philippe STARCK, les plans ont été réalisés à Paris par un concepteur et deux architectes. La maison dispose d'une surface habitable de 138 m² et d'un auvent extérieur d'une surface de 150 m². La toiture est en zinc, les murs sont constitués de bois et de verre. Le coffret a été édité à 500 exemplaires, il fut commercialisé par les 3 SUISSES (VPC) durant 6 mois en 1994 au prix de 4900 francs. Il faut noter que l’achat d’un coffret numéroté permet la réalisation d'un et un seul édifice, et ce, sur le territoire Français. Le coffret est réalisé en bois de teinte chêne clair, il pèse environ 10 kg, et mesure 80 cm X 63 cm X 9 cm.

Détroit, laboratoire du monde d'après le néolibéralisme Des trottoirs et des parkings vides longent les vastes avenues. Une enfilade de magasins aux rideaux baissés quadrille le centre-ville de Détroit, berceau de l’industrie automobile américaine. Les banderoles « à vendre » et « à louer » se succèdent sur les façades des bâtiments. 80 000 logements seraient abandonnés, soit près de un sur cinq. Avec ses maisons saccagées, brûlées ou envahies par la végétation, « Motor City » donne l’impression d’une ville fantôme. Symbole de cette déroute, Détroit vient d’être mis sous la tutelle d’un « coordinateur d’urgence » pour au moins un an. « Pendant les soixante-dix dernières années, les habitants de Détroit ont cru à tort que leurs vies étaient liées à General Motors, Ford et Chrysler, explique Maureen Taylor, militante depuis des années dans la lutte contre la pauvreté. Exode urbain Empruntant l’autoroute qui traverse la ville d’Est en Ouest, Peter Landon s’arrête sur la bande d’arrêt d’urgence, au sommet du pont enjambant Red-River.

Bienvenue à la 27e Région | La 27e Région Juliette Bourgeois Administrative and accounting assistant Open Juliette Bourgeois has a DUT diploma (post secondary program) in business management and administration of the Annecy University Institute of Technology and a degree in law, economics and management from the Savoie Mont Blanc Chambéry University School of Management and a Bachelor of Business from the University of the Sunshine Coast, Australia. Anna Lochard Project manager / research After a Master of Humanities at the Ecole des Mines de Paris, coupled with a Master of Urban Planning at the Ecole des Ponts ParisTech, Anna Lochard joined La 27e Région at the beginning of 2013. Magali Marlin Project manager After a degree in Territorial and Urban Strategies at Science Po Paris (2011), Magali Marlin began his career at SAMOA serving the metropolitan project Nantes-Saint-Nazaire. Nadège Guiraud Program director Stéphane Vincent Executive officer Julien Defait Service designer Anne Tavernier Administrative and financial director Treasurer

Trading cards: Professions for women of the future imagined in 1902 Google+ Trading cards: Professions for women of the future imagined in 1902 09.18.2015 09:03 amTopics:FeminismHistoryTags:trading cards Firefighter French artist Albert Bergeret’s collection of trading cards from 1902 titled “Women of the Future” tries to imagines women’s jobs and professions of the modern era. A member of a light-infantry corps in the French army Military-fencing Master Student A doctor A member of the Assemblée A mayor A lawyer A journalist A coachwoman A Jockey An Artist A general Second lieutenant A sergeant Marine Military drummer Via Vintage Everyday Posted by Tara McGinley 3k Please enable JavaScript to view the <a href=" << Back to main Privacy Policy adsense ad

Charte de la forêt, 1217, Angleterre, Digithèque MJP Carta de foresta (original latin).Charter of the Forest (traduction en anglais).Charte de la forêt (traduction en français). La Magna Carta de 1215 contenait plusieurs articles (44, 47, 48, 53) relatifs au droit de la forêt ; mais ces articles furent retirés de la nouvelle version publiée en 1216 et, en 1217, fut publiée, en complément de la Magna Carta, un charte concernant exclusivement la forêt. Il convient de préciser que le terme « forêt » ne désigne pas ici les seuls terrains densément boisés que nous appelons ainsi aujourd'hui. La forêt, c'est alors le terrain de chasse des rois normands, puis angevins et de leurs successeurs. Guillaume le Conquérant, infatigable chasseur, avait affirmé ses privilèges sur la forêt royale, mais celle-ci fut progressivement étendue par ses successeurs, jusqu'à ce que, en 1184 (Assize de Woodstock), Henri II décidât que la forêt royale relèverait d'une loi spéciale et non de la loi commune. Traduction.

Naomi Klein : «Il faut être fou pour croire aux conférences climat» De passage à Paris pour la sortie de son dernier livre, Tout peut changer (1), l’altermondialiste canadienne Naomi Klein enchaîne conférences et entretiens pour appeler à la convergence des mouvements anti-austérité avec ceux pour la défense du climat. Quand avez-vous pris conscience de l’ampleur de la crise climatique ? Je n’ai jamais nié le changement climatique. Mais je ne l’ai vraiment regardé en face qu’à partir de 2009, après avoir rencontré Angélica Navarro, une ambassadrice bolivienne. Croyez-vous encore aux négociations de l’ONU pour répondre au défi climatique ? Il faut être fou pour croire au processus onusien : depuis vingt-cinq ans qu’on essaye de réduire les émissions mondiales de gaz à effet de serre, celles-ci ont grimpé de 60% ! Vous n’attendez pas grand-chose, donc, de cette conférence de Paris ? Je n’attends certainement pas un miracle. Par contre, il y aura des actions de désobéissance civile, créatives et pacifiques, qui pourraient perturber ce processus inefficace.

Monter un habitat groupé Participez à la formation de la Coopérative Oasis Vous souhaitez créer un écolieu collectif ?Vous souhaitez développer de nouvelles connaissances et compétences sur le montage et la gestion de ces lieux ? La Pépinière Oasis vous propose, durant 6 mois, de vous accompagner dans votre projet et de vous apprendre des fondamentaux pour développer une oasis. Je découvre la formation Spéculation foncière, paupérisation urbaine, crise des liens sociaux, pollution, sont autant de raisons qui ont amené des femmes et des hommes à monter un habitat groupé. Qu'est-ce que l'habitat groupé ? L'habitat est aujourd'hui un enjeu de taille : il est responsable de près de 40% des émissions à effet de serre, il ne permet pas une mixité sociale, le cloisonnement entre des zones d'habitations et des zones d'activités nous empêche d'avoir une vie de quartier et entraîne l'inflation des transports (nous parcourons en moyenne 38 km quotidiennement). Quel impact sur le territoire ? En créant un habitat partagé vous :

Béguinage et maison Babayaga : l'habitat participatif pour seniors Les « béguinages » (begijnhof en néerlandais) étaient, au Moyen Âge, des lieux où vivaient les Béguines, des femmes, souvent célibataires ou veuves, appartenant à une communauté religieuse laïque sous une règle monastique. Ils retrouvent une seconde jeunesse comme lieux de vie participatifs alternatifs pour personnes âgées. Béguinages autrefois : femmes célibataires et communauté religieuse Nombreux en Flandre et aux Pays-Bas, les béguinages sont généralement constitués d’une ou deux rangées de petites maisons reliées par des coursives et d’une église, le tout réuni autour d’une cour où se trouve un jardin. Béguinage moderne : habitat participatif et solidaire L’idée d’un lieu de retraite et de protection spécifiquement adapté aux femmes et à leurs enfants a séduit de nombreuses personnes et associations depuis une vingtaine d’années. © CC, Josep Renalias D’autres ont vu dans le béguinage une solution particulièrement bien adaptée au problème du vieillissement de la population européenne.

La Maison des Babayagas, un projet pour vieilles qui décoiffe… Elles ont entre 65 et 85 ans. Elles veulent vieillir entre femmes, en autogestion, dans le respect de l’écologie et le maintien de leurs pratiques citoyennes. Ce projet qui les réunit voit enfin le jour. « Vieillir, c’est pas un boulot pour les poules mouillées ! Justement, Thérèse Clerc et les Babayagas de Montreuil n’ont pas froid aux yeux… Après sept années de débats et surtout de combats, la première pierre de cette maison-de-retraite-qui-n’en-est-pas-une a été posée en décembre 2009 autour de ces vieilles dames pas comme les autres : elles, elles refusent de faire partie de la cohorte de ces 17 millions de vieux qui constituent « un marché juteux pour les gériatres en tous genres et l’industrie pharmaceutique ». Pour comprendre l’esprit du projet, un retour en arrière s’impose. Comment l’inspiration vint à Thérèse Clerc… Lorsque Thérèse Clerc perd ses parents, au début des années 90, cela fait plusieurs années déjà qu’ils sont dépendants et qu’elle s’occupe d’eux au quotidien.

Les Babayagas, la silver solidarité au quotidien Vendredi 13 décembre, à Montreuil (Seine-Saint-Denis). Au rez-de-chaussée d’un immeuble neuf, comme chaque deuxième vendredi du mois, les Babayagas reçoivent. Il est midi, une dizaine de femmes, plus ou moins âgées, ont dressé une grande table chargée de plats. Des amis arrivent, des habitants du quartier, des jeunes. Inaugurée en février 2013, la Maison des Babayagas, installée en centre-ville, à deux pas du métro et des commerces, a tout juste un an. «Pas un sou» L’histoire a commencé en 1999. L’argument porte. Mais la partie n’est pas gagnée pour autant puisqu’un mois plus tôt, le groupe a explosé. Désormais réalité, la Maison des Babayagas n’en continue pas moins de tanguer. Cette expérience, qui reste à évaluer, a-t-elle de l’avenir ? «Génération de 1968» Chez la ministre chargée des Personnes âgées, Michèle Delaunay, on affirme pourtant s’intéresser de près «aux nouvelles initiatives d’habitat groupé ou de colocation». Photos Vincent Nguyen. Anne Denis

sans titre Faire un don Faire un Don : Soutenez l'information constructive Précommandez notre DVD Pour rester au top des dernières actus : » Les initiatives » Les babayagas : Maison de retraite autogérée ! Les babayagas : Maison de retraite autogérée ! Version courte : Difficulté : Thème : Personnes âgées et société - Intergénérationnel Action : J’ai changé ma vie Lieu : Montreuil Mots-clés : AssociationSeniorsMaison de retraiteAutogestionCollectif Coordonnées : Thérèse CLerc : 01.48.58.80.53 Monique Bragard Tel : 01 48 59 86 83 Email : lesbabayagas@club-internet.frSuzanne GouëfficTel : 01 48 08 35 08 + 06 12 56 64 04Email : secretariat-babayagas@orange.fr > Pour devenir Babayaga : > A voir aussi, l'expérience de St Julien de Lampon, Lo Paratge, une coopérative d’habitants HQE autogérée pour personnes âgées ( loparatge@yahoo.fr, Dordogne, Saint Julien de Lampon) A voir aussi... Voir la fiche recette Liens

Economie collaborative et biens communs- C’est difficile à dire… Personnellement je vois des potentialités énormes dans ces systèmes, mais le problème, c’est que pour l’instant, ils ne sont pas assez démocratisés. Le plus connu, c’est peut-être le co-voiturage, dans le domaine de la consommation collaborative, donc. C’est à présent bien entré dans les mœurs ; je pense qu’on touche à peu près toutes les catégories sociales, à peu près tous les âges (même si les jeunes sont sur-représentés), des gens de milieux urbains comme de milieux ruraux. Silke HELFRICH : pour une société des communs Prenons l’exemple de l’atmosphère, c’est aujourd’hui une ressource en accès ouvert ou libre, chacun fait ce qu’il veut avec. La surexploitation de ces ressources est structurelle et il est impossible d'en échapper individuellement. Et concrètement, nous courrons à la catastrophe, trop de pollution, trop d’émissions de gaz à effet de serre, trop de peur de changer notre mode de production et trop peu de volonté politique de coopérer… Sur la scène internationale, depuis des décennies les États discutent de la manière de limiter l’utilisation qui est faite de l’atmosphère, mais ces pourparlers sont rarement couronnés de succès.Beaucoup d’autres biens communs sont aussi en danger de surexploitation, et leur privatisation n'a pas pu l'éviter. En plus, il s'agit des ressources qui ne peuvent appartenir à une seule personne, ce n'est pas par hasard qu'elles s'appellent « communs ».

Le citoyen-capteur, nouvelle figure de la ville intelligente Ces dispositifs ont vu le jour grâce aux progrès dans les technologies numériques et le partage de données. Ils se sont enrichis également avec le perfectionnement et la miniaturisation des capteurs (pollution de l’air, de l’eau, pollution sonore). Grâce à ces progrès, les dispositifs de mesure environnementale organisés autour des citoyens eux-mêmes ont pu monter en puissance. Dernier en date, Airwaves, un masque développé par une équipe de designers de Shanghaï, qui combine le filtrage et la mesure de la qualité de l'air. Dans la même optique, Noisetube propose une application de mesure de la pollution sonore utilisant le capteur d’un smartphone et invite l’utilisateur à partager les données enregistrées sur une plateforme. Avec ces dispositifs, l’individu produit de la donnée environnementale in situ à partir d’un capteur et ces données sont mutualisées afin d’enrichir une représentation collective du phénomène. De la contre-expertise à l’innovation dans les services publics

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