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Les épuisettes culturelles : un nouveau modèle économique au service des artistes et des citoyens curieux

Les épuisettes culturelles : un nouveau modèle économique au service des artistes et des citoyens curieux
C’est une étrange partie de pêche qui débute en cette fin d’hiver toulousain. Au bout d’un petit vestibule tout en longueur, c’est le sourire éclatant de Pauline et de Jessica qui hameçonne les nouveaux arrivants. Car ce soir est un grand soir pour leur association « Comme un poisson dans l’art » : c’est la grande distribution des premières épuisettes culturelles de Toulouse. De la même manière que les Amap ont été fondées dans l’objectif de relocaliser des consommations, de soutenir l’agriculture de proximité et de nouer du lien entre les producteurs et les consommateurs, les « Associations pour le maintien des alternatives en matière de culture et de création artistique » (Amacca) sont nées de la nécessité de proposer un nouveau modèle économique pour la culture. Les fondatrices Pauline Herbillon et Jessica Bir Cette initiative est partie d’un constat, celui d’Olivier Lanoë, syndicaliste et guitariste : la nécessité de « démarchandiser » l’accès à l’art et à la culture. Ernest Barbery Related:  LES CREATIFS CULTURELS

Trouver son potentiel et mettre en oeuvre ses projets Lise Bourbeau, spécialiste du développement personnel, nous enseigne comment trouver son potentiel pour arriver à mettre en œuvre ses projets et les exprimer dans sa vie. Pour commencer cet article, je dois préciser que la première étape consiste à avoir des projets. Bien des personnes se disent trop occupées à vivre leur quotidien avec ses hauts et ses bas pour avoir du temps pour des projets. Si vous faites partie de ces gens, il est temps que vous réalisiez que tout projet alimente votre corps émotionnel. En effet, il est aussi important pour votre corps émotionnel d’avoir des projets, des buts, des désirs, que de donner au corps physique les cinq éléments nutritifs dont il a besoin. Il y a des gens qui ont plein de projets, mais qui ne savent pas comment passer à l’action et d’autres personnes qui sont trop dans l’action sans avoir de projet ou de but spécifiques. Pour être certains que ce projet répond à leur besoin, ils doivent vérifier ce que ce voyage leur permettrait d’être.

Un "frigo ouvert" a été installé en rue à Schaerbeek pour aider les démunis Les personnes sont invitées à déposer de la nourriture. Les boissons alcoolisées, les bouteilles ouvertes et la nourriture périmée sont proscrites. Les plats préparés doivent être munis d'une étiquette détaillant leur contenu, la date de fabrication et le nombre de convives. Un responsable de l'asbl vérifiera quotidiennement la bonne gestion du frigo. L'initiative a été suggérée par le coiffeur professionnel flamand et photographe amateur Mario Abeel, impliqué dans l'association. "Nous voulons inciter les voisins à remplir le frigo, mais aussi les professionnels comme les boulangers, les bouchers ou les restaurateurs", explique Mario Abeel. L'asbl Corvia située à Evere existe depuis 5 ans. Belga

Le 1 hebdo - « Les pandémies sont le visage sombre de la mondialisation » Nous sommes confrontés à bien des formes de catastrophes naturelles (tempêtes, inondations…). Peut-on dire que les épidémies d’origine virale sont des catastrophes comme les autres ?Ce qui me frappe surtout, c’est la nou-veauté. Le thème des pandémies perçues et gérées comme des catastrophes date des années 1980, époque de l’apparition du sida. Quand les chercheurs ont découvert l’origine du virus du sida chez les singes à la fin des années 1980, la communauté scientifique a pensé qu’elle pourrait anticiper les autres pandémies. Voilà la nouveauté : l’idée, depuis une trentaine d’années, que l’on peut anticiper les pandémies, que l’on peut mobiliser des experts au niveau mondial pour cartographier les lieux où de nouveaux virus émergent. Se représenter une émergence virale comme une catastrophe, cela tient aussi au contexte de la crise de la vache folle en Europe. L’autre phénomène, en Afrique, est lié au commerce international et au trafic de viandes de brousse.

A Berlin, des frigos en libre-service pour lutter contre le gaspillage alimentaire Par Florian Colas Toolito - le / Modifié le Chaque année, rien qu’en France, les déchets alimentaires représentent 10 millions de tonnes (!). En moyenne, les Français jettent 20 kg à 30 kg de déchets alimentaires chaque année, dont 7 kg de produits non consommés encore emballés ! Bien entendu, nous ne sommes pas les seuls à produire ce phénomène, et il peut s’interpréter de différentes manières. En Belgique, par exemple, les gens jettent l’équivalent de 174 euros de nourriture à la poubelle chaque année, et en Grande-Bretagne, un aliment acheté sur quatre est jeté… Le gaspillage de nourriture n’est donc épargné dans aucun pays. Crédit – tagesspiegel.de Comment ces frigos se remplissent, et qu’en est-il de la nourriture qu’on trouve à l’intérieur ? Pour que ce projet fonctionne et réussisse, ces frigos ne sont pas seulement alimentés par des locaux, des touristes et des inconnus de manière aléatoire. 8000 bénévoles en Allemagne Crédit – clique.tv Pourquoi en Allemagne et pas en France ?

Contre la fascination du désastre, par Mona Chollet (Le Monde diplomatique, août 2014) « Je vais m’allonger sur le sol et pleurer un instant », s’excusait une utilisatrice de Twitter, un après-midi du printemps dernier. Beaucoup l’auraient volontiers imitée. Quelques jours plus tôt, le 25 mai, le Front national était arrivé en tête aux élections européennes en France. Certains citoyens de gauche présumaient qu’un tel coup de semonce dessillerait enfin les yeux des membres du gouvernement socialiste ; la réaction du premier ministre Manuel Valls, qui envisageait des « baisses d’impôts » (RTL, 26 mai), leur fit très vite mesurer leur naïveté. Alors que l’on observe les dernières bulles produites à la surface de l’eau par le naufrage idéologique du Parti socialiste français, sur le reste du continent la situation n’est guère plus reluisante. Il faut pourtant s’y arracher. On peut bien juger les militants d’aujourd’hui maladroits ou trop frileux : ils méritent le respect du simple fait qu’ils osent aller à rebours de l’air du temps.

GiveBOX - Suite à l'incendire de la givebox dans la nuit du 26/12/14, il n'y a pour le moment pas de givebox à Berchem. Un groupe d'habitants est en train de travailler en vue de sa reconstruction sur le même site! Bientôt la givebox phénix! Une GiveBox, c'est quoi? Il s'agit d'une armoire de rue dans laquelle on dépose les petits objets dont on n'a plus besoin mais qui pourraient servir à quelqu'un d'autre : vêtements, vaisselle, outils, jouets, livres, objets de décoration, CD, DVD...Pas d'obligation de réciprocité. On peut déposer sans prendre. La givebox berchemoise se trouvait et se trouvera bientôt à nouveau au croisement de la rue de l'Eglise et de la rue Mertens. Cette givebox appartient à tous les habitants du quartier. De nombreux habitants passent, rangent, nettoient la givebox. L'histoire du projet En septembre 2013, la commune a donné son accord pour l'implantation d'une GiveBox sur le territoire communal. La préparation du terrain a commencé pendant les vacances de Toussaint 2013.

Des petits arrangements à huis clos ont abouti à l'élection de deux briscards de Bruxelles, Juncker et Schulz Europe Le socialiste allemand Martin Schulz a été réélu en tant que Président du Parlement européen pour les un mandat de deux ans et demi avec le soutien de 409 parlementaires européens sur 751. Cette nomination fait suite à la formation d’une «grande coalition» au Parlement européen, qui comprend le Parti Populaire Européen (PPE, centre-droit), les Socialistes et Démocrates (S & D, centre-gauche et l’Alliance des Démocrates et des Libéraux pour l’Europe (ALDE, libéral). Le Daily Telegraph indique que la rémunération de Schulz devrait se monter à 267 000 euros par an, dont environ 155 000 euros seront exonérés d’impôts. Selon Pawel Swidlicki du think tank Open Europe, la réélection de Schulz par scrutin secret, est en fait l’aboutissement d’une entente négociée à huis clos entre les blocs de centre-droit et de centre-gauche. Le journal croate Jutarnji List se désole de ces petits arrangements : Source : Express

Une forêt qui se mange A Dartington, dans le sud de l'Angleterre, nous avons visité un jardin expérimental nourricier qui reproduit un écosystème forestier en milieu tempéré. Créé il y a 20 ans, il est aujourd'hui autogéré et produit suffisamment de fruits, feuilles comestibles, champignons, graines et noix pour subvenir aux besoins d’un ménage. Imaginez un jardin d'un hectare qui ressemblerait à une forêt vierge, avec des grands arbres, des arbustes, buissons, des plantes grimpantes, champignons et feuilles mortes au sol. Cette forêt jardin nourrirait en grande partie votre famille, sans que vous y travailliez plus d'une fois par semaine. Enfin, par travail... entendez prendre un panier et des ciseaux pour cueillir salades, myrtilles et autre noix. 550 espèces sur 1 hectareMai 2014. Une forêt est naturellement très productive. Une forêt jardin, c’est quoi ? La consoude, extraordinaire pour les pollinisateursLes plantes ne sont pas placées au hasard. Crédit photos: Diana Semaska

10 conseils pour changer le monde Depuis ma conférence à Mix-IT, on me demande régulièrement ce qu’il faut faire pour « changer le monde ». Comme si j’en avais la moindre idée, moi qui ai déjà du mal à me changer moi-même ! Comme les demandes se sont fait plus nombreuses, j’ai décidé d’y réfléchir sérieusement. 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. 10. Vous voulez changer le monde ? Et vous, quels seraient vos conseils pour vous changer vous-même, pour changer le monde ? Photo par Westpark. Fraternités ouvrières :: Gouter au jardin "Les Fraternités Ouvrières" Association créée par Josine et Gilbert Cardon en 1969. 58 rue Charles-Quint 7700 Mouscron BELGIQUE e mail : fraternitesouvrieresmouscron@gmail.com 2 vidéos des FO à Mouscron - février 2016 La grainothèque est de 5450 graines environ. Tout se fait sur place, aucun envoi possible, la structure de l'asbl ne le permet pas. Ce n'est pas un magasin mais un groupement d'achats. Aucun catalogue, ni prix sur le blog. Les graines sont achetées en gros, et mises en sachets par les bénévoles. Aucune graine ne provient du jardin. Toutes les graines ne sont pas "bio", tout dépend ensuite du mode de culture... Catalogue disponible à la vente au local. Inventaire en fin d'année et remplissage en début d'année. Ne pas hésiter à solliciter les bénévoles pour toutes infos. Adhésion à l'association: 1,50€/An. Cours de jardinage gratuits Ouvert à tous sans inscription, ni réservation quelque soit l'activité! Portes Ouvertes

Les Français en 2014 : évolutions et prises de conscience – ou comment la crise a créé du positif « Citoyens en transition Cet article a été initialement publié sur le blog Le Palais Savant. Le mois de Juin est porteur de bonnes nouvelles et de fruits de toutes les couleurs. Je vous laisse déguster les fruits et j’en profite pour partager avec vous les bonnes nouvelles Il faut prendre le temps de savourer les progrès faits et les nouvelles énergies qui se mettent en place. Et éviter autant que possible notre tendance à ne remarquer que “ce qui ne va pas”, ce que les autres ne font pas ou n’ont pas encore compris. Grâce à l’étude « Évolutions du comportement des français face au développement de l’économie circulaire » réalisée par l’Ademe (Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie) et diffusée en Juin 2014, on apprend que (toutes les phrases en italique sont extraites de l’étude) : 30% de la population veut consommer MOINS et MIEUX ! 30% c’est énorme, c’est la tendance majoritaire et cela suffit à soutenir un changement durable dans notre manière de consommer et de penser le bonheur.

Retour de la Criée publique à Liège Dans l’un des quartiers du centre historique de Liège, en Pierreuse, la « Criée publique » renait depuis peu. À cette occasion, l’espace public est réinvesti par les citoyens rassemblés pour écouter les messages postés par les habitants et révélés au grand jour par Lionel Decoster, « Crieur public » à l’origine de cette initiative. S’est installée au cœur de Pierreuse à Liège, une boîte aux lettres un peu particulière et accessible à tous. La Criée peut commencer ! Une Criée qui ne date pas d’hier La Criée publique, dont on relève déjà l’existence durant l’Antiquité, s’inscrit dans la tradition orale. Comment ça se passe ? L’événement se veut participatif et structuré de manière évolutive, selon un processus d’auto-évaluation (où Lionel Decoster clarifie ses enjeux) et d’évaluation collective (par ceux qui y participent). « Les personnes présentes aux Criées, ayant écrit ou non, participent pour deux tiers de leur réussite, affirme-t-il. Une Criée publique transportable Anne-France Hallet

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