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E=M6 Addiction aux nouvelles technologies

E=M6 Addiction aux nouvelles technologies
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La cyberdépendance, ennemie du sommeil ? Chaque soir, Fabrice, 34 ans, s’adonne à ce qui est devenu un rituel : il se connecte fébrilement, répond à ses courriels, en adresse d’autres, surfe sur ses réseaux sociaux, visite ses nombreux sites préférés. Ses yeux sautent d’une image à l’autre des heures durant. Et comme à chaque connexion, le temps semble s’être arrêté. Internet ne manque pas d’entraîner des cyberdépendances chez ses utilisateurs. Selon une étude récente, en effet, différents troubles du sommeil sont susceptibles de se manifester chez les cyberdépendants : troubles de l’endormissement, réveils nocturnes, insomnies ou encore diminution du temps de sommeil. Comment les spécialistes expliquent-ils l’émergence de ces troubles ? Michel Lejoyeux et Marie-Pia d’Ortho, « Les troubles du sommeil dans l’addiction à Internet », Médecine du sommeil, vol.

Le Public Health England lance une vidéo virale qui compare vape et tabac (Vapyou) Depuis 2015, l’organisme gouvernemental Public Health England affirme que vapoter est au moins 95% moins nocif que fumer. Le premier rapport avait été réalisé par des experts suite à la lecture et la compilation de plus de 200 études. En février 2018, le PHE a publié une mise à jour, qui confirme à nouveau ce 95% et qui s’assortit de nombreuses recommandations pour les services de santé et tous les intervenants de la lutte contre le tabagisme. En clair, faire une promotion massive du vapotage auprès des fumeurs. Et ils vont sortir les grands moyens avec une vidéo choc ! Parmi les conclusions du rapport de 2018, les experts ont particulièrement souligné le problème de la désinformation : “Plusieurs milliers de fumeurs croient à tort que vapoter est aussi nocif que fumer ; environ 40% des fumeurs n’ont même pas essayé une cigarette électronique”. Vidéo choc : informer la population à tout prix ! Voici donc la vidéo que diffuse le Public Health England. En savoir plus

Centres de désintoxication et nouvelles technologies Les jeunes de plus en plus impliqués dans les nouvelles technologies Les addictions ne sont pas limités aux dépendances générées par les produits chimiques. Dans un centre de désintoxications comme CITA nous savons bien que les comportements peuvent aussi générer des comportements addictifs. Par exemple, les adolescents et les jeunes espagnoles dédient aux nouvelles technologies (TV, Internet et mobile) 6 heures par jour, soit un quart de la journée, ce qui réduit le dévouement absolu à d’autres activités importantes (travail, études, relations ). Les nouvelles technologies ont un pouvoir énorme sur l’obsession des jeunes avec leur utilisation peut entraîner de graves conséquences sur la dépendance. Detox Centers et des nouvelles technologies. Y at-il les facteurs de risque? Les nouvelles technologies génèrent des comportements similaires à ceux d’autres addictions, mais aussi des comportements uniques, telles que la vérification compulsive mobile. On ignore l’ampleur du problème

Comment vaincre la cyberdépendance ? (Satisfaction ou compulsion) D. Comment "décrocher" Même lorsqu'on en fait un usage tout à fait compulsif, Internet n'est donc qu'un moyen. 1. La première chose à faire est d'identifier l'insatisfaction, le manque ou la faiblesse à laquelle Internet cherche à répondre. Mais parfois, la réponse est déjà claire en nous et nous n'avons qu'à la prendre en considération. Dans la plupart des cas, la réponse n'est pas déjà claire. (1) Le désir de savoir Il faut d'abord faire un effort réel de lucidité. Cette sensibilité est moins facile qu'on pourrait le croire à première vue. (3) L'exploration active La troisième condition est la plus facile à obtenir car elle s'appuie surtout sur une décision consciente et un effort de volonté. Les premières réponses sont souvent peu utiles: on découvre surtout l'angoisse qui monte en nous à cause de l'arrêt qu'on impose à notre action. 2. Car c'est bien parce qu'Internet répond un peu (mais pas entièrement) au besoin que l'usage devient compulsif. 3.

Les modalités du don d’organes ou de tissus - Respect de la personne et vie privée Il est possible de donner un organe ou des tissus de son vivant ou après sa mort.92% des dons d’organes ou de tissus viennent d’une personne décédée.Permettre le prélèvement de ses organes ou de ses tissus après son décès est un acte de générosité et de solidarité. Ce geste permet de sauver des vies. Depuis la loi du 22 décembre 1976 (loi Caillavet), chacun est présumé donneur, sauf en cas de refus exprimé de son vivant. Ce principe a été réaffirmé a plusieurs reprises par le législateur et encore une fois par la loi de modernisation du système de santé du 26 janvier 2016. La récente loi éclaircit le rôle des proches et précise comment refuser de donner ses organes. Le don d’organes post mortem Chaque individu est présumé donneur depuis la loi Caillavet du 22 décembre 1976 : un principe réaffirmé par la loi du 26 janvier 2016. Les principes encadrant le don d’organes post mortem Le don d’organes en France repose sur trois règles établies par la loi du 22 décembre 1976 : La famille Le rein

Comment devient-on accro au numérique ? Atlantico : Portables, tablettes, ordinateurs, les nouvelles technologies nous entourent. Elles sont partout : au bureau, à la maison, dans les magasins… Nous en avons tous un usage régulier, à partir de quel moment pouvons-être considérés comme addicts aux nouvelles technologies ? Comment cette addiction se traduit-elle au quotidien ? Michael Stora : Cela ne se traduit pas tant en terme d’heures passées sur les nouvelles technologies qu’en termes de rupture des liens sociaux réels. L’addiction se manifeste par un décrochage de la vie sociale : refus de participer à des repas de famille, moins de sorties en couple, abandon de ses responsabilités de parent... Pour les enfants cela commence par l’absence de présence au repas du soir et cela peut aller jusqu’à la déscolarisation. Les nouvelles technologies mettent la vie sociale au second plan petit à petit. Pour lire les autres épisodes de notre série de la semaine sur les Nouvelles addictions, consultez notre dossier : ici. Je m'abonne

Il n’y a pas d’addiction aux jeux videos Il n’y a pas d’addiction à l’Internet|aux jeux vidéos. Volà un billet que j’ai écrit en 2006 et ma position n’a pas bougé depuis. Elle s’articule principalement autour de deux points : 1. la psychopathologie. 2. l’éthique. il peut y avoir des addictions meilleures que d’autres. Gameblog.fr vient de publier un billet faisant état de la position de Keith Baker : Jeu vidéo et addiction : un spécialiste se rétracte. Ces enfants arrivent en montrant quelques vagues symptômes similaires à d’autres addictions, et dépendances chimiques, mais plus nous travaillons avec ces gosses, moins je pense qu’on peut appeler ça de la dépendance. Le papier reprend une interview de Keith Baker donné à BBC News : Compulsive gamers "not addict" . En France, Thomas Gaon a fait une critique de la notion de dépendance aux jeux vidéos qui va dans ce sens. L’exemple donné par la BBC montre bien ce que le jeu vidéo peut avoir d’intégratif. Keith Bakker en est arrivé à ce point. WordPress: J'aime chargement…

Smokitten, le jeu - Le jeu vidéo pour arrêter de fumer ! What’s Smokitten? Smokitten is a serious game to stop smoking… or never start!The purpose of mobile game Smokitten is to help smokers quit cigarettes and raise awareness among children about the dangers of tobacco. Despite its educational goal, Smokitten is primarily a video game – i.e. an engaging tool with which the player can have fun and enjoy playing again and again. So Smokitten falls into the Games for Change category. Smokitten and Smokitten Park are available for Android and iOS smartphones and tablets since September 2018. Why did we do this project? Tobacco is an extremely sensitive topic, and a real public-health problem. The game’s concept? In Smokitten, you must look after a small virtual companion: a smoking kitten that wants to break its tobacco addiction! Smokitten helps you fight the urge to smoke, but also monitor your progress and get support from an entire community by sharing both your doubts and successes with them – as the app lets players interact. Did you know?

L’addiction numérique, un mal croissant chez les jeunes A Singapour, comme dans un nombre grandissant de pays, des psychiatres militent pour que l'addiction aux smartphones soit reconnue comme un trouble psychologique. Avec la Corée du Sud, la Chine et Taïwan, la cité-Etat est l'un des pays d'Asie les plus concernés par ce phénomène. L’addiction au smartphone, un trouble psy ? Singapour et Hong Kong détiennent d’ailleurs le record régional du plus grand nombre d'utilisateurs de smartphones par habitant, selon un rapport publié l'an dernier par le cabinet d'étude Nielsen. 87% des 5,4 millions de Singapouriens sont ainsi munis d'un téléphone multifonctions, contre 65% aux Etats-Unis. Ils passent en moyenne 38 minutes par session sur Facebook, soit presque deux fois plus que les Américains, selon la société Experian.En France, les dernières études menées établissent à 40 % le pourcentage de Français qui utilisent l'internet mobile, c'est-à-dire depuis leurs smartphones et tablettes*. Chez les jeunes de 15 à 29 ans, ce taux grimpe à 79 % !

comportements addictifs liés à l'usage du numérique

Merci beaucoup pour le partage de cette vidéo. Très intéressant! by maisonneuve_groupee_psy Mar 12

Merci pour ce partage, une vidéo très explicite parlant de l'addiction aux nouvelles technologies et les explications qui vont avec. by domecq_groupee_psy Mar 12

Très intéressant! Le reportage traite surtout de l'addiction et c'est sans aucun doute une notion à prendre en compte. by porcene_grouped_psy Mar 10

Très bon reportage avec tout ce qu'il faut, témoignage, explications psychologiques et cognitives. Tout ça en 7 minutes !

Frédérique Dorat L2 by freudorat Feb 25

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