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Un immense besoin d'éducation populaire

Un immense besoin d'éducation populaire
Où va le monde et que peuvent les hommes ? C'est à ces deux questions que l'éducation populaire tente à sa manière de répondre. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Christian Maurel, sociologue, cofondateur du collectif national Education populaire et transformation sociale Où va le monde et que peuvent les hommes ? 1- La crise économique, sociale et écologique profonde que nous traversons nous conduit à penser que le monde ne peut rester en l'état et qu'il est urgent que les hommes reprennent collectivement leur destin en main. 2- Nous vivons un redéploiement des inégalités tant dans notre pays que sur l'ensemble de la planète. 3- La démocratie délégataire connaît une grave crise de légitimité. Les hommes, notamment ceux qui subissent les événements, ont un urgent besoin de s'exprimer, de mettre des mots sur ce qu'ils vivent, d'apprendre à voir, de comprendre, de s'engager en sachant mieux l'Histoire qu'ils font. Christian Maurel a publié Education populaire et puissance d'agir.

La culture à l'heure d'Internet amende et la suspension de l'accès à Internet. Actionner ce levier répressif n'est pas la solutionau financement de la culture dans l'ère numéri-que nouvelle que nous découvrons.Le 24 novembre 2011, la Cour de Justice del'Union européenne a d'ailleurs rendu publiqueune décision cruciale sur la question des droitset des libertés sur Internet. Son arrêt dans l'af-faire Scarlet Extended indique que forcer lesfournisseurs d'accès Internet à surveiller et àbloquer les communications de leurs abonnésviole le droit communautaire, et notamment laliberté de communication. « échanges hors-marché » .Réalisés par des internautes sur des sites departage de fichiers ou grâce à des plateformes « webstream » , pour leur usage personnel, ilsont émergé avec Internet et rapidement mis lefeu aux poudres. . « majors » dans le cas de la chansonpar exemple. « riposte graduée » , le dis-positif Hadopi criminalise les «partageurs » etprévoit des contraventions punissables d’une Pourquoi criminaliser ne sert à rien

Que peut signifier plus d’autonomie pour les établissements scolaires? Laisser plus d’autonomie aux établissements scolaires représente une rupture avec la tradition de la fonction publique. Et si c’était la meilleure voie disponible pour sauver le service publique d’enseignement ? S’il s’agit bien d’une idée de gauche, le concept d’autonomie "est devenu, dans le monde de l’éducation nationale, un concept qui fait débat, dessinant des clivages. Il est largement défendu par la majorité présidentielle actuelle", écrit le blog Educ‘ de La Provence. la Toile de l’éducation du Monde (19/1/2011) L’autonomie n’est pas simple. Appliquée aux élèves elle pose plus de questions qu’elle n’apporte de solutions. L’idée de base semble être que si cette idée plaît au gouvernement elle est forcément de droite. Est-il possible d’envisager les bons et les mauvais aspects de la question, de naïvement poser le problème d’une manière différente? L’autonomie des établissements peut-elle présenter une opportunité pour le maintien d’un service public d’enseignement? The economist

Utopsies | Culture et éducation à l'ère numérique Beth Kanter's Blog RAR : l'engagement des personnels, élément clé de réussite - Le Cercle de Recherche et d'Action Pédagogiques et les Cahiers pédagogiques La Dgesco a publié en janvier un bilan sur les Réseaux ambition réussite. Officiellement, des résultats positifs, liés en particulier aux évolutions des pratiques professionnelles autour de la présence de professeurs référents. Encore faut-il que ces postes complexes ne soient pas pourvus à la va-vite par l’administration. Le bilan plutôt positif des Réseaux ambition réussite publié par le ministère intéresse tous les établissements par les trois facteurs de réussite qui émergent : un pilotage pédagogique réel au niveau du réseau, une continuité entre écoles et collèges, et, surtout, l’existence de professeurs ressources. Les professeurs ressources et le bilan des RAR Une moyenne… et des écarts Tout va-t-il pour le mieux dans les RAR ? François-Régis GuillaumeObservatoire des zones prioritaires (OZP)

Expo Itinérante – Art numérique dans les EPN Un Epi de la Drôme a obtenu le soutien de partenaires institutionnels pour mener à bien un projet concernant l’art numérique. Dans un soucis de mutualisation et de mise en réseau, il se propose de faire profiter les autres EPN de la Région qui le souhaitent. Ainsi, Il s’agit d’une idée inspirée de celle du speed show : Présentation Le projet consiste à sélectionner les œuvres de 4 à 8 artistes utilisant le numérique (art numérique, net art), selon le nombre de machine de chaque EPN et nos financements; nous choisirons prioritairement les artistes qui résident ou sont originaires de la région Rhône Alpes. Ensuite nous exposerons ces travaux sur les ordinateurs de votre espace avec une notice biographique sur chaque artiste et son travail. Nous partons dans l’idée que la durée, sur chaque lieu, sera brève : d’une soirée/journée, la plupart du temps, à un week end au maximum.

Recherche-action Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour approcher cette notion aux contours flous et aux synonymes multiples (on parlera tantôt de « recherche-intervention », tantôt de « recherche-expérimentation »), on retiendra deux acceptions spécifiques de la « recherche-action » où se sont cristallisés ses usages, avec des recoupements possibles, notamment autour des années 1970, où la recherche de l'émancipation et de l'autonomie (l'empowerment - le pouvoir-faire), dans la tradition communautaire anglo-saxonne) était un thème politique mobilisateur et transversal aux deux usages. L'une, utilisée en Grande-Bretagne depuis la fin des années 1940 (action research), désigne un mode d'action sociale centrée sur les obstacles et les ressources de la dynamique des groupes, « sociaux » ou « naturels ». La recherche-action en milieu urbain : la ville est-elle soluble dans les sciences sociales ? Les années 1930 : l'École de Chicago[modifier | modifier le code] Formation-action

Blog Archive » Myeurop : regarder ailleurs, mieux comprendre ici Myeurop est un site d’information sur l’Europe animé par deux journalistes et un informaticien passionnés. Leur concept de base : "traiter l’actualité qui concerne les gens, l’info qui leur est proche, d’origine nationale le plus souvent, en la comparant ou en la rapprochant systématiquement et en temps réel avec ce qui se passe ailleurs, dans les pays européens. (…) Myeurop est fait pour les citoyens qui veulent comprendre et élargir leur champ de référence." Sur une page expliquant le projet Myeurop, ils se déclarent indépendants vis-à-vis des institutions, des gouvernements, des partis d’opposition, des groupes de pression et même du "grand capital". Une brève navigation sur le site permet immédiatement d’apprécier la justesse de leur slogan : "Regarder ailleurs, mieux comprendre ici". Partagez cet article sur:

How can museums preserve our digital heritage? This is a guest post by Hilary Young, the Museum of London's Digital Curator. You can email her or follow her on Twitter at @youngwemyss Museums are experiencing a digital revolution. Born digital objects, or things that have no physical equivalent, are shifting what we understand museum objects to be. Simultaneously, born digital collections are forcing museum professionals to rethink the concept of the museum in general. The Museum of London tells the story of the city and its people. Most museums, thankfully, still have traditional curatorial specialisms whereby curators' in-depth knowledge of their collections, appreciation of their significance and professional relationships with those who use the collections underpins their role. Digital objects form a significant part of our cultural and intellectual heritage, particularly as some traditional objects we've collected in the past are being replaced by digital equivalents. Take the Sukey app. Image: Phil Jones / Shutterstock.com

L'apprentissage informel : la partie immergée de l'iceberg Le numéro de juin 2011 de Débat formation, le magazine interactif de l'Association nationale pour la Formation Professionnelle des Adultes (AFPA) est consacré à l'apprentissage informel défini, à la suite du Mémorandum sur l'éducation et la formation tout au long de la vie de la Commission européenne comme étant cet apprentissage qui "peut ne pas être reconnu par les individus eux-mêmes comme un apport à leurs connaissances et à leurs compétences". D'une manière générale, l'apprentissage informel se déroule en-dehors des cadres dédiés à la formation, d'où sa nature informelle. Mais pour qu'il reste informel, cet apprentissage doit être sans intentionnalité et ne doit déboucher sur aucune certification. Tenir compte de l'apprentissage informel En clair, les formateurs se doivent de tenir compte de l'environnement des apprenants ; ces derniers étant en contact plus ou moins permanent avec des flux d'informations dans lesquels les connaissances acquises au final sont sélectionnées.

Lien_telematique Une nouvelle fois, le gouvernement a choisi, soutenu par sa majorité au Parlement, de réduire les moyens de fonctionnement du service public de l'Education nationale. En 2011, 16 000 emplois vont être supprimés. Notre académie paie un lourd tribut puisque ce seront 386 emplois qui disparaîtront. Les conséquences, nous les connaissons trop bien : - dégradation de conditions de travail de tous, due à l'augmentation du nombre d'élèves par classe ; - abandon des élèves en difficultés (rased, soutien. . . ) - déficience de la continuité du service public (diminution du nombre de TZR et de ZIL, non remplacement. . . ) - distorsion grandissante entre les missions assignées et les moyens - Management de plus en plus agressif - Suppression de la formation qu'elle soit initiale ou continue

Des musées numérisés Certains musées s'emparent du numérique pour renouveler l'expérience de la médiation culturelle. La preuve en quinze exemples de dispositifs, conçus aussi bien pour de grosses structures que pour de plus modestes. Depuis les années 1980, la montée des technologies numériques, du multimédia et des technologies de l’information a suscité l’intérêt de nombreux musées. L’audioguide un peu désuet s’est transformé en guide multimédia, les écrans ont envahi les lieux d’expositions, de nouveaux modes d’accès à l’information sont apparus (e.g. via les smartphones). Ces dispositifs, toujours plus sophistiqués, créent ainsi de nouveaux rapports entre le musée et le visiteur. Des tables interactives aux systèmes de guidage à réalité augmentée, voici une sélection hétérogène de dispositifs technologiques originaux et innovants mis en place dans des musées. La Vierge au lapin de Titien au Musée du Louvre : immersion picturale Table multitouch au musée Nestploria : toucher du doigt le passé

Black Mountain College Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Black Mountain College fut une université libre expérimentale, fondée en 1933 près d'Asheville en Caroline du Nord, aux États-Unis. Plate-forme pour les pratiques artistiques d'avant-garde, elle a considérablement marqué l'histoire de l'art du XXe siècle. Historique[modifier | modifier le code] Le Black Mountain College, dont le nom vient des nombreuses montagnes noires qui entourent l'université, fut fondé en réaction aux écoles plus traditionnelles sous l'impulsion de plusieurs enseignants (John Andrew Rice, Theodore Dreier...), avec une orientation pédagogique plus libérale axée sur l'expérience de petites communautés et la mise en avant du travail manuel. Fortement influencé par la pédagogie de John Dewey, l'établissement reste aujourd'hui surtout célèbre pour son activité autour des arts plastiques, de la poésie, ou de la musique, bien que son enseignement ait été multi-disciplinaire (sciences, langues, histoire, etc.).

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