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THEME 1 CHAP 3 Titre II la monnaie et ses fonctions : La crise de change

THEME 1 CHAP 3 Titre II la monnaie et ses fonctions : La crise de change

Zone euro La zone euro Le taux directeur refi de la zone euro, fixé par la Banque centrale européenne, est de 0 % depuis le 10 mars 2016 (il est publié sur le site de la Banque centrale européenne)[6]. À partir du début de l'année 2010, avec le déclenchement de la crise de la dette publique grecque, puis de la crise irlandaise, la zone euro entre dans une période de turbulences. Au cours de nombreuses réunions du Conseil européen et de nombreux sommets européens, l'architecture globale de la zone euro va connaître de profondes évolutions. Historique et origine[modifier | modifier le code] pays de la zone euro pays membres de l'UE et du MCE II sans faire partie de la zone euro pays membres de l'UE hors MCE II autres pays utilisant l'euro comme monnaie Avant Maastricht[modifier | modifier le code] Négociations de Maastricht[modifier | modifier le code] La décision de créer l'euro a été officialisée lors du traité de Maastricht. Deux visions se sont opposées. Passage à l'euro[modifier | modifier le code]

Stats info L’encours des avoirs monétaires (hors billets et pièces) est constitué de placements d’une durée inférieure ou égale à 2 ans que les agents détenteurs de monnaie (ménages, sociétés non financières, administrations publiques hors administration centrale, sociétés d’assurance, OPC non monétaires, entreprises d’investissement et organismes de titrisation, pour l’essentiel) détiennent auprès des institutions financières monétaires (établissements de crédit, sociétés de financement, Caisse des dépôts et consignations, OPC monétaires et banque centrale). Les comptes sur livrets comprennent les livrets A, les livrets de développement durable, les comptes d’épargne logement, les livrets d’épargne populaire, les livrets jeunes et les livrets ordinaires. L’épargne réglementée est en partie centralisée au Fonds d’épargne géré par la Caisse des dépôts et consignations et ne fait ainsi que transiter par les bilans des banques.

Euro en chute libre : faut-il s'inquiéter ou se réjouir ? VRAI/FAUX - La baisse de l'euro est-elle une bonne chose pour l'économie française ? Pour l'Allemagne ? La monnaie européenne est-elle victime de la spéculation ? • Question 1: L'euro tres bas, l'essence peu chère. Vous utilisez un bloqueur de publicité Pour poursuivre la lecture de nos articles, nous vous proposons deux solutions : Tout Le Figaro en illimité Le journal en numérique dès 22h Le site Premium, sans publicité L’information sur tous les écrans 1 MOIS D’ESSAI GRATUIT Réponse de Christopher Dembik: La conjonction d'un prix du baril très bas et d'un euro faible est indéniablement un élément de soutien pour la reprise de l'économie française. L'Union monétaire ne peut pas gagner la guerre des devises dans laquelle elle est engagée face au Japon, aux Etats-Unis et à une myriade de pays émergents. Réponse de Christopher Dembik: L'euro est une monnaie solide et dans laquelle les investisseurs ont confiance*. • Question 3: Rien d'étonnant à ce que l'euro baisse...

La monnaie : une question de confiance - Crédit vient de « croire » et fiduciaire de « foi’ ». Qu’est qui fonde au juste la confiance dans la monnaie, cette richesse de papier ? Les qualités qui font la « bonne monnaie », son extrême dépouillement peuvent être les défauts de l’instrument d’accumulation (une monnaie sans valeur substantielle). Des trois fonctions de la monnaie, la troisième (réserve de valeur) requiert des dispositifs de confiance plus robustes, parce qu’elle s’inscrit dans le temps et s’expose au risque. Les métaux précieux offrent un bon compromis : ils circulent assez aisément tout en recélant une valeur élevée sous un volume réduit. Quand l’instrument monétaire est la pièce d’or, elle assume tout à la fois la garantie (l’or), la circulation (la pièce) et l’accumulation (la pièce d’or). C’est pourquoi la confiance s’est longtemps fondée sur la valeur substantielle de l’instrument monétaire ou tout au moins la convertibilité en métal de la monnaie fiduciaire de papier. L’euro : une monnaie laïque

La BCE a encore des munitions pour agir, estime le gouverneur de la Banque de France Dans un entretien accordé au Figaro à l'issue de l'Assemblée annuelle du FMI, François Villeroy de Galhau s'exprime sur le Brexit, les limites des taux d'intérêt négatifs et les défis du numérique auxquels sont confrontées les banques européennes. Les incertitudes géopolitiques, les conséquences inéluctables et encore à venir du Brexit sur l'économie européenne, les menaces qui pèsent sur Deutsche Bank, la première banque d'Allemagne, ainsi que les fragilités des établissements financiers italiens et portugais: l'Europe a été au cœur des assemblées annuelle du Fonds monétaire international et de la Banque mondiale qui se sont tenues à Washington du 7 au 9 octobre. Elles ont réuni les 189 grands argentiers, ministres et gouverneurs de banques centrales de la planète. Vous utilisez un bloqueur de publicité Pour poursuivre la lecture de nos articles, nous vous proposons deux solutions :

La monnaie alternative, volonté de certains Lodévois Près d'une vingtaine de personnes est venue assister à cette première réunion qui s'est déroulée en cette fin d'année, dans les locaux de l'association La Compagnie des Jeux, pour parler du projet de monnaie alternative à Lodève. Les deux instigateurs de cette première rencontre : Anne et Julien, qui refusent d'être les porte-paroles de ce collectif encore en création, dans une volonté très démocratique. "En tant que personnes, nous avons des idées mais c'est le groupe qui décidera ce qui se fera et ce qui ne se fera pas », expliquent en cœur les deux organisateurs, alors que le projet n'en est qu'aux prémices. L'exemple de Toulouse ou de Pézenas "L'envie de cette monnaie alternative existe depuis près de huit ans, avec plusieurs Lodévois qui le souhaitaient déjà à l'époque", poursuit Anne. "Il y a différentes formes de monnaies alternatives. Tout reste à faire À l'issue de cette première rencontre, de nombreux sujets ont été abordés.

Monnaie locale complémentaire "Toupictionnaire" : le dictionnaire de politique Définition de monnaie locale complémentaire Une monnaie locale complémentaire ou monnaie locale ou monnaie complémentaire est une monnaie parallèle qui n'émane pas d'un gouvernement national et qui est destinée à être échangée exclusivement dans une zone géographique limitée. Elle fonctionne en complément de la monnaie nationale. Ses objectifs sont : défendre les principes de l'économie sociale et solidaire, dynamiser l'économie locale en relocalisant la production, favoriser le lien social au travers une certaine éthique, éviter la spéculation. Chaque projet de monnaie locale complémentaire a ses spécificités, comme par exemple : favoriser le lien social, promouvoir une autre forme de consommation (par ex : protéger les ressources naturelles) favoriser le fonds de roulement des entreprises, donner accès à davantage de biens sociaux. Quelques exemples de monnaies locales complémentaires : >>> Terme connexe : Système d'échange local

Le rôle de l’or La Banque de France a renforcé depuis le début de l’année ses services relatifs aux dépôts ou aux transactions en or. La France et les autres États possèdent toujours des réserves d’or, considéré comme un placement particulièrement sûr. Le métal précieux a joué un rôle majeur tout au long de l’histoire économique. La Banque de France a conclu en début d’année un partenariat avec la banque américaine JPMorgan pour offrir des services de transactions, de prêts et de dépôts d’or, une information révélée vendredi dernier par Les Échos et confirmée à Brief.eco. Aujourd’hui, ces transactions s’effectuent principalement sur le marché londonien, qui fixe le cours de l’or utilisé à l’échelle internationale. « Paris pourrait progressivement redevenir une place clé sur le marché de l’or », a écrit Sylvie Goulard, sous-gouverneure de la Banque de France, dans l’édition d’octobre de la revue de la London Bullion Market Association, l’organisation professionnelle du marché de Londres. L’étalon-or.

Bitcoin Pourquoi on en parle. Le bitcoin, une monnaie électronique, a perdu un cinquième de sa valeur en une semaine selon CoinMarketCap, le principal site d’analyse du cours des cryptomonnaies, catégorie à laquelle il appartient. En passant sous la barre des 4 000 dollars, le bitcoin est tombé à son plus bas niveau depuis septembre 2017, après avoir atteint un plus haut historique en décembre 2017, à près de 20 000 dollars. Cette chute n’est pas propre au bitcoin, les cours d’autres cryptomonnaies, telles que le ripple, l’ether ou le lumen, baissent également. En quoi ça consiste.

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