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Travailler de n’importe où, une expérience d’entreprise libérée

Travailler de n’importe où, une expérience d’entreprise libérée
Libérer l’entreprise c’est faire exploser ses cadres traditionnels et adopter une organisation managériale différente, pour le plus grand bonheur des employés. De nombreuses entreprises se lancent dans cette démarche de changement, popularisée avec la diffusion au mois de février d’un documentaire sur Arte. Car libérer l’entreprise c’est aussi la rendre plus performante. C’est ce qui a motivé la société Doyoubuzz, une start-up nantaise, qui a entreprise depuis 6 mois d’opérer un reboot complet. « Pourquoi travailler dans la grisaille alors qu’on peut le faire depuis une plage sous le soleil ? Il faut dire que le concept de Hackerbeach a de quoi séduire les développeurs. « C’est un rassemblement assez informel entre développeurs volontaires qui veulent se retrouver et rester une semaine ou un mois » raconte Thomas. « Je suis parti 3 semaines avec des amis. Une expérimentation de travailleur nomade qu’il a raconté dans un « petit guide du travailleur-voyageur ».

Olivier Maurel Co-Gitons : Edition Orignale Vous partez en vacances cet été ? Faites garder votre maison par un retraité Le départ en vacances est pour bientôt et vous ne savez toujours pas qui va arroser les plantes ou garder votre chat ? Soucis résolus grâce à la plateforme seniorsavotreservice.com. Créée en 2008, Seniors à votre service est la première plateforme de mise en relation entre des candidats retraités et des particuliers. Cette plateforme peut être une bonne alternative pour partir en vacances l’esprit tranquille. Peu coûteuse, cette initiative vous permettra de ne plus vous soucier des cambriolages ou autres gardes d’animaux de compagnie. Depuis quelques années, la plateforme seniorsavotreservice.com a remarqué une forte tendance de recrutement de seniors lors des périodes estivales. Valérie Gruau, fondatrice de seniorsavotreservice.com, constate « une forte demande des missions de gardiennage en été, entre les mois de mai et août avec +42 % des seniors recrutés pour du home-sitting pendant cette période ». Illustration bannière © Viacheslav Nikolaenko – Shutterstock

Pourquoi la société salariale a besoin de nouveaux valets, par André Gorz (Le Monde diplomatique, juin 1990) Depuis le début de l’ère moderne, une question n’a cessé de se poser à l’Occident : dans quelle mesure la rationalité économique est-elle compatible avec ce minimum de cohésion sociale dont une société a besoin pour survivre ? Cette question se pose aujourd’hui sous des aspects nouveaux, avec une actualité et une acuité accrues. Le contraste est en effet saisissant entre la réalité et le discours lénifiant de l’idéologie dominante. Dans l’ensemble des pays capitalistes d’Europe, on produit trois à quatre fois plus de richesses qu’il y a trente-cinq ans ; cette production n’exige pas trois fois plus d’heures de travail, mais une quantité de travail beaucoup plus faible. En RFA, le volume annuel du travail a diminué de 30 % depuis 1955. En France, il a baissé de 15 % en trente ans, de 10 % en six ans. Ces chiffres, notre civilisation, notre presse, nos représentants politiques préfèrent ne pas les regarder en face. La situation en France n’a rien d’exceptionnel à cet égard.

europe.newsweek Sign up Sign up to our daily newsletter for up to date global news and features. Here's something for economists and other policy-makers to chew on: What if there were really no more jobs than we have now? Not just fewer jobs. Not merely a shorter workweek and earlier retirement. Nor even a massive shift away from farming and manufacturing. What if the increasing unemployment of the last 20 years presaged a long period in which it would be cheaper for developed countries to keep half or more of their citizens jobless from cradle to grave? But it is no longer universally dismissed. Get the magazine, the app and full web access from $1 a week To such theorists, the European and American experience since 1973 is evidence that the no-more-jobs scenario is plausible. To be sure, mainstream economists and politicians dismiss the radical scenario sketched above as either far off in the future or just plain kooky. The vision is both beguiling and horrifying.

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