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La valorisation des reseaux sociaux dans la recherche scientifique

La valorisation des reseaux sociaux dans la recherche scientifique

Comment fonctionne le moteur Google ? Des articles et billets sur le marketing et l'histoire de Google, il y a en à foison. Sur les process de fonctionnement de la machinerie Google (indexation, clustering, tri des résultats, serveurs), il y en a moins. Tout simplement parce que les détails restent secrets et que l'on écrit à partir de déductions ? Ainsi, on vient d'estimer le nombre de serveurs de Google à...900 000. A rapprocher d'autres infographies et articles expliquant le fonctionnement du moteur de recherche : - How Does Google Work? - How Google Works (Spiders) Christophe ASSELIN Twitter: @asselin Digimind Logiciel de veille et e-réputation [ intelligence-center.com ] Sur Google+

Hébergeur web Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Un hébergeur web (ou hébergeur internet) est une entité ayant pour vocation de mettre à disposition des internautes des sites web conçus et gérés par des tiers. Il donne ainsi accès à tous les internautes au contenu déposé dans leurs comptes par les webmestres souvent via un logiciel FTP ou un gestionnaire de fichiers. Concentration des serveurs hôtes de l'Internet projetée sur une carte politique du monde ; chiffres obtenus en 2009. Activité[modifier | modifier le code] L'hébergement Internet trouve sa justification par diverses raisons parmi lesquelles : • la nécessité de sécuriser le service hébergé, • la mise à disposition par le prestataire de ressources conséquentes (bande passante en téléchargement...), • le conseil et les services de support associés. IP et DNS[modifier | modifier le code] Il peut être important de localiser l'endroit où l'hébergeur a ses serveurs. Catégories d'hébergement[modifier | modifier le code] Portail d’Internet

Licences libres et crowdfunding : une combinaison gagnante ! La question revient souvent à propos des licences libres de savoir si elles sont réellement capables de s’articuler avec des modèles économiques viables pour la production de biens culturels, autrement que par le système de monopole exclusif du droit d’auteur "classique". La semaine dernière, j’ai reçu par la Poste une preuve tangible que de tels modèles économiques peuvent exister, en associant licences libres et crowdfunding (financement participatif), ce système dans lequel le créateur demande en amont au public de contribuer à la réalisation d’un projet en donnant une somme d’argent laissée à son appréciation. L’originalité du projet résidait dans la "licence" retenue par Nina Paley pour ses ouvrages : le Copyheart qui se résume à ceci : ♡ Copying is an act of love. Please copy. Nina Paley demandait 3000 dollars pour imprimer les minibooks et les envoyer sous forme de récompense à ses contributeurs. Cet objectif a été atteint en… deux jours (!!!) Like this: J'aime chargement…

Licence Creative Commons Objectif[modifier | modifier le code] Certains droits réservés. Creative Commons est une organisation à but non lucratif, dont le but est de faciliter la diffusion et le partage des œuvres, tout en accompagnant les nouvelles pratiques de création à l'ère du numérique. Le but de Lawrence Lessig, le fondateur, était donc de développer des droits de propriété intellectuelle plus souples. Les licences Creative Commons ont été créées en partant du principe que la propriété intellectuelle était fondamentalement différente de la propriété physique, et du constat selon lequel les lois actuelles sur le copyright étaient un frein à la diffusion de la culture. Leur but est de fournir un outil juridique qui garantit à la fois la protection des droits de l'auteur d'une œuvre artistique et la libre circulation du contenu culturel de cette œuvre, ceci afin de permettre aux auteurs de contribuer à un patrimoine d'œuvres accessibles librement par tous. À qui sont-elles destinées ? Version courante : 4.0

Licence Art Libre Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Logo de la Licence Art Libre Description[modifier | modifier le code] Elle autorise tout tiers (personne physique ou morale), ayant accepté ses conditions, à procéder à la copie, la diffusion et la transformation d'une œuvre, comme à son exploitation gratuite ou commerciale, à condition qu'il soit toujours possible d'accéder à sa source pour la copier, la diffuser ou la transformer. Elle a été rédigée en juillet 2000 grâce aux contributions de la liste de diffusion <copyleft_attitude Cette licence est consultable sur le site artlibre.org[2] ; elle est également disponible en anglais[3], en allemand[4], en espagnol[5], en italien[6] et en portugais[7]. Soumise au droit français, elle est valide dans tous les pays ayant signé la Convention de Berne ; cette convention établit une norme juridique internationale sur la propriété littéraire et artistique. Historique[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code]

Artlibre.org Gratis versus libre An advertising mascot dressed as a mug of beer, holding a sign saying "Piwo gratis" (Polish for "free beer") in the centre of Kraków, Poland advertising beer being given away without cost. Lucha Libre is a form of freestyle wrestling and is "free" since it is comparatively unrestricted. Gratis versus libre is the distinction between two meanings of the English adjective "free"; namely, "for zero price" (gratis) and "with little or no restriction" (libre). The ambiguity of "free" can cause issues where the distinction is important, as it often is in dealing with laws concerning the use of information, such as copyright and patents. The terms are largely used to categorise intellectual property, particularly computer programs, according to the licenses and legal restrictions that cover them, in the free software and open source communities, as well as the broader free culture movement. For example, they are used to distinguish freeware (software gratis) from free software (software libre).

Copyleft Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le symbole du copyleft, avec un C « inversé » (tourné à gauche), est l'« opposé » du copyright (C tourné à droite). En 2009, il n'est pas reconnu comme symbole légal. Le copyleft[Note 1] est l'autorisation donnée par l'auteur d'un travail soumis au droit d'auteur (œuvre d'art, texte, programme informatique ou autre) d'utiliser, d'étudier, de modifier et de diffuser son œuvre, dans la mesure où cette même autorisation reste préservée. L'auteur refuse donc que l'évolution possible de son travail soit accompagnée d'une restriction du droit à la copie, à l'étude, ou à de nouvelles évolutions. Jeu de mots et traductions[modifier | modifier le code] Le terme copyleft est un jeu de mot construit par opposition au terme copyright. L'idée suggérée par Copyleft est donc laisser copier, en opposition avec copyright (Droit de reproduction/d'auteur). Fondements[modifier | modifier le code] — Richard Stallman Régime juridique[modifier | modifier le code]

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