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Transféminisme 101

Transféminisme 101
L’autrice, ne collaborant plus avec l’Echo des Sorcières aujourd’hui, souhaite prendre ces distances vis à vis de cet article. Si certains points lui semblent toujours pertinents, comme le refus de la notion de « socialisation » qui justifierait le rejet des femmes trans, elle ne partage plus certaines idées évoquées dans cet article. C’est le cas par exemple de l’inclusion des hommes trans dans les personnes qui devraient être les sujets du transféminisme, et plus largement leur inclusion systématique dans les non-mixités féministes. Quand j’ai commencé à déambuler dans les méandres des militantismes féministes et lgbt, j’avais déjà lu pas mal de choses sur ces questions, mais je ne m’étais jamais confrontée aux dynamiques de groupe et au monde militant. Le but du présent article est donc de proposer, pour le bénéfice des militant-e-s féministes et trans, une argumentation politique pour étayer le nécessaire rassemblement entre féminisme et militantisme trans. Introduction Conclusion Related:  COUIRE

Singing the Lesbian Blues in 1920s Harlem When Gertrude “Ma” Rainey—known as “The Mother of Blues”—sang, “It’s true I wear a collar and a tie, … Talk to the gals just like any old man,” in 1928’s “Prove It on Me,” she was flirting with scandal, challenging the listener to catch her in a lesbian affair. It might not seem like a big deal to us now, but back then, pursuing same-sex relations could get you thrown in jail. “It was under the cover of night, because they could be prosecuted for same-sex activity.” The good news for women-loving chanteuses like Rainey, Bessie Smith, and Gladys Bentley is that blues music in the 1920s was so far under the radar of mainstream America, female blues singers could get away with occasionally expressing their unconventional desires. That said, they all felt obligated to produce song after song about loving and losing men. Top: Cabaret singer and pianist Gladys Bentley, who performed in a tuxedo, drew a crowd to the Clam House in Harlem in the 1920s.

Je ne suis pas un Efferalgan | VendeurSEs de haine Mots-clés : homophobie, LGBT, Marche, Pride Cela devient un genre éditorial en soi : la tribune d’un homo dénigrant la visibilité LGBT. Chacun-e a le droit de défendre un droit à « l’indifférence » pour sa propre vie. Dans sa tribune, parue le 18 août, Pierre Nourrev proclame son droit à l’indifférence : « Mon plus grand souhait est d’être soluble dans mon environnement social au même titre que le premier venu, et pour ce faire, je dois me comporter comme le premier venu, avec ma différence qui ne regarde que moi. » On note immédiatement la difficulté de l’exercice : affirmer, en tant que gay, qu’on ne veut pas s’affirmer en tant que gay. Il s’agit bien d’une critique systématique du militantisme LGBT dont un des fondements est la visibilité, et qui se voit accuser de faire le jeu des homophobes. Le premier présupposé consiste à faire de l’ignorance le moteur d’une critique politique. 24 avril 2004. Les Prides sont des lieux de diversité. Pierre Nourrev veut être soluble.

L’art et la plasticité des genres 1Au début du 19e siècle Hegel soutient que l’art est mort comme activité absolue et qu’il n’est par conséquent qu’une représentation déceptive de l’esprit. Á la fin du siècle Nietzsche affirme que l’art crée des possibilités de vie et est la présence d’une surhumanité en devenir. C’est avec pour horizon cette opposition tranchée que, dans un livre récent1, on a engagé une réflexion sur l’art et son histoire. 2La thèse soutenue, le « dianouménal » (de « dia », à travers, et « noûs », esprit), est, d’une part, d’inspiration nietzschéenne, car elle consiste à penser l’art comme l’activité par laquelle l’esprit ne cesse de dépasser sa phénoménalité humaine en traversant volontairement cette forme de vie pour tendre vers un autre rapport au monde, de sorte que l’on peut bien parler à son endroit de dia-nouménalité. Cette transgression de l’humain a souvent pris la forme artistique d’une transgression du genre. 5L’art préhistorique est le moment de l’art dianouménal immédiat.

19 Photographs Of Hipsters Taking It Way Too Far Our friends at Urban Dictionary define hipsters as: A subculture of men and women typically in their 20's and 30's that value independent thinking, counter-culture, progressive politics, an appreciation of art and indie-rock, creativity, intelligence, and witty banter. Hipsters reject the culturally-ignorant attitudes of mainstream consumers, and are often be seen wearing vintage and thrift store inspired fashions, tight-fitting jeans, old-school sneakers, and sometimes thick rimmed glasses. The "effortless cool" urban bohemian look of a hipster is exemplified in Urban Outfitters and American Apparel ads which cater towards the hipster demographic. A pretty fair and balanced (if slightly tongue in cheek) description don't you think? But as you're about to see, like any sub-culture there are people who adopt a trend for fun and those that take it to a whole other level. Face it, you're speechless aren't you....

The Danish Girl : un mélo transphobe Remarques préliminaires : le film met en scène un personnage pour lequel les genres masculin et féminin sont en concurrence, et qui oscille entre les deux. Aussi l’usage fait du prénom et du pronom pour désigner ce personnage dans cet article tâche-t-il de correspondre à cette ambivalence telle qu’elle se manifeste à l’écran. En revanche, lorsqu’il est fait mention du personnage historique Lili Elvenes en tant que tel, le genre féminin est systématiquement employé. The Danish Girl, réalisé par Tom Hooper est sorti le 20 janvier 2016 sur les écrans français et a déjà reçu un certain nombre de distinctions[1]. L’histoire est celle d’Einar Wegener, un peintre danois vivant avec sa femme Gerda à Copenhague, au début du XXème siècle. Le film prétend narrer l’histoire vraie de la première personne, Lili Elbe, à avoir subi une opération de réassignation sexuelle en 1930. Titre et casting : le film s’annonce mal Le titre constitue déjà un indice concernant le contenu du film. Le mâle, le vrai

Agender, une série photo de personnes ni homme ni femme Avec sa série Agender, la photographe américaine Chloe Aftel a voulu mettre en lumière les personnes qui se considèrent ni homme ni femme, afin de les soutenir. Sasha (Crédit Image : Chloe Aftel) Pour Chloe Aftel, tout commence en novembre 2013 lorsque Sasha Fleischman, 18 ans, endormi(e) dans le bus pour rentrer chez il/elle, se réveille en sursaut à cause des flammes qui commencent à lui brûler les jambes. Non pas un accident, mais une “blague” d’un camarade de classe qui n’appréciait visiblement pas que Sasha se considère d’un genre neutre. Avec des brûlures au deuxième et troisième degré, il/elle est hospitalisé(e) pendant plusieurs semaines et dévient un symbole de lutte pour le genre neutre. A l’époque, Sasha avait déclaré : Je pense que vous devriez être en mesure de réaliser que ce n’est pas juste une farce… Je ne veux pas être trop sévère parce que les gens font des choses stupides. Edie (Crédit Image : Chloe Aftel) (Crédit Image : Chloe Aftel)

The Myth of the Queer Arab Life For most people in the West life in the Arab world for gay people is hard to fathom. It is, like many other parts of life in this region, complicated. One of my favorite television shows growing up was a Ramadan special featuring an Egyptian performer called Sherihan. One year she had a Ramadan special called ‘Sherihan Around the World’, a twenty-minute singing and dancing extravaganza, which had her dressing in exquisite costumes from around the world and performing elaborate song and dance routines. Sherihan was a woman, but she was the best drag queen I had ever seen: camp, self-aware, and fabulous. Twelve years later, when I was living in Amman, my boyfriend broke up with me. I did not see this transformation coming, but it happened. I blamed Sherihan. Many Arabs who engage in same-sex practices do not identify as ‘gay’, ‘lesbian’, or ‘bisexual’. Ronen Zvulun/Reuters Despite this, queer Arab bodies have become a battleground in a much larger war. Thank You! “Is this better?” Facebook

“It’s better to be a cute boy than an ugly butch... Black, queer, feminist, erased from history: Meet the most important legal scholar you’ve likely never heard of Ruth Bader Ginsburg has emerged as the liberal hero of a hopelessly right-wing Supreme Court, a ram in the bush for those of us who look on in horror as the court presides over the dismantling of key pieces of legislation like the Voting Rights Act, anti-discrimination law and affirmative action policy, which have been so critical to African-American advancement since the 1960s. In a recent interview at Georgetown University, Ginsburg reflected on the history behind one of her key legal accomplishments, the 1971 case of Reed v. Reed. After an estranged couple lost their son, his mother, Sally Reed, petitioned to administer his estate. But much of the legal groundwork for that argument can be attributed to Dr. Ginsburg named Murray and Judge Dorothy Kenyon as co-authors of her brief in the Reed case, because even though they didn’t help to write it, these two women had been pioneers in creating the legal strategy for fighting sex discrimination.

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