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À l'école de la vie | Catherine Bouchard | Actualités Chaque année, ce centre d'enseignement de la Commission scolaire de la Région-de-Sherbrooke reçoit au total 3600 adultes. Quelque 40 % de ces personnes ne sont pas nées au Québec. En effet, l'école comprend un important volet de francisation. C'est d'ailleurs dans ces classes qu'a commencé Fatimata Ouedraogo. "Mon mari est au Canada depuis 11 ans. Au Burkina Faso, la dame n'avait pas eu la chance de fréquenter l'école bien longtemps. "Je suis fière de moi. La Burkinaise est une battante. "Je ne vois pas mon handicap, je fais tout comme tout le monde. D'autres jeunes proviennent de divers programme du secondaire. Il faut aussi dire que Raphaël venait d'être placé en famille d'accueil. "C'est un garçon qui ne l'a pas eu facile, mais nous voyons qu'il veut vraiment réussir. Le choix: voilà la différence fondamentale entre le secteur des adultes et celui des jeunes. "Les gens qui réussissent le mieux ici, d'habitude, sont ceux qui ont vécu leur vie avant de retourner à l'école.

Thérapies en ligne - Santé mentale de A à Z - Espace Presse Compagnon omniprésent de notre quotidien contemporain, Internet n'est pas sans influence dans le champ de la santé mentale. Nées aux Etats-Unis, les consultations psychologiques en ligne connaissent aujourd'hui un succès croissant. Pour les digiborigènes[1] (Prensky, 2001), trouver une aide thérapeutique sur le réseau est parfaitement naturel. Ne remplaçant pas une thérapie en face-à-face, cette formule ouvre néanmoins la porte à un public qui, sans internet, ne l'aurait peut-être jamais franchie. Aujourd’hui, la question n'est plus de savoir si Internet peut ou non être le lieu d'une pratique thérapeutique, elle est de savoir comment utiliser le réseau sans céder sur la déontologie. Historique Bien avant l'avènement de l'électronique, Freud analysait par échange de correspondance certains patients. Sur la toile, psychologie et psychothérapie ont d'abord été un objet d'échange avant de devenir une pratique. Dès 1999, la Société internationale pour la santé mentale en ligne (ISMHO)

Famille Barlagne: «Une honte pour le Canada», dit Mulcair | Paul Journet | National «Hier, j'étais encore avec la famille. Ils sont en train de reformuler une demande humanitaire. C'est une décision ignoble, intolérante et intolérable, et on va essayer de la renverser», a affirmé Thomas Mulcair ce matin en point de presse au marché Jean-Talon. Le couple français s'est installé à Montréal en 2005. Tous leurs recours juridiques sont épuisés. Le ministre français de l'Immigration avait en vain essayé de faire pression sur le ministre Kenney. M. Il a rappelé que c'est le Canada qui avait courtisé M. Quant à Gilles Duceppe, il a demandé au ministre Kenney de revenir sur l'expulsion d'une famille française dont la fille est, pour Immigration Canada, un «fardeau excessif».

sites web École du Mistral de Mont-Joli: une salle multisensorielle en aide à l'apprentissage | Carl Thériault | Les régions (Mont-Joli) Le jeu des ombres et de la lumière, les couleurs, les formes, la musique, une ambiance où tous les sens peuvent être solli cités, de la vue à l'ouïe, en passant par l'odorat, le goût et le toucher, voilà le climat qui règne dans la nouvelle salle multisensorielle de l'école du Mistral de Mont-Joli destinée aux élèves avec des déficien ces intellectuelles importantes. «Les résultats dépassent même nos espérances. La salle est utilisée depuis environ un mois, et nos jeunes l'apprécient beaucoup. Ils ont toujours hâte d'y aller et ils deviennent alors plus détendus et réceptifs», explique Patricia Côté, directrice adjointe du premier cycle de l'école du Mistral et responsable du Parcours préparatoire à la vie active. Les jeunes sont encadrés et accompagnés par une enseignante, un technicien en éducation spécialisée et une préposée aux élèves handicapés. L'approche est d'inspiration européenne, le concept Snoezelen ayant été développé dans les années 70 aux Pays-Bas.

sources informelles Pour une classe spéciale performante | Christian GénéreuxL'auteur, qui est atteint de paralysie cérébrale, est bachelier en science politique de l'UQAM. | Opinions L'intégration des enfants ayant des incapacités à la classe ordinaire, j'en suis un pur produit. C'était à la rentrée scolaire de septembre 1978. À 8 ans, j'étais à l'époque un des premiers enfants ayant la paralysie cérébrale fréquentant l'école de son quartier à la CECM (devenu depuis la CSDM). Trente ans plus tard, l'expérience m'a bien servi: mes résultats au primaire et au secondaire ont été dans la moyenne, je n'ai pas décroché et surtout, j'ai aujourd'hui un baccalauréat en science politique. J'en suis donc pour l'intégration à la classe ordinaire... mais l'observateur attentif des questions liées à la participation sociale des personnes ayant des incapacités que je suis, doute. Il est impératif de reconnaître que le rôle premier de l'école est d'instruire, bien qu'elle ait également une mission de socialiser. La place optimale de chaque enfant ayant des incapacités n'est donc pas nécessairement dans la classe ordinaire.

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