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Usage intensif du digital et risques psychosociaux chez les cadres - Detox Digitale

Usage intensif du digital et risques psychosociaux chez les cadres - Detox Digitale
Aujourd’hui, nous nous intéressons à la thèse de Cindy Felio, psychologue du travail et jeune chercheuse en Sciences de l’Information et de la Communication (SIC) à l’Université Bordeaux Montaigne. Elle a réalisé une étude qualitative longitudinale ayant pour titre : « Pratiques communicationnelles des cadres : usage intensif et enjeux psychosociaux ». Cette étude poursuit un triple objectif : « expliciter les usages du quotidien des cadres en termes de TIC », définir « les risques psychosociaux potentiellement associés à un usage professionnel des TIC » et « identifier les possibles stratégies de faire-face » (Felio, 2011). Nous avons eu l’occasion d’interviewer Cindy Felio. En voici les propos : Pourquoi avez-vous choisi cette thématique de thèse ? Lorsque j’ai pris connaissance d’un appel à candidature pour une thèse associée à un programme de recherche ANR sur le thème des TIC et des risques psychosociaux, je m’y suis d’emblée projetée.

Flux RSS La technologie menace-t-elle nos libertés ? La technologie menace-t-elle nos libertés ? Depuis plus de vingt ans, les technologies de l’informatique et des télécommunications ne cessent de se développer. Elles modifient en permanence notre quotidien et notre façon d’appréhender les choses. Face à la complexité des usages, on note l’émergence d’une prise de conscience par les consommateurs, et l’importance des questions éthiques. Vivant une époque où les innovations technologiques émergent, nous sommes confrontés à un nouvel usage intensif des nouvelles technologies, et chacun se pose naturellement des questions sur les nouveaux enjeux qui en découlent : Les illégalités, les abus, la violation de la vie privée, le pouvoir des lobbys… Crédits : Forbes.com Concernant la violation de la vie privée, les innovations technologiques, les réseaux sociaux suscitent des questions mais l’utilisateur fait confiance aux politiques de confidentialité. L’utilisateur a aujourd’hui un contrôle sur ces outils. Quelles sont les réactions ? Sources :

Sources informelles Les jeunes et internet : Deux enquêtes instructives Viennent de paraître deux enquêtes qui étudient les pratiques des adolescents sur internet : l’une porte sur les usages de Facebook par les collégiens et lycéens ; l’autre analyse le rapport des jeunes à la culture à l’ère du numérique. Les résultats de ces enquêtes s’avèrent particulièrement intéressants et édifiants dans la mesure où ils permettent de confronter le discours dominant et la réalité des pratiques. Ils peuvent ainsi éduquer notre regard sur les élèves en combattant certaines idées reçues. Ils constituent aussi une invitation à faire d’internet à l’école un véritable espace éducatif. Le Dictionnaire des Idées reçues version 2012 Jeune : individu décérébré, c’est-à-dire illettré (il n’aime pas lire, il ne s’intéresse pas à la culture…) et irresponsable (sur internet, il se met en danger et met en danger autrui). Réseaux sociaux : lieu de dérives diverses, de vains échanges et de mauvaises rencontres (à filtrer en priorité dans tous les établissements scolaires).

Sites web ou contenus de référence quelques blogs sur la questions de l'addiction au numerique,... Journée sans téléphone mobile : et si on décrochait ? Pour l’expert en comportement Thierry Le Fur, il est indispensable de trouver « les conditions d’un usage adapté ». Le Monde.fr | • Mis à jour le | Propos recueillis par Marlène Duretz Une journée sans téléphone mobile ? Autant demander l’impensable et tenir à l’impossible une majorité de détenteurs de ce doudou connecté, que 60 % des Français consultent dans la première heure suivant leur réveil et que 30 % dégainent entre dix à vingt-cinq fois par jour, et 13 % cinquante fois et plus. En considérant que les enfants sont, dès l’âge de 2 ans, derrière les écrans, « nous serons en moyenne connectés plus de cent mille heures, à l’échelle d’une vie, comptabilise Thierry Le Fur. Cet expert en comportements numériques et addictifs considère qu’il est indispensable de « trouver l’“homo équilibrus” qui sommeille en nous (…) et d’identifier les conditions d’un usage adapté ». A quoi reconnaît-on une addiction numérique ? Comment différencier technodépendance et comportement addictif ?

Bienvenue Bienvenue chez Le Psynternaute, le «psy» des internautes. Vous êtes conviés à explorer ce site dédié aux multiples formes de dépendances, plus particulièrement à ce nouveau phénomène social qu'est la cyberdépendance. Vous y découvrirez de l’information sur la cyberdépendance (affective, sexuelle et ludique), l'état actuel de la recherche scientifique, les pathologies reliées à l'ordinateur et/ou à Internet, le modèle clinique de la dépendance virtuelle, les diverses pistes de traitement de la cyberdépendance, etc. Ce site est conçu pour toute personne vivant une dépendance : celle qui en est consciente et qui désire rester sobre ou contrôler ses impulsions; celle qui la dénie et qui voudrait en savoir plus ; celle qui découvre les aspects insidieux d’une dépendance dont elle est peut-être victime sans en être consciente, etc. Bienvenue également à tous ceux et celles qui sont concernés par le concept de dépendance et qui désirent approfondir leurs connaissances.

INTERNET ADDICTION: Quand technologie rime avec pathologie – DSM Une pathologie à part entière, c’est ce que devrait officialiser dès sa prochaine édition de mai 2013, le Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (DSM-5), réalisé et édité par l’Association Américaine de Psychiatrie (AAP). Sous l’appellation d’ «Internet-use disorder» et rangée au chapitre des addictions, cette inscription au Manuel viendra combler pour grand nombre de psychiatres et psychologues la lacune de critères diagnostiques et cliniques d’un trouble déjà largement prévalent en pratique clinique. Un trouble qui sera classé dans la catégorie des Toxicomanies et des troubles addictifs, qui accueille dans cette 5ème édition, au même titre que les troubles de toxicomanie, des addictions non induites par substances, comme l’addiction au jeu –auparavant au nombre des troubles compulsifs et qui rejoint la catégorie-. Un trouble lié à l’utilisation d’Internet (Section II), qui va précéder un trouble lié à la consommation de caféine… (section III).

Frances de 1º de Bachillerato (A2) Aux Etats-Unis, un centre de désintoxication d'un nouveau genre vient d'ouvrir. On n'y traite ni la dépendance à la drogue ou à l'alcool, mais aux jeux vidéo et à internet. Dans un reportage diffusé par une télévision locale, la responsable de l'établissement explique sa mission. Il s'agit de reconnecter à la réalité des jeunes qui errent parfois une dizaine d'heures par jour dans les mondes virtuels. Un accro à World of Warcraft raconte qu'il finissait par s'endormir sur son clavier. Durant six semaines, les patients ont droit à un concentré de vie rêvée. Aux Pays-Bas, l'addiction est traitée depuis 2006 dans un établissement spécialisé. Selon une étude réalisée par l'Association internet de la jeunesse chinoise, plus de 10 millions des 100 millions d'adolescents chinois souffriraient d'une dépendance virtuelle. QUESTIONSQuelle est la mission d'un centre de désintoxication? Malheureusement, l'ordinateur est devenu un compagnon obligatoire de la plupart des métiers dans le monde.

Internet a-t-il créé de nouvelles maladies mentales? Garnett Spears a passé une grande partie de sa courte vie dans les hôpitaux. Lacey, sa mère, l’a trimballé de ville en ville et de docteur en docteur à mesure que la mystérieuse maladie dont il était atteint s’aggravait. L’année dernière, il est mort à l’âge de 5 ans. «Münchhausen par procuration par Internet» En 1951, un médecin britannique du nom de Richard Alan John Asher a inventé le terme de «syndrome de Münchhausen» pour évoquer les patients qui feignent une maladie ou qui se rendent eux-mêmes malades sans raison apparente (à distinguer de la «sinistrose», où une personne feint une maladie ou l’induit chez autrui dans un but tangible, comme celui de convaincre un médecin de leur prescrire un certain médicament ou de s’attirer un verdict favorable dans un procès). Certains estiment que Lacey Spears manifestait une forme encore plus nouvelle du syndrome de Münchhausen que ce qui avait été identifié jusqu’ici: «Münchhausen par procuration par Internet». Ce que le web facilite

A nos vies numériques | Un site utilisant Blogs l'express Depuis que le jeune Palmer Luckey a sorti l’Oculus Rift du garage dans lequel il a mis au point son premier prototype, la réalité virtuelle, sujet déjà ancien mais réservé au grands groupes d’armement et d’automobile (le ticket d’entrée excédait 100k pour le matériel), a trouvé une seconde jeunesse. De quoi parle-t-on? La réalité virtuelle, c’est la capacité de s’immerger dans un autre réel, imaginaire ou pas, que celui dans lequel on se trouve physiquement. Muni d’un casque qui occulte la vision de l’environnement réel, l’utilisateur voit ce monde imaginaire prendre vie autour de lui. Les mouvements de sa tête, dans toutes les directions, sont capturés par un accéléromètre et servent à calculer quelle est l’image que l’utilisateur devrait voir dans la position dans laquelle sa tête se trouve. Avec un casque sur les oreilles, ses sens sont bernés et il a rapidement la sensation d’être dans le monde qui lui est projeté. Des investissements importants qui tirent le secteur

Addiction à Internet - Il a vécu 6 mois sans le net Un jour, Thierry Crouzet a coupé Internet. Victime d’un burn-out, d’une overdose numérique. Blogueur influent, geek connecté jour et nuit sur les réseaux sociaux, expert des nouvelles technologies, il a quitté la toile pendant six mois, pour se sevrer. Aujourd’hui, l’ancien addict est devenu un internaute modéré. Il revient sur sa vie de « débranché ». La nuit du 14 février 2011, vous faites une crise d’angoisse et finissez à l’hôpital. Thierry Crouzet : Allongé sur mon lit d’hôpital, j’ai tout de suite pris mon téléphone pour regarder mes mails et ce qui se passait sur les réseaux sociaux. Votre conclusion, c’est que vous étiez victime d’un burn-out numérique… T.C : Oui. Plus aucun accès à Internet pendant six mois… Pourquoi ce choix d’une déconnexion totale ? T.C : Je ne savais pas ce qui posait problème. Avant cette prise de conscience, vous sentiez-vous accro au net ? T.C : Non, ou alors comme d’autres sont accros à leur travail. Qu’est-ce qui vous rendait dépendant au net ?

Bonjour,
Article très interessant montrant la dérive ou pas du digital chez les cadres.
Je pense que même si les cadres sont conscients de cette pression, cela demande de grands efforts pou y échapper.
Bonne journée by andre_groupec_psy Feb 13

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