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Tout savoir sur l'addiction au numérique - Le Parisien

Tout savoir sur l'addiction au numérique - Le Parisien
L'addiction au numérique entre à la faculté avec le lancement d'un cours... en ligne. Pouvons-nous nous passer des écrans ? Comment bien vivre avec Internet ? Ces cours démarrent aujourd'hui avec une semaine de découverte du sujet et d'apprentissage du fonctionnement de la plate-forme France université numérique (FUN) qui abrite cet enseignement. Les intervenants entreront dans le vif du sujet le 5 janvier avec les six thématiques qui seront développées. Réflexion autour des nouveaux comportements Il s'agit avant tout -- pour les étudiants mais aussi pour toute personne intéressée -- d'un espace de partage et de réflexion autour des nouveaux comportements engendrés par la multiplication des écrans. Dépendant au numérique ? La formation ouvre à titre expérimental. Pour s'inscrire au MOOC : www.france-universite-numerique-mooc.fr/courses/univnantes/31002/Trimestre_4_2014/about.

La cyberdépendance : informations et services - Clinique de psychologues à Montréal La cyberdépendance, également connue sous les noms de dépendance à Internet, cyberaddiction, usage problématique d’Internet (UPI) ou trouble de dépendance à Internet (TDI), se caractérise par un usage pathologique, souvent abusif et excessif, d’Internet et des nouvelles technologies. La cyberdépendance se reconnaît au besoin irrésistible et obsessionnel d’utiliser Internet. Parmi les critères reconnus, on observe le temps passé sur Internet; la frustration lorsqu’Internet n’est pas disponible; les plaintes de l’entourage quant au temps passé sur Internet; les conséquences sur les activités habituelles (travail, loisirs, etc.); l’incapacité à diminuer le temps passé sur Internet; la baisse significative, voire l’absence, d’activités satisfaisantes à l’extérieur d’Internet, etc. La cyberdépendance semble partager des caractéristiques communes avec d’autres dépendances. La cyberdépendance a des répercussions sur plusieurs sphères. Psychologues Olivia Beaulieu-Denault, D. Psychothérapeutes

Dépendance aux écrans : une addiction de l'ère numérique Des pratiques en ligne très répandues et parfois addictives... Internet a fait naître de nouvelles modalités d’interaction ludique entre personnes. Les jeux en ligne et les réseaux sociaux connaissent un succès croissant auprès de toutes les tranches d’âge. 69% des 13-19 ans jouent régulièrement à des jeux vidéo (source : Etude Junior Connect, Ipsos Connect, 2015).Désormais, certains préfèrent même les interactions électroniques aux modes relationnels traditionnels. Comme tous ces comportements, l’usage excessif des écrans empêche la personne touchée de se consacrer à d’autres activités, et tend à provoquer des problèmes relationnels. La forme d’addiction aux écrans la plus fréquente et la mieux étudiée reste celle qui concerne les jeux vidéo, en particulier ceux qui se jouent en ligne, les "jeux de rôle en ligne massivement multijoueurs" (en anglais, Massively Multiplayer Online Role-Playing Games ou "MMORPG").

Dépendance à Internet Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La dépendance à Internet (également nommée cyberdépendance cyberaddiction usage problématique d'Internet (UPI) ou trouble de dépendance à Internet (TDI)) désigne un trouble psychologique entraînant un besoin excessif et obsessionnel d'utiliser un ordinateur et interférant sur la vie quotidienne. Des activités en ligne, telles que l'achat en ligne, si faite en personne, peuvent être considérées comme problématiques si celles-ci sont compulsives. Signes et symptômes[modifier | modifier le code] D'après le spécialiste français Romain Cally « sur le web, la compulsion apparaît lorsque l'internaute ne juge plus son comportement normal, mais ne peut pour autant éviter de se connecter. Symptômes psychologiques allégués[9] : Symptômes physiques allégués[10] : yeux secs ;maux de tête migraineux ;maux de dos ;syndrome du tunnel carpien ;repas irréguliers ou sautés ;mauvaise hygiène personnelle ;insomnies ou changements dans le cycle du sommeil. D. Psychologie :

L’addiction numérique, un mal croissant chez les jeunes A Singapour, comme dans un nombre grandissant de pays, des psychiatres militent pour que l'addiction aux smartphones soit reconnue comme un trouble psychologique. Avec la Corée du Sud, la Chine et Taïwan, la cité-Etat est l'un des pays d'Asie les plus concernés par ce phénomène. L’addiction au smartphone, un trouble psy ? Singapour et Hong Kong détiennent d’ailleurs le record régional du plus grand nombre d'utilisateurs de smartphones par habitant, selon un rapport publié l'an dernier par le cabinet d'étude Nielsen. 87% des 5,4 millions de Singapouriens sont ainsi munis d'un téléphone multifonctions, contre 65% aux Etats-Unis. Ils passent en moyenne 38 minutes par session sur Facebook, soit presque deux fois plus que les Américains, selon la société Experian.En France, les dernières études menées établissent à 40 % le pourcentage de Français qui utilisent l'internet mobile, c'est-à-dire depuis leurs smartphones et tablettes*. Les ravages du text-neck Les symptômes de l’addiction numérique

sources ouvertes 26 recommandations pour un usage raisonné des écrans par les enfants et adolescents (Académie des Sciences) Le 22 janvier 2013, l’Académie des Sciences a publié un Avis sur L’Enfant et les écrans, un travail de plusieurs mois menés par des chercheurs qui se sont interrogés sur la construction des fonctions cérébrales au regard des sollicitations extérieures sensorielles, affectives et culturelles… dont l’exposition aux écrans numériques. Les scientifiques qui ont coordonné cet avis (Jean-François Bach, Olivier Houdé, Pierre Léna et Serge Tisseron) tentent de répondre à ces questions que bien des adultes, parents, enseignants, animateurs multimédia, médecins et personnels de santé, associations, institutions se posent : « Quels sont les risques de dépendance ou de phénomènes régressifs chez un enfant face aux écrans ? Quelle est la place des tablettes interactives et autres nouveaux supports dans l’apprentissage et la transmission des savoirs ? Culture des écrans : analyses et conseils Conséquences d’une sur-utilisation trop précoce et une sur-utilisation des écrans 26 recommandations I. 1. 2. 3.

articles plus sérieux Addictions - Prévention en santé - Ministère des Affaires sociales et de la Santé L’addiction se caractérise par l’impossibilité répétée de contrôler un comportement et la poursuite de ce comportement en dépit de la connaissance de ses conséquences négatives. La notion de conduite addictive comprend à la fois les addictions aux substances psychoactives (alcool, tabac, drogues illicites) mais également les addictions comportementales, sans substances psychoactives (jeu, par exemple). Les addictions posent, en France comme à l’échelle européenne et dans le reste du monde, un problème de santé publique majeur, dont les impacts sont multiples, sanitaires, médicaux et sociaux.La consommation de substances psychoactives est responsable en France de plus de 100 000 décès évitables par accidents et par maladies, dont près de 40 000 par cancers. Les conduites addictives interviennent ainsi dans environ 30 % avant 65 ans (également appelée mortalité prématurée). : le portail des acteurs de santé

Il n’y a pas d’addiction aux objets numériques. C’est aussi simple que cela. J’ai pu entendre du docteur Willam Olivenstein que l’effet de ces objets était comme la cocaïne. Que les mondes numériques étaient des mondes de la stimulation perpétuelle et de la vitesse. Que 5% des jeunes joueurs de jeux vidéo développaient une addiction. Si j’étais américain, je dirais que c’est de la “bullshit psychiatry”. En français, on pourrait dire “psychiatrie de bazar” Il n’y a pas d’addiction aux objets numériques. La première clinique pour “dépendance aux jeux video” a été ouverte en Hollande en 2006 par le Smith and Jones Centre, un centre de traitement pour les toxicomanes. Il n’y a pas d’addiction aux objets numériques. Il n’y a pas d’addiction aux objets numériques, c’est aussi simple que cela. Il n’y a pas d’addiction aux objets numériques, c’est aussi simple que cela. Il n’y a pas d’addiction aux objets numériques. Il n’y a pas d’addiction aux objets numériques. Il y a sans doute un enseignement à tirer de cela. Yann Leroux

Bonjour, je me posais la question suivante: Devenons - nous tous plus ou moins dépendants au numérique? Article très intéressant qui nous questionne sur nos comportements vis-à-vis du numérique... Car en effet, passer des heures devant des jeux vidéos peut nous isoler et nous éloigner de la réalité... by flavie_groupec_psy Feb 22

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