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C’est l’histoire d’une « maison-forêt » en pleine ville…

C’est l’histoire d’une « maison-forêt » en pleine ville…
Vous rêvez de vivre au cœur des arbres, un peu comme « les enfants perdus » mais sans perdre le confort d’un centre-ville ? Cet architecte italien vient de faire de ce rêve une réalité ! Ce n’est plus un secret, l’environnement urbain va devoir s’adapter d’urgence aux enjeux écologiques. C’est dans la ville de Turin qu’il est possible d’observer son tout dernier projet, une oasis en plein centre ville où 150 arbres s’incorporent dans une série d’habitations. Intégrer la nature dans l’urbanisme n’a pas qu’un intérêt visuel. Enfin, et c’est tout le génie de la Nature, la végétation vivace en été offre un blocage des rayons du soleil, régulant la température des lieux de manière naturelle. L’architecte à l’imagination débordante nous offrirait-il un aperçu du look des villes écologiques du futur ? Sur le même sujet, retrouvez 21 visions artistiques des villes du futur ! Source : lucianopia.it / thisiscolossal.com Related:  Pendant ce temps, ...

L'Islande ne veut plus faire partie de l'Union européenne L'Union européenne ne fait plus rêver l'Islande. Le pays a enterré jeudi 12 mars sa candidature à l'UE, peut-être pour très longtemps, le pays étant dominé par l'euroscepticisme et refusant de soumettre sa pêche aux quotas de Bruxelles. La décision a été formellement annoncée jeudi à la Lettonie, pays qui assure la présidence semestrielle de l'UE, qui l'a transmise à la Commission européenne. Elle est l'application du programme de la coalition de centre droit arrivée au pouvoir en 2013, qui promettait de mettre fin au processus d'adhésion. Les intérêts de l'Islande sont mieux servis en dehors de l'Union européenne", a justifié le ministère des Affaires étrangères sur son site internet. Le Premier ministre Sigmundur David Gunlaugsson a rappelé qu'"aucun des partis" au pouvoir n'avait envie de poursuivre le travail nécessaire avant de rejoindre les 28 Etats membres de l'UE. Les quotas de pêche en question Les avantages sans les inconvénients

Parklet : Le parking qui réinvente l'espace urbain 30 septembre 2013 En zone urbaine, une place importante est dédiée aux parkings. La transformation de ceux-ci en des zones conviviales est surement la solution. Parklet : Le Parking qui réinvente l'espace urbain Dans toutes les grandes villes, le problème est commun : l’espace urbain se raréfie. Une voiture en stationnement prend une place de 20m². Le problème de la liberté automobile Les voitures ne sont utilisées en moyenne que 5% de leur temps. Le paradoxe est qu'en ville, le déplacement en voiture prend plus de temps qu'en utilisant les transports en commun ou autre moyens alternatifs comme le vélo. La recherche d'une place de parking peut parfois prendre un temps indéterminé. Les différents moyens de transports mis à disposition Repenser l'espace urbain Bien qu’ayant fait avancer quelque peu les choses, l’éducation des automobilistes reste à parfaire. Or, la voiture pourrait être comparée à la cigarette : les vrais automobilistes ne peuvent se défaire de cette habitude. Le Parklet ?

A Béziers, Robert Ménard réécrit l'histoire de l'Algérie française en débaptisant une rue C'est une manière très concrète d'« effacer la honte du 19 mars 1962 », date du cessez-le-feu en Algérie. Robert Ménard, maire extrême droite de Béziers (Hérault), débaptisera samedi 14 mars la rue qui commémore les accords d'Evian, pour lui donner le nom d'un des putschistes de 1961, le commandant Hélie de Saint-Marc, comme l'explique le quotidien régional Midi libre. Robert Ménard met en avant le passé de résistant et de déporté d'Hélie Denoix de Saint-Marc, pendant la Seconde guerre mondiale. Mais cet officier, qui a également servi en Indochine, est surtout connu pour avoir participé a putsch des généraux, coup d'Etat manqué contre le général de Gaulle, le 21 avril 1961. Condamné pour cet acte à dix ans de prison, il a été gracié en 1966 et réhabilité en 1978. Lire la sélection d'archives (en édition abonnés) : 21 avril 1961 : le putsch des généraux Cérémonie et contre-manifestation

ArchDaily Celebrates World Cities Day: 23 Unmissable Articles on Cities and Urbanism Last year the UN General Assembly issued a resolution to “designate 31 October, beginning in 2014, as World Cities Day.” A legacy of the Expo 2010 Shanghai, the first World Cities day is being hosted today in Shanghai, with the aim of focusing on global urbanization and encouraging cooperation among countries to solve and promote sustainable urban development worldwide. “In a world where already over half the population lives in urban areas, the human future is largely an urban future, said UN Secretary-General Ban Ki-moon, on the importance of World Cities Day. “We must get urbanization right, which means reducing greenhouse emissions, strengthening resilience, ensuring basic services such as water and sanitation and designing safe public streets and spaces for all to share. Think we’ve missed something? Sustainability Eco-friendly, sustainable and green building are all buzzwords that we hear over and over again. Cycle Cities What does the future of biking in the city look like? China

EUROPE • Tout compte fait, l'Islande ne tient pas à rejoindre l'UE Six ans après avoir demandé l'adhésion à l'Union européenne, la nation insulaire fait marche arrière. En cause : des désaccords sur les questions d’agriculture et de pêche. 13 mars 2015 | Partager : L’Islande a formellement renoncé à sa tentative de rejoindre l'Union européenne (UE) le 12 mars, relate Morgunblaðið. Le ministre des Affaires étrangères islandais, Gunnar Bragi Sveinsson, a remis une lettre à la présidence – actuellement lettone – de l'UE et à la Commission, pour les informer de la décision de l'exécutif de ne pas reprendre les négociations : "Le gouvernement considère que l'Islande n’est plus un pays candidat et demande à l'UE d'agir en conformité avec cette position", relate le quotidien de Reykjavik. L'Islande avait présenté sa demande d'adhésion en juillet 2009, au moment où le pays était en pleine crise financière.

WE DEMAIN En ce moment Débats, opinions Le darwinisme économique, réalité et opportunité CHRONIQUE. Le jambon est rose parce que nous le voulons bien : qu'est-ce qu'on attend ? TRIBUNE. Récits À la découverte des Pôles avant qu'ils ne disparaissent : Du Groenland au Kamtchatka RÉCIT. Dans cette école à Bali, pas besoin d'être riche pour se former aux enjeux de demain en pleine nature RÉCIT. Newsletter Vous organisez un événement qui peut intéresser la communauté We Demain ? Sondage Pour faire des économies et gagner en autonomie, 47 % des Français se disent prêts à investir dans l'autoconsommation énergétique grâce à des panneaux solaires. WE tweet Daycause FR : 20 familles ont créé leur mouvement : celui de manger #bio tout le temps, sans payer le prix du bio. via @WeDemain Mercredi 5 Octobre - 10:27 Mathilde Grandclaude : Grâce à la ratification indienne, l’accord de Paris est près de pouvoir entrer en vigueur via @WeDemain Mercredi 5 Octobre - 10:22 On aime

Choc au Chili : l’histoire cachée du génocide et du « roi de Patagonie » | Alma Latina Un tabou historique, c’est comme un secret de famille : les gens évitent de les nommer, parce qu’ils déchaînent des passions, de la colère, des insultes. Même s’ils savent, inconsciemment, que c’est le jour où l’abcès éclate que commence la guérison… Le Chili comme l’Argentine n’échappent pas à la règle avec la question des massacres des populations autochtones en Patagonie. Certes, les anthropologues étudient et parlent (heureusement) de ces peuples qui habitaient la Terre de Feu, les canaux et les grandes plaines, les Kawesqar, Yamans, Aoniken et Selknam, et dont il ne reste pratiquement plus de descendants aujourd’hui. La mémoire collective s’est attachée à leur nudité, à leur corps peint, à leur visage. Pour que les tabous historiques soient tus, il y a l’histoire officielle. Il suffit parfois d’un caillou qui enraye la machine bien huilée. José Luis Alonso Marchante, à Punta Arenas, Magallanes, Chili (DR) José Luis Alonso Marchante est historien et espagnol. Quatre au total.

Olivier Mongin, sociologue : “Recréons des lieux publics partout où c’est possible” Etalement, fragmentation, chaos... Pour le directeur de la revue “Esprit”, auteur de "La Condition urbaine", l'explosion démographique et la mondialisation ont eu la peau des villes. Et il est urgent de recréer des lieux où l'homme aura toute sa place. Un entretien pour illustrer notre tour du monde des villes, qui passe par Detroit, Dakar, Mumbay (ex-Bombay), etc. Directeur de la revue Esprit, penseur protéiforme – il a travaillé sur l'image, la violence, le rire... –, Olivier Mongin a toutefois un thème de prédilection, la ville. Le mot « ville » a-t-il encore un sens ? Qu'est-ce que cet « urbain généralisé » ? “Malgré la décentralisation, l'Etat continue d'imposer sa vision. La France, pourtant en proie à l'étalement péri-urbain, en reste à cette vision traditionnelle du centre et de la périphérie... Qu'est-ce que serait une culture urbaine ? Julien Gracq parlait de Nantes comme d'« une ville plus décollée qu'une autre de son territoire ».

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