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François de Singly : "La famille apporte le bonheur ensemble et le bonheur individuel"

François de Singly : "La famille apporte le bonheur ensemble et le bonheur individuel"
Spécialiste de la famille, François de Singly, professeur de sociologie à l'université Paris-Descartes, décrit comment, aujourd'hui, on perçoit la famille moderne. Il a récemment publié "Les Adonaissants", Armand Colin, Paris, 2006. Le Monde.fr | | Propos recueillis par Propos recueillis par Karim El Hadj Quelle définition donneriez-vous du mot famille ? François de Singly : Il n'y a pas de définition de la famille de telle sorte qu'elle puisse exister à n'importe quelle période de l'histoire de l'humanité et dans n'importe quelle culture. D'où viennent les idées que l'on se fait de la famille ? Les références à la famille que nous avons viennent de l'Etat, de notre propre histoire familiale, mais aussi des romans, des films... Quand la famille est-elle devenue moderne ? Quelle est la caractéristique de la famille actuelle en Europe ? François de Singly : En Europe, la famille est conçue comme l'espace offrant un lieu de réalisation de soi.

La vraie nature du bonheur Il y a déjà bien longtemps que nous nous étions proposé de parler du livre excellent de M. Paul Janet sur la Philosophie du Bonheur. Le livre a cependant fait son chemin sans bruit, et dans ce tranquille succès notre lenteur trouve une excuse et une consolation. Pourquoi avons-nous tant tardé ? Le bonheur est dans la famille, pour les Français En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies pour vous permettre de partager du contenu via les boutons de partage de réseaux sociaux, pour vous proposer des publicités ciblées adaptées à vos centres d'intérêts et pour nous permettre de mesurer l'audience. Pour en savoir plus et paramétrer les cookies Le bonheur est dans la famille, pour les Français La famille est source de joie pour la majorité des Français, loin devant les amis et la vie professionnelle. Franceinfo Mis à jour le , publié le Passer un bon moment entouré de ses proches. Les Français veulent plus de joie Pour les auteurs de l'étude, les Français n'ont donc pas renoncé aux joies du quotidien malgré le contexte anxiogène depuis les attentats. 84% d'entre eux reprochent à leurs concitoyens de ne pas se laisser remplir par cette émotion. Le JT

«La famille, première clé de l'épanouissement» INTERVIEW - Face à la perte de repères, la famille est plus que jamais perçue comme un espace de bonheur, analyse Marie-José Forissier, présidente de Sociovision-Cofremca. LE FIGARO MAGAZINE. - La famille rime-t-elle avec bonheur aux yeux des Français? Marie-José FORISSIER. - La famille est plus que jamais source de bonheur et d'épanouissement. 89 % des Français interrogés par Sociovision-Cofremca * se disent heureux sur le plan familial, 87 % soulignent que rien ne compte plus à leurs yeux que de partager des moments forts avec leurs proches. La famille est l'une des clés du bonheur des Français, leur réponse à l'adversité ambiante. La crise a-t-elle accentué cette tendance? Elle a joué un rôle d'accélérateur. Ce retour en force de la famille est-il assimilable à un repli? Oui, mais cette attitude n'est pas négative. Dans les années 1960, la famille était à jeter aux orties. Il ne s'agit plus de la même famille: son périmètre est beaucoup plus élargi, élastique.

Philia [dossier : le bonheur] Etre heureux... cela dépend donc de nous ? Rappelons l'étymologie : bon + heur, de augurium, "chance" => Cette étymologie suggère que le bonheur nous échoit... ou non, selon des circonstances qui nous échappent tout à fait. Nous sommes heureux par chance, malheureux par malchance (nous sommes alors, littéralement, 'in-fortuné' ). Nous serions donc heureux 'au petit bonheur la chance', de façon contingente, aléatoire, incertaine, et nous devrions avouer notre impuissance face aux événements ? On n'y pourrait donc rien ? Pourtant, ne pouvons-nous pas employer notre liberté, qui est un pouvoir à nous rendre heureux ? >> Ce qui est questionné ici, c'est donc la condition du bonheur, qui est la liberté humaine : Le bonheur dépend-il de nous, de notre liberté ?

La recette du bonheur existe, c'est Harvard qui le dit ! En novembre 2015, lors d’une conférence TEDx, Robert Waldinger a révélé l’aboutissement d'une longue, d'une très longue étude. Pendant 75 ans, des chercheurs de la prestigieuse Harvard Medical School ont suivi à la loupe le quotidien de 724 hommes. Alors que, généralement, les études de cet acabit s’arrêtent au bout d’une dizaine d’années, faute de moyens, ici pas moins de quatre directeurs d’étude se sont succédés depuis 1938 pour mener à bien les recherches. La chaire sur le « développement de l’adulte » (Study of Adult Development) de l'université a passé au crible tous les aspects de la vie des participants. Un travail titanesque Le projet original était ambitieux, tant au niveau des fins que des moyens. Choisir ainsi deux milieux sociaux diamétralement opposés permettait d'isoler les facteurs psychologiques et biologiques ayant un impact sur la santé et le bien-être à tous les âges de la vie. Pour être heureux, connectez-vous à votre entourage À lire aussi :

Le bonheur en famille. Du bonheur pour toute la famille ! Cela peut paraître simpliste, mais c’est pourtant primordial : Nos enfants ont besoin de nous voir heureux pour s’épanouir et grandir sereinement. Le bonheur en famille est souvent près de nous… tellement près qu’on ne le voit pas ! Le quotidien nous entraîne dans une routine monotone et parfois négative. C’est vrai que nous avons tous des soucis (plus ou moins gros) et que la télévision n’arrange pas les choses avec son lot de mauvaises nouvelles et la vision négative qu’elle nous inculque. En résumé: on voit le verre à moitié vide alors que nous pourrions facilement le voir à moitié plein ! Pourquoi notre bonheur est important aux yeux de nos enfants ? Pour Isabelle Filliozat (psychothérapeute et mère de deux enfants), notre état d’esprit peut influencer le comportement de nos enfants. Résultat : L’enfant passe à côté de ses sentiments, étouffe ses propres besoins et peut ressentir une certaine culpabilité. Avant toute chose : déculpabilisez votre enfant Comment être heureux au quotidien ?

Le bonheur et le devoir I. Éléments de définition Le bonheur vient du grec « eudemonia » qui signifie « le bonheur par pure rencontre ». Il semble y avoir une adéquation entre ma volonté et les circonstances. Lorsque le bien et le bonheur sont distingués, les morales du bonheur laissent place aux morales du devoir. II. Calcul des plaisirs en pratiquant : → L’ataraxie (absence de troubles de l’âme). → L’aponie (absence de troubles du corps). III. Différencier les contenus du bien : le bien du stratège est de tuer alors que celui du médecin est de soigner. Kaïros (ou à propos) : l’occasion favorable qui permet à une action d’atteindre son excellence. Architectonique des biens : Le bonheur est la clé de voûte assurant l’unité des biens particuliers. Le bonheur est la fin des biens et peut donc s’atteindre (car on parle de fin). Le bonheur est l’épanouissement le plus plein de la nature humaine. Physicon Dikaïon : droit naturel, fondateur d’une universalité transpolitique. IV. Le bonheur est au-delà de ses conditions. V.

L'effet inattendu des bonnes actions sur les enfants Les pré-ados habitués des gestes altruistes sont plus heureux et mieux intégrés dans leur classe, selon une étude. Partager son déjeuner, réconforter une personne qui paraît fatiguée: sous leurs airs anodins, ces petits gestes altruistes pourraient rapporter gros à celui qui les initie. Et pas seulement chez les adultes. L'idée qu'une bonne action crée du bonheur non seulement chez le destinataire mais aussi chez celui qui en est à l'origine n'est pas nouvelle. A la fin de l'expérience, les enfants des deux groupes se sentaient plus heureux qu'au début. Souligner ce qui va bien Un résultat qui ne surprend pas la pédopsychiatre Gisèle George, auteur de La confiance en soi de votre enfant (éd. Malheureusement, l'attitude des parents ou des enseignants dans notre société ne favorise pas assez la construction de cette estime de soi personnelle, regrette la pédopsychiatre. » DOSSIER SPECIAL - Psychologie: nos émotions décryptées

Comment résoudre les problèmes de famille ? - pleindetrucs.fr Les problèmes familiaux sont un sujet sensible. Pour beaucoup de gens, la notion de famille et les valeurs qui y sont attachées sont vraiment importantes. Par conséquent, lorsque les relations familiales sont conflictuelles, elles peuvent être très difficiles à gérer émotionnellement. Étant donné la complexité des sentiments, les tentatives que l’on met en œuvre pour régler ces dissensions ne sont souvent pas les meilleures. Les moyens classiques d’aborder les problèmes de famille Lorsque l’on fait face à un problème familial, la stratégie la plus fréquente est de tenter de faire accepter son point de vue. Le problème, c’est que cette technique peut être utilisée par tous les partis en confrontation. On essaye donc d’imposer notre manière de penser dans la relation. Parfois, cette stratégie fonctionne. Cependant, d’autres fois, une tension se crée, chacun voulant rester sur sa position : le débat est stérile. On reste frustré de ne pas se sentir compris. Une autre approche Un cas concret

Série S: Vivons nous pour être heureux? • Bac Philo, Bac, philo, Bac philo, Épreuve, philosophie, Baccalauréat, Sujet, Corrigé, Bonheur, Devoir, Liberté Introduction / Problematisation. Ce sujet soulève une problématique assez classique sur le bonheur : celle de savoir quelle place nous devons/pouvons lui accorder dans nos existences. Le bonheur constitue d'une part une fin légitime et même universelle. On ne peut reprocher à personne de vivre pour être heureux, c'est-à-dire de chercher à atteindre le bonheur, et l'on peut même donner à cette affirmation une portée universelle : oui, nous vivons tous, universellement, pour être heureux, tant il est vrai que la définition du bonheur est suffisamment relative à chacun pour que l'on puisse dire que tous les hommes veulent être heureux, quelqu'en soit la manière. Mais dans le même temps, le bonheur est une fin incertaine. Vivre pour être heureux, cela signifie aussi chercher le bonheur à tout prix, ne vivre que pour ça. Plusieurs plans étaient bien entendu possibles pour traiter ce sujet, voici donc une proposition à partir de quelques pistes. Première partie. Deuxième partie.

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