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10 choses à savoir sur les GAFA

10 choses à savoir sur les GAFA
Ils sont au centre des inquiétudes européennes, où leur domination sur le monde numérique a fini par provoquer des réactions poilitiques. Au point que la France et l’Allemagne ont récemment pris l’initiative de demander à la commission européenne de réfléchir à une régulation spécifique aux Gafa. Derrière cet acronyme, se cachent quatre acteurs majeurs de l’Internet : Google, Apple, Facebook et Amazon. Dans une étude récente intitulée Gafanomics, le cabinet FaberNovel estime même que 55 % de la vie numérique (e-mail, e-commerce, musique, vidéo, réseau social…) d’un utilisateur moyen est passée sur ces quatre plates-formes. 1) Gafa = le Danemark, avec 10x moins de gens Les Gafa génèrent l’équivalent du PIB du Danemark, la 35e puissance économique dans le monde. 2) Une croissance 33 % plus élevée que celle de la Chine En 2013, la croissance moyenne des Gafa était de 12 %. 3) Des montagnes de cash 4) 19 % du S&P 500 5) Positions dominantes 6) Volonté d’hégémonie 8) Ascension turbo

Des GAFA dans le portefeuille Heureux clients de Carrefour, des Caisses d’épargne, des Banques populaires ou d’Orange, votre vie sera bientôt grandement facilitée. Plus besoin de sortir votre portefeuille et d’en extraire la carte pour régler vos achats. Présenter votre iPhone devant le lecteur suffira. Ces entreprises ont annoncé, lundi 13 juin, l’adoption du système de paiement Apple Pay. Calcul raisonné Lire aussi : Apple veut dynamiser les services de ses iPhone Après les Etats-Unis et la Grande-Bretagne, le paiement mobile s’installe en France. La finance est un champ immense, mais compliqué. Deux clients à la fois Dans cette nouvelle économie numérique, les plates-formes servent deux clients à la fois. Lire aussi : Solutions de paiement : la bataille de l’innovation Et puis rien n’interdit ensuite de tenter de reprendre la main, en déployant ses propres solutions.

Google, Apple, Facebook, Amazon : grandeurs et fragilités des GAFA. – Medium Sous l’acronyme GAFA on retrouve Google, Apple, Facebook & Amazon. Quatre géants du net dans la Silicon Valley. (Cet article est le “compagnon” de l’émission Soft Power sur France Culture consacrée aux GAFA à réécouter ici.) Une réussite qui fascine Les GAFA sont le symbole de l’emprise du numérique sur notre société. Il s’exerce une certaine fascination envers les GAFA, ces entreprises sont omniprésentes. Comme le montrent les chiffres qui comparent les GAFA au CAC40, nulle part en Europe on trouve des entreprises aussi puissantes. Les GAFA sont l’expression de l’efficacité du soft power américain. Les rivalités sont importantes au sein même des GAFA qui se partagent des secteurs d’activité et des territoires : dans un article fouillé sur les liens croisés et concurrences entre GAFA, The Economist a fait le parallèle entre cette rivalité et la série Game Of Throne. Face à cette réussite, les inquiétudes se multiplient David Lavaud ► Abonnez-vous au podcast de l’émission ici.

Après les Gafa, les nouveaux maîtres du monde sont les Natu Les Gafa, c’est tellement 2014... Voici venir l’ère des Natu. Natu, c’est l’acronyme de l’été 2015 ; celui qui réunit les quatre grande entreprises emblématiques de la « disruption » numérique : Netflix, Airbnb, Tesla, et Uber. Les Gafa (Google, Apple, Facebook, Amazon) sont toujours bel et bien là, affichant une santé économique insolente et une surface financière plus importante que bien des Etats ; néanmoins ces entreprises font déjà figure de « vieilles » (pensez, Mark Zuckerberg va être papa...) face à l’émergence de la nouvelle génération des géants américains, qui surfent sur de nouveaux modèles. Cette mutation d’une vitesse spectaculaire du capitalisme à l’heure numérique affecte l’économie mondiale, la création et la destruction d’emplois à l’échelle planétaire, l’évolution de nos systèmes sociaux et du salariat ; ne pas chercher à comprendre le phénomène, qui n’a plus grand chose à voir avec la part d’idéalisme de l’économie du partage, condamnerait à le subir. Absence de débat

Uber, un succès qui (les) dérange Uber prospère, et dérange. La « société de technologie » originaire de San Francisco, dont l'éventail de services inclut des VTC mais aussi d'autres solutions innovantes, fait les frais d'offensives judiciaires de la part d'une concurrence tremblant pour son pré carré. Paradoxalement, ces attaques, émanant de professionnels dépassés par la marche du progrès, ont pour effet de mettre en relief le caractère moderne du Californien, dont l'activité crée de l'emploi, du pouvoir d'achat, du partage, et s'avèrerait même eco-friendly. Les corporatismes contre le progrès L'arrivée sur le marché des voitures de tourisme avec chauffeur, ou VTC, ne s'était pas faite sans remous. Mi-septembre, le Parlement adoptait définitivement la loi Thévenoud, du nom du tristement célèbre ex-ministre du gouvernement Valls II. Fin juin, l'Association française des éditeurs de logiciels et solutions Internet (Afdel) qualifiait cette décision d' « anachronique ». L'économie collaborative a le vent en poupe.

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