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Nucléaire : Le scénario Négawatt est-il plausible ? 1-Comment fonctionne le scénario Négawatt ? La démarche des concepteurs de Négawatt consiste à imaginer un scénario qui cumule trois méthodes complémentaires pour sortir du nucléaire et diminuer nos consommations électriques : la sobriété énergétique qu’ils opposent à notre "ébriété" énergétique actuelle. Cela consiste à diminuer nos consommations en changeant nos pratiques et nos modes de vie. Il s’agit donc de démarches individuelles, de mutations culturelles qui vont s’installer progressivement et qui seront favorisés par l’augmentation inévitable du coût de l’énergie électrique. l’efficacité énergétique qui vise à réduire les pertes et les utilisations inutiles d’énergies. le recours croissant aux énergies renouvelables (ENR), "par définition inépuisables" permet alors en complément de la réduction de la consommation de remplacer progressivement le nucléaire. Le scénario étudié par Négawatt consiste à imaginer une sortie en quarante ans combinant ces trois méthodes. Conclusion :

« Facenuke », la cartographie du lobby nucléaire français Quel est le lien entre l’ancienne patronne d’Areva Anne Lauvergeon, le géochimiste Claude Allègre et le député-maire de Cherbourg Bernard Cazeneuve ? Et celui entre Augustin de Romanet, ancien directeur général de la Caisse des dépôts et consignations, Henri Proglio, PDG d’EDF, et Elie Cohen, économiste, directeur de recherche au CNRS et membre du Siècle ? Le nucléaire. Pour construire cette gigantesque carte – qui permet de naviguer entre les individus via leurs connections mais aussi d’accéder aux biographies – les profils publics de 250 hommes et femmes ont été passés au crible. Le résultat : une carte au maillage tant ample que dense. « Cet outil permet de prendre conscience que le secteur du nucléaire est plus qu’un lobby : il fonctionne comme une sorte d’Etat dans l’Etat, analyse Karine Gavand, chargée des questions politiques chez Greenpeace. De fait, les fervents défenseurs de l’atome ont investi tous les cercles de pouvoir et d’influence, au plus haut niveau. Audrey Garric

Centrales nucléaires et leucémies infantiles Notre communiqué de presse du 12/01/2012 La revue Journal International du Cancer vient de publier dans son numéro de janvier une étude scientifique établissant une corrélation très claire entre la fréquence des leucémies infantiles aigües et la proximité des centrales nucléaires [1]. Cette étude épidémiologique rigoureuse, menée par une équipe de l’INSERM [2], de l’IRSN [3], ainsi que le Registre National des maladies hématologiques de l’enfant de Villejuif, démontre pour la période 2002-2007 que la fréquence d’apparition de leucémies infantiles (enfants de 0 à 14 ans) augmente de façon importante dans un rayon de 5 km autour des centrales nucléaires françaises - jusqu’à 2,2 fois plus chez les enfants de moins de 5 ans. Cette étude confirme ainsi celle menée en Allemagne par le Registre des Cancers de Mayence en 2008 [4], qui avait abouti à des conclusions similaires. démontage de l’étude faisant la démonstration d’excès de leucémies infantiles autour des centrales allemandes [6].

UNESCO : réserve sacrifiée pour le nucléaire La faune unique de Selous est menacée par une mine d'uranium L'UNESCO a inscrit la réserve de gibier de Selous en Tanzanie à sa liste du patrimoine mondial en 1982. Mais, en approuvant la modification de ses frontières, elle vient de permettre l'extraction d'uranium dans cette réserve à la biodiversité unique. Joignez-vous aux protestations mondiales contre la décision fatale de l'UNESCO. Étendue sur 50.000 km2, Selous est la plus grande réserve animalière du continent africain. L'UNESCO la décrit comme « une des plus grandes zones protégées d'Afrique, relativement peu perturbée par le contact avec l'homme. » Possédant « l'une des plus importantes concentrations d'éléphants, rhinocéros noirs, guépards, girafes, hippopotames et crocodiles (...) le parc comprend des zones de végétation variées, depuis les fourrés denses jusqu'à des prairies boisées bien dégagées. » Mortelle extraction d'uranium Nous ne voulons pas le permettre. Début de l'action: 9 août 2012 <h4>Contexte</h4> 26 oct. 2012 M.

A 7 minutes d'un Tchernobyl suédois - Le 25 juillet, l'Europe a frôlé la catastrophe nucléaire Il faut lancer immédiatement la sortie du nucléaire la plus rapide possible et, a fortiori, annuler tous les projets de nouveaux réacteurs nucléaires. Le Réseau "Sortir du nucléaire" attire l’attention de l’opinion publique sur la réalité du risque nucléaire qui menace plus que jamais l’ensemble de la population. Devant l’aveuglement pronucléaire de la quasi-totalité des "responsables" politiques, c’est à la population d’intervenir tant qu’il en est encore temps. L’industrie nucléaire ne cesse de répéter que Tchernobyl était avant tout une "catastrophe soviétique" mais, le 25 juillet 2006, c’est sur un réacteur de technologie occidentale, et à cause de composants allemands, qu’une catastrophe nucléaire a été frôlée à la centrale nucléaire suédoise de Forsmark. Le parc nucléaire français est lui aussi menaçant : Exemple 1 : circuits de refroidissement - risque de défaillance des pompes de ces mêmes circuits de recirculation (les 20 réacteurs de 1300 MW) Cf.

Le Blayais: Très près de l'accident majeur Sud-Ouest, 5 janvier 2000: Après la tempête - Centrale de BlayeTrès près de l'accident majeur La centrale nucléaire du Blayais n'a pas résisté à la tempête de la fin de siècle. Le scénario catastrophe a été évité de justesse. La conception du site est sans doute à revoir. Les tranches 1 et 2 de la centrale nucléaire du Blayais, à l'arrêt depuis la tempête des 27 et 28 décembre dernier, sont passées très près d'un véritable scénario catastrophe, et elles vont vraisemblablement devoir être déchargées de leur combustible, le temps que d'importantes réparations soient effectuées sur le site. En effet, l'inondation d'une bonne partie des bâtiments a successivement mis hors d'usage plusieurs installations de sauvegarde, comme le circuit d'injection de sécurité (RIS), qui permet de rétablir le niveau du circuit primaire, et l'EAS (aspersion de l'enceinte), qui permet de faire baisser la température à l'intérieur du bâtiment réacteur en cas d'accident. Sud-Ouest, 6 janvier 2000: Dominique Richard "S.

Le blog de Fukushima Appel urgent pour éviter une nouvelle catastrophe nucléaire mondiale [ Cette pétition a été créée par Pierre Fetet, auteur du blog de Fukushima : English: 日本語 : Español : Signer cette pétition, c'est important Parce que le bâtiment réacteur n°4 de la centrale de Fukushima Daiichi a subi le terrible séisme du 11 mars et les violentes explosions du 15 mars 2011 et que sa structure a énormément souffert, menaçant sa stabilité, Parce que la piscine de désactivation de cette unité, perchée à 30 m de hauteur, menace soit de s’effondrer avec le bâtiment, soit de se vider de son eau à cause de fissures, Parce que cette piscine contient 1533 assemblages de combustible, l’équivalent de près de 10 fois la quantité de césium 137 relâché par Tchernobyl, Parce que si le combustible n’était plus refroidi par de l’eau, il s’échaufferait, se dégraderait, et provoquerait un incendie dispersant la radioactivité dans l’atmosphère,

Fukushima s'enfonce-t-il ? L’expert nucléaire Arnie Gundersen vient, avec d’autres, de sonner l’alerte : le bâtiment n°4 de Fukushima s’enfoncerait dans le sol de façon inégale. lien Information inquiétante si l’on veut bien se souvenir que c’est dans la piscine de refroidissement de ce bâtiment que se trouvent un très grand nombre d’assemblages nucléaires. En effet, ce bâtiment se détériore rapidement, et si la piscine, laquelle se trouve perchée à 30 mètres de hauteur, (photo) venait à basculer, les 264 tonnes, représentant 1535 assemblages nucléaires, monteraient en température provoquant une situation quasi ingérable. lien Ce qu’a confirmé Robert Alvarez, ancien haut responsable du département de l’énergie sous Bill Clinton : « si un tremblement de terre ou tout autre évènement venait à affecter cette piscine, il pourrait en résulter un incendie radiologique catastrophique, avec près de 10 fois la quantité de césium 137 qui s’est propagée à la suite de l’accident de Tchernobyl ». Olivier Cabanel Sites à visiter :

Carregado em 22/07/2010
Japanese artist Isao Hashimoto has created a beautiful, undeniably scary time-lapse map of the 2053 nuclear explosions which have taken place between 1945 and 1998, beginning with the Manhattan Project's "Trinity" test near Los Alamos and concluding with Pakistan's nuclear tests in May of 1998. This leaves out North Korea's two alleged nuclear tests in this past decade (the legitimacy of both of which is not 100% clear).

Each nation gets a blip and a flashing dot on the map whenever they detonate a nuclear weapon, with a running tally kept on the top and bottom bars of the screen. Hashimoto, who began the project in 2003, says that he created it with the goal of showing"the fear and folly of nuclear weapons." It starts really slow — if you want to see real action, skip ahead to 1962 or so — but the buildup becomes overwhelming. by lenadias Nov 16

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