background preloader

Musique moderne

Musique moderne
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. On désigne souvent par musique moderne la musique savante composée pendant la première partie du XXe siècle, le terme de musique contemporaine pouvant s'appliquer à la deuxième moitié. On regroupe donc sous cet intitulé des compositeurs aussi différents que Debussy, Satie, le « Groupe des Six », Stravinski, Béla Bartók, Georges Enesco, Richard Strauss, Ravel, Schönberg, Sibelius... Seule la chronologie est significative, car cette période n'a pas d'unité de style : elle est au contraire celle de la floraison d'expériences et d'esthétiques diverses et souvent opposées, en particulier dans le cadre de la trialité « musique tonale — musique modale — musique atonale » qui se développe à cette époque ; certains compositeurs resteront cependant et parfois volontairement à l'écart des évolutions en cours. Le tournant du XXe siècle[modifier | modifier le code] Un bouleversement harmonique[modifier | modifier le code] Alberto Ginastera (1916-1983)

Claude Debussy Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Claude Debussy est un compositeur français, né le 22 août 1862 à Saint-Germain-en-Laye et mort le 25 mars 1918 à Paris. Une part importante de son œuvre est pour piano (la plus vaste de la musique française avec celle de Gabriel Fauré[1]) et utilise une palette sonore particulièrement riche et évocatrice. Claude Debussy laisse l'image d'un créateur original et profond d'une musique où souffle le vent de la liberté. Biographie[modifier | modifier le code] Enfance[modifier | modifier le code] Maison natale datée du XVIIe siècle, devenue Office de Tourisme au rez-de-chaussée et Musée Claude Debussy à l'étage. Achille-Claude Debussy naît dans la maison familiale au 38, rue au Pain à Saint-Germain-en-Laye, le 22 août 1862[3]. Manuel-Achille rencontre dans les prisons communardes un autre prisonnier, Charles de Sivry, musicien autodidacte (il était notamment chef d'orchestre), et beau-frère de Paul Verlaine. Avant 1879[modifier | modifier le code]

Métro Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Metro. Le métro (apocope de métropolitain, pour « chemin de fer métropolitain »), est un moyen de transport en commun urbain, souterrain le plus souvent, mais qui peut également reposer sur des infrastructures aériennes, et plus rarement au sol (qui est un terrain prédestiné au tram). Il s'apparente au chemin de fer. Le plus grand réseau de métro de par la longueur des voies et le nombre de stations est celui de New York. Définition[modifier | modifier le code] En 1981, le Comité des Métropolitains de l’UITP définit « le chemin de fer métropolitain » comme « un chemin de fer conçu pour constituer un réseau permettant le transport d’un grand nombre de voyageurs à l’intérieur d’une zone urbaine au moyen de véhicules sur rails avec contrôle externe, dans un espace totalement ou partiellement en tunnel et entièrement réservé à cet usage. » Histoire[modifier | modifier le code] Débuts[modifier | modifier le code]

Mode en 1900 Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'évolution de la silhouette masculine[modifier | modifier le code] Un homme du monde en 1895. L'élégant Robert de Montesquiou, dandy et poète. De même, les tenues des ouvriers et des paysans restent très figées, comme tout au long du siècle précédent. Les cheveux étaient généralement portés courts ; ni favoris ni cheveux mi-longs n'étaient plus en faveur. L'évolution de la silhouette féminine[modifier | modifier le code] En 1895 : le summum de la mode des manches gigot.En 1897 : les manches redeviennent plus simples.En 1901, la nouvelle silhouette en S.Publicité d'un corsetier pour ses corsets nouveaux.Tenues de soirée en 1906. De façon générale, la jupe a perdu de l'ampleur de façon assez régulière, des années 1870 à 1910, tandis que le haut du corps, après avoir commencé à s'élargir pour compenser (manches gigot des années 1895), s'est mis lui aussi à s'amincir. Les dessous[modifier | modifier le code] Les dessous de 1895-1900

Alfons Mucha Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Alfons Mucha Alfons Maria Mucha (Chicago, 1906) Œuvres réputées Le Pater Affiche publicitaire F. Alfons Maria Mucha, est un affichiste et un peintre tchèque né à Ivančice (ville de Moravie qui faisait alors partie de l'Empire d'Autriche, aujourd'hui sise en République tchèque) le et mort à Prague le , fer-de-lance du style Art nouveau. Biographie[modifier | modifier le code] Les débuts[modifier | modifier le code] La vie parisienne[modifier | modifier le code] L'essor parisien[modifier | modifier le code] Chez la mère Charlotte[modifier | modifier le code] Peu après son arrivée à Paris, conseillé par son camarade de l'Académie Colarossi, Wladyslaw Slewinski, Mucha s'installe au-dessus d'un petit restaurant (on disait une « crèmerie ») situé rue de la Grande-Chaumière[réf. souhaitée], à côté de l'académie. Les modèles de Mucha[modifier | modifier le code] Dès ses débuts à Paris, Mucha photographie ses modèles. Bibliographie[modifier | modifier le code]

Art nouveau L’Art nouveau est un mouvement artistique de la fin du XIXe et du début du XXe siècle qui s'appuie sur l'esthétique des lignes courbes. Né en réaction contre les dérives de l'industrialisation et la reproduction des anciens styles, c'est un mouvement soudain et rapide qui connaît un développement international. Le mouvement a connu des dénominations diverses selon les régions : Tiffany (d'après Louis Comfort Tiffany) aux États-Unis, Jugendstil[Note 1] ou Art nouveau en Allemagne, Sezessionstil en Autriche, Art nouveau ou Nieuwe Kunst aux Pays-Bas, Art nouveau ou Stile Liberty en Italie[1], Art nouveau ou Modernismo en Espagne (pour le second terme, plus spécifiquement en Catalogne), style sapin en Suisse, Modern en Russie. Le terme français « Art nouveau » s’est imposé notamment dans le monde anglo-saxon et hispanique, en même temps que la France, en lien avec la vague d’anglomanie qu’elle connaissait alors, a brièvement utilisé le terme Modern Style[2] au début du XXe siècle[3]. Suisse

Related: