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CLEMI - Les jeunes et les médias

CLEMI - Les jeunes et les médias

L'Observatoire des médias | ... ou comment le web révolutionne le monde de la presseL'Observatoire des médias Réseaux sociaux à l’école : mieux vaut éduquer qu’interdire 30 juillet 2015 | 09:58 Les réseaux sociaux font dorénavant partie de la vie, je ne vous apprends rien là. On y associe souvent le concept d’identité numérique, mais on peut aussi parler d’identité « tout court », puisque l’un ne va pas sans l’autre bien souvent, surtout chez les jeunes. Pourtant, la communication sur les réseaux sociaux nécessite toutes sortes d’apprentissages et le milieu scolaire est assurément un terreau idéal pour cela, en plus de pouvoir profiter de ses avantages pour moderniser les techniques d’enseignement. Voici quelques niveaux d’influence de ces réseaux sur le système d’éducation. Des parents branchés Si les jeunes sont branchés, il ne faut pas oublier que bien des parents le sont aussi. À l’inverse, certains ont vécu de mauvaises expériences. De nombreuses écoles (secondaires surtout) et presque toutes les commissions scolaires possèdent aussi leur page Facebook publique pour y diffuser des nouvelles et échanger avec leur communauté. De la cyberintimidation

Les jeunes et les médias 2016 - CLEMI Des jeunes marqués par l'omniprésence d'Internet... Quand 83 % des Français de 12 ans et plus sont internautes, la proportion atteint 100 % pour les 12-17 ans. Comme pour l'ensemble des catégories d'âge, les usages des jeunes sont majoritairement tournés vers la communication. Ils privilégient les services les plus récents, ce qui explique l'intérêt moins marqué pour les « vieux » SMS (33,7 % de SMS en moins entre 2012 et 2014 !) au profit des messageries instantanées (Facebook Messenger, Skype, Snapchat, WhatsApp, et des applications de type Hangouts) (La Diffusion des technologies de l'information et de la communication dans la société française, CREDOC, 2014.) Les enfants de 1 à 6 ans passent de plus en plus de temps sur la Toile : 3 h 40 par semaine (Junior Connect' 2015 : la conquête de l'engagement, Ipsos, avril 2015). ... Ils participent massivement à des réseaux sociaux. Les moins de 25 ans sont 83 % à partager photos et vidéos. Les jeunes, adeptes des écrans

Le droit à l’information, ses conditions et ses conséquences Le droit à l’information, ses conditions et ses conséquences Quelques principes pour guider critiques et projets La question des médias et de leur avenir est une question trop sérieuse pour être abandonnée à leurs tenanciers. C’est une question trop grave pour que seuls s’en préoccupent quelques syndicats et associations. C’est une question politique qui concerne toutes celles et tous ceux qui n’entendent pas que le marché pense pour eux et agisse à leur place. C’est une autre politique pour d’autres médias qu’il faut tenter d’imposer. Droit à l’information (et à la culture) 1. En toute rigueur, parler de droit à l’information, c’est invoquer le droit d’être informé. On ne saurait prétendre que le droit d’informer est pleinement exercé quand la majorité des citoyens en sont exclus et que le droit d’être informé est garanti quand il est arbitrairement mutilé. Et ce qui est vrai de l’information l’est aussi de la culture dont l’information elle-même est une composante essentielle. 2. 3. 4.

Dans les lycées, les réseaux sociaux sous surveillance Les équipes pédagogiques gardent un œil sur Facebook et Twitter pour tenter de contrôler les dérapages. Les enseignants ne se contentent plus de regarder par-dessus leur épaule lorsqu’ils écrivent au tableau. Il leur faut maintenant surveiller les bavardages électroniques sur Internet. Fin janvier, deux élèves du très huppé lycée Lakanal de Sceaux (Hauts-de-Seine) ont ainsi été exclus de l’établissement après s’être moqués d’enseignants sur Facebook. Même scénario, fin mars, dans un lycée des Yvelines. Photomontages olé olé « Le plus courant, c’est la prise de photos avec trucages. Singer les mimiques d’un enseignant, voilà qui n’a rien de nouveau. Veille permanente Même dans le maquis des conversations numériques, les insultes finissent toujours par parvenir aux oreilles des intéressés. Autre approche au lycée Jean Zay d’Orléans. L’Éducation nationale plus préoccupée par le cyberharcèlement entre élèves De fait, la plupart du temps ces tracas sont réglés en interne.

Télévision - L'année TV 2016 En 2016, près de 8 Français sur 10 ont regardé chaque jour des programmes de télévision en live, en différé ou en replay sur téléviseur, ordinateur, smartphone ou encore tablette. Si le live et l’écran de TV sont toujours au cœur des usages, les comportements évoluent et les téléspectateurs regardent de plus en plus les programmes TV sur les écrans internet. Des pratiques tirées par le développement des équipements numériques au sein des foyers. Certains types de programmes se prêtent plus au replay comme la fiction ; le sport est puissant sur le live et l’information se décline sur le téléviseur et les écrans internet. Pour accompagner ces nouveaux usages des téléspectateurs, Médiamétrie a développé la mesure du replay et de la télévision sur les 4 écrans en s’appuyant à la fois sur les panels et sur les Big data. L’innovation, au cœur de la mesure d’audience TV en 2016 De plus en plus d’opportunités de contacts avec les programmes TV Mesure TV 4 écrans : 3h52 par jour et par personne

Comment aborder le drame CharlieHebdo avec ses élèves ? Documents Enseignons.be a souhaité répondre à la barbarie et compiler ici plusieurs ressources et pistes pour aborder les différentes questions de la liberté d’expression, de la liberté de la presse avec les élèves. N’hésitez pas à nous mettre en commentaire vos liens et ressources pédagogiques, nous les ajouterons. Pour remettre l’attentat terroriste en contexte, il convient de le resituer dans l’histoire de Charlie Hebdo (excellent article du Point) : Février 2006 : première affaire des caricatures de Mahomet. Charlie Hebdo reproduit des caricatures du prophète parues initialement dans le journal danois Jyllands-Posten, et qui avaient valu à leur auteur des menaces de mort. Octobre 2011 : deux jours avant la publication de l’hebdomadaire, la presse diffuse la une à venir (numéro spécial « Charia Hebdo, Mahomet rédacteur en chef » après l’arrivée au pouvoir du parti islamiste Ennahda en Tunisie. Pour aller plus loin … – Document sur la liberté d’expression Dessins : Vidéos :

Les réseaux sociaux ont-ils leur place à l’école ? En quelques années (Facebook a été lancé en 2004), les réseaux sociaux sont devenus les médias dominants dans les pratiques numériques, des jeunes d’abord, de la grande majorité des acteurs de la société ensuite, renvoyant au rang de "vieux" médias les sites web, les blogs et même la messagerie électronique. Car pourquoi perdre du temps à envoyer des dizaines de mails pour donner rendez-vous à ses amis pour une petite fête lorsque l’envoi d’une seule annonce d’événement sur Facebook suffit. Ce qui d’ailleurs se révèle beaucoup plus efficace puisqu’on peut être quasiment certain que la grande majorité des destinataires recevra effectivement le message. D’ailleurs plus personne ne peut contester l’influence déterminante des réseaux sociaux dans les événements historiques aussi importants que le "Printemps arabe". Les réseaux sociaux apparaissent donc aujourd’hui (pour combien de temps encore ?) L’école doit-elle systématiquement prendre en compte toutes les évolutions technologiques ?

Année TV 2016 : l’audience fragmentée - ZDNet Le titre du bilan 2016 réalisé par Médiamétrie est « l’audience augmentée », en référence à l’évolution des outils de mesure des audiences, en particulier du fait de l’intégration du replay dans l’audience des chaînes. Mais en fait, 2016 c’est plutôt l’année de l’audience fragmentée : des chaînes historiques en perte de vitesse, des chaînes de la TNT qui grignotent des parts de marché, et la consommation délinéarisée qui continue de se développer, sans oublier la SVOD qui pourrait venir chambouler un PAF qui ronronne. Chahutée, concurrencée, menacée voire ringardisée : oui, la télévision de 2016 c’est un peu tout ça ! Mais Médiamétrie le rappelle en introduction de sa présentation : « En 2016, près de 8 Français sur 10 ont regardé chaque jour des programmes de télévision en live, en différé ou en replay sur téléviseur, ordinateur, smartphone ou encore tablette. La fibre, une chance pour les chaînes Les 15-24 ans, déserteurs ? Le live domine, le replay grapille Agréger pour mieux consolider

Les contenus de l'EMI Nous avons choisi de proposer une lecture des contenus possibles en EMI en nous référant à des documents français, belges et canadiens et à partir de la définition des médias que proposent Smedt et Fastrez [28]. Ils s'appuient sur la notion de litteratie [29] pour définir une litteratie médiatique englobant les aspects informationnels, techniques et sociaux, ce qui nous paraît être la seule voie pour penser ce nouvel enseignement. Nous tenterons donc de dégager systématiquement les trois dimensions dans les documents que nous utilisons. Le cadre français Les propositions du CLEMI En France le CLEMI propose depuis déjà plusieurs années un référentiel [30] identifiant pour trois paliers de la scolarité obligatoire (fin CE1, fin CM2, fin 3ème) les connaissances, capacités et attitudes organisées en 5 domaines : 1. Le référentiel reflète les dimensions informationnelles et sociales. Le Clemi propose enfin une lecture des programmes de discipline à tous les niveaux de la scolarité.

Sujet plus général sur les jeunes et les médias. On ne parle pas ici seulement de réseaux sociaux... by tleroux Sep 27

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