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Enseigner autrement !

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Comment construire une progression pédagogique ou une séquence autour d'un objectif général ? Comment organiser les activités pour qu'elles permettent de maîtriser des savoirs associés à une compétence ? Voici quelques outils pour se lancer, accpmpagnés des hypothèses pédagogiques sur lesquelles ils s'appuient. Les principes Afin d'aider les enseignants en formation professionnelle, l'Organisation Internationale de la Francophonie (OIF) a élaboré une série de guides pour mettre en oeuvre une approche par compétence. Ressources pour se lancer - Inversons la Classe La classe inversée, ça vous tente, mais où trouver des ressources ? Existe-t-il des capsules vidéos déjà prêtes dans ma discipline pour se lancer ? Quels outils techniques sont-ils disponibles ? Que font les autres inverseurs dans leur temps de classe ? Voici ici assemblée une sélection de ressources utilisées par les enseignants adhérents à Inversons la Classe ! NB: des BRNE institutionnelles commencent à être fonctionnelles.

16 manières différentes de reconnaître la valeur du travail des élèves Dans son livre Des enseignants qui apprennent, ce sont des élèves qui réussissent, François Muller propose seize manières différentes de reconnaître la valeur du travail des élèves. Il écrit que la relation pédagogique naît de la connaissance réciproque et d’une reconnaissance de l’autre et de son travail. La manière de donner un retour d’informations aux élèves impacte la manière dont ils s’estiment. Or le sentiment de compétence, l’espoir de pouvoir s’améliorer et la reconnaissance des efforts et du potentiel sont des clés dans la réussite scolaire. La qualité de la relation enseignant.e/ élève est déterminante dans la qualité des apprentissages des élèves. 1.Reconnaître la valeur intrinsèque du travail (sans élément de comparaison).

KeyCoNet France Depuis quelques années, les enquêtes sur l’école sont de plus en plus inquiétantes tout particulièrement sur le cycle du collège. Les professeurs constatent de plus en plus d’élèves démotivés, manquants d’implication et une certaine passivité en classe. C’est face à ce problème qu’une méthode venue des Etats-Unis se développe : la classe inversée.

Des conditions à respecter pour susciter la motivation des élèves L’analyse des récentes recherches sur la motivation à apprendre en contexte scolaire, nous fait voir que les quatre facteurs qui influent le plus sur la dynamique motivationnelle des élèves en classe sont les activités d’apprentissage que l’enseignant propose, l’évaluation qu’il impose, les récompenses et les sanctions qu’il utilise, et lui-même, de par surtout sa passion pour sa matière et le respect qu’il porte à ses élèves. Nos travaux sur la motivation dans l’apprentissage du français nous ont amené à porter une attention particulière à l’un de ces facteurs : les activités d’apprentissage proposées aux élèves en classe. Dans les activités d’apprentissage, l’élève est l’acteur principal ; son rôle n’est pas de recevoir de l’information comme dans une activité d’enseignement (par exemple, un exposé) mais de se servir de la matière apprise pour résoudre des problèmes, ou encore, de réaliser les exercices proposés par l’enseignant. Dix conditions pour motiver Être authentique

La classe inversée n’existe pas Qu’est-ce donc que cette « classe inversée » dont on parle tant ? Une mode, un dogme, une méthode pédagogique, une réflexion en cours ? Peut-être un peu de tout ça, selon le regard que l’on y porte, mais c’est surtout, de l’avis de nombreux intervenants du CLIC2016, une porte qui s’ouvre pour changer l’école. « La classe inversée n’existe pas », et c’est Marcel Lebrun qui le dit ! Ce professeur en technologie de l’éducation et conseiller pédagogique du Louvain learning lab, est pourtant clairement identifié comme l’un des promoteurs de la classe inversée mais il défend en fait le pluriel et l’existence de plusieurs formes de classe inversée.

La classe inversée, un véritable bouleversement pédagogique ? #1 Est-ce si nouveau ? Depuis plusieurs mois, les classes inversées s'immiscent dans pratiquement toutes les conversations. Schématiquement, il s'agit de faire travailler les étudiants en amont du cours, pour consacrer le temps où ils sont présents avec le professeur à d'autres activités : approfondissement de certaines notions, réponse aux questions des étudiants, mais aussi mise en commun des productions, échanges et débats. Présentée de la sorte, cette pédagogie n'est pas franchement nouvelle : professeur à l'université catholique de Louvain, Marcel Lebrun, notamment, raconte avoir lui-même eu un enseignant qui pratiquait cette méthode lorsqu'il était étudiant. Comment expliquer un tel engouement ? "Les classes inversées sont au point de rencontre de plusieurs éléments qu'elles fédèrent, analyse Marcel Lebrun : l'approche compétences, les méthodes actives et le numérique.

Marcel LEBRUN : n'opposons pas le cours traditionnel et la classe inversée. Marcel LEBRUN, docteur en sciences est professeur en technologies de l'éducation et conseiller pédagogique à l'Institut de Pédagogie Universitaire et des Multimédias de l'Université Catholique de Louvain.Il accompagne en particulier les enseignants dans la mise en place de dispositifs techno-pédagogiques à valeur ajoutée pour l'apprentissage. Auteur de plusieurs ouvrages sur les rapports entre technologies et pédagogies, il vient de publier avec Julie LECOQ un des ouvrages (Canope, 2015 )les plus exhaustifs disponibles aujourd'hui sur la pédagogie de la classe inversée dont chacun s'étonne de l'engouement remarquable qu'elle suscite parmi les enseignants qui innovent dans les pratiques pédagogiques à l'ère du numérique.Les auteurs proposent une réflexion sur le statut du savoir et la modification de la relation entre enseignant et apprenant que la société numérique accélère. Au contraire, une démarche hybride est souhaitable. Claude TRANVice-Président de l'An@é

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