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Qui dit dépression, dit inflammation du cerveau - Sciencesetavenir.fr

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INFLAMMATION. Le cerveau des patients dépressifs présenterait bel et bien une inflammation. Telle est la découverte d’une équipe du Centre pour Addiction et santé mentale (CAMH) de Toronto (Canada) qui ouvre la voie à de nouveaux traitements. Un des mystères de la dépression est, en effet, qu’on n’en connaît toujours pas l’origine. Et que 30% des personnes atteintes de dépression majeure (lire encadré) demeurent résistantes aux traitements. Si bien qu’aujourd’hui une nouvelle hypothèse voit le jour dans la communauté scientifique. L’hypothèse est étayée par plusieurs faits. La sévérité de la dépression intimement liée avec l'ampleur de l'inflammation Malgré tous ces indices, les chercheurs n’avaient pas encore de véritables preuves de l’inflammation cérébrale durant un épisode dépressif. D’autres chercheurs sont déjà en quête de la cause de cette inflammation. Related:  texel19

LE CERVEAU À TOUS LES NIVEAUX! La mise au point des différentes classes d’antidépresseurs a suivi l’évolution des hypothèses biochimiques concernant la dépression. Une première hypothèse formulée durant les années 1960 ciblait la noradrénaline comme le neurotransmetteur principal impliqué dans la dépression. Cette hypothèse dites «des catécholamines» proposait que la dépression était due à une déficience en noradrénaline dans certains circuits cérébraux, alors que la manie correspondait à une surabondance du même neurotransmetteur. Bien qu’encore reconnue, cette hypothèse n’explique pas tout, et en particulier pourquoi des fluctuations du taux de noradrénaline n’affecte pas l’humeur de certaines personnes. Durant les années 1970, l’implication d’un autre neurotransmetteur, la sérotonine, fut postulée dans ce que l’on a appelé l’hypothèse «permissive» de la dépression. Fluoxétine (Prozac) Un troisième neurotransmetteur d'importance dans la dépression est la dopamine.

Un métabolite de la kétamine aurait une efficacité rapide contre la dépression La kétamine est un médicament anesthésiant. Elle est aussi illégalement utilisée comme drogue récréative sous le nom de spécial K ou vitamine K. L'HNK est l'un des nombreux composés produits lorsque la kétamine est métabolisée dans le corps. L'utilisation de la kétamine pour le traitement de la dépression est limitée parce que le médicament est administré par voie intraveineuse et peut produire des effets indésirables tels que des hallucinations et la sédation jusqu'au point de l'anesthésie, explique Irving Wainer cu National Institute on Aging à Baltimore, coauteur. Avec ses collègues, il a mené cette étude avec des rongeurs qui ont reçu des doses intraveineuses de kétamine, de HNK et d'un autre composé produit par le métabolisme de la kétamine, la norkétamine. La HNK, comme la kétamine, non seulement produisait des effets antidépresseurs puissants et rapides, mais stimulait des voies de neuro-régénération et initiait la croissance de neurones. Voyez également:

Certains l'aiment froid : cette minorité de gens dont le cerveau s’épanouit avec les jours courts et l’hiver Beaucoup sont ceux qui commencent à perdre le moral au début de l'hiver. Les journées sont de plus en plus courtes, la lumière se fait rare et le froid n'aide pas. De façon générale, on parle du "blues de l’hiver" ou de la déprime hivernale, mais pour les scientifiques, il s'agit officiellement du "trouble affectif saisonier". Couramment, la dépression saisonnière est un épisode de dépression qui s'installe à l'automne ou au début de l'hiver et dure jusqu'au printemps. Pourtant, alors qu'une majorité de personnes ne supporte pas le ciel gris, le soleil absent et les journées glaciales, une minorité se réjouit à l'avance de l'arrivée de l'hiver. D'après les rares études sur le sujet, environ 5% des adultes américains souffrent d'un "désordre affectif saisonnier" entre le mois de novembre et mars, alors que moins de 1% présentent le même trouble au cours de l'été. Alors que pour d'autres, c'est durant l'été que la déprime s'installe. Les raisons à cela sont multiples.

La dépression liée à de faibles niveaux sanguins de zinc Des études chez des animaux montrent aussi que la carence en zinc peut induire un comportement dépressif qui peut être inversé par une supplémentation en zinc. Plusieurs études (mais pas toutes) qui ont mesuré les concentrations sanguines de zinc chez les personnes déprimées et non déprimées ont suggéré que la dépression peut être associée à des concentrations plus faibles dans divers échantillons de population. Afin de vérifier si les données cliniques disponibles supportent cette hypothèse, Swardfager et ses collègues ont réalisé une méta-analyse de 17 études impliquant un total de 1643 personnes en dépression et 804 personnes sans dépression. Les concentrations de zinc étaient, en moyenne, plus faibles chez les personnes déprimées que chez les participants des groupes témoins. Bien que ce type d'études observationnelles ne peut déterminer le sens de la causalité, un lien de causalité entre le niveau de zinc et la dépression est biologiquement plausible, soulignent les auteurs.

L'affaire du millepertuis Retourner à la liste des sujets traités. L'affaire du millepertuis Le rôle de l'AFSSAPS Répression administrative et désinformation Le Quotidien du médecin et le millepertuis Les études démontrant l'intérêt du millepertuis pour le traitement de la dépression Remarques sur le problème des autorisations de mise sur le marché des médicaments EpiloguePour en savoir plus L'affaire du millepertuis en France a commencé le 1er mars 2000 par un communiqué de l'AFSSPS (l'Agence gouvernementale qui s'occupe du médicament en France) mettant en garde contre l'utilisation du millepertuis. Voici le début du communiqué, j'ai rajouté les italiques : Le rôle de l'AFSSAPS "Risques liés à l'utilisation du millepertuis - Le millepertuis (Hypericum perforatum ou herbe de Saint-Jean ou St John's wort) est une plante médicinale utilisée en phytothérapie et disponible en officine. Répression administrative et désinformation Le Quotidien du médecin et le millepertuis Conclusions préliminaires :

La césarienne n'est pas une intervention de routine: qu'on se le dise! Le problème n'est pas récent et n'est pas propre à la Belgique: cela fait trente ans que le taux de césariennes ne cesse d'augmenter un peu partout dans le monde. Et cela, trop souvent pour répondre à des motifs de convenance ou d'organisation (de la famille, de l'hôpital ou du médecin), mais non pour des raisons pleinement justifiées d'un point de vue médical. L'Organisation mondiale de la santé (OMS) s'en est inquiétée, depuis quelque temps déjà. En 1985, l'OMS considérait comme "idéal", un taux de 10 à 15 % des naissances par césarienne. En 2010, plusieurs pays européens dépassaient les 30%. En 2015, l'organisation reformulait son avis: plutôt que de fixer un taux "optimal" de césariennes, l'OMS recommandait de " n'effectuer une césarienne que quand c'est vraiment nécessaire ". Une naissance sur cinq se fait par césarienne en Belgique: c'est trop! Quels impacts sur la santé de la mère? Grossesses ultérieures et anomalies du placenta Déchirure utérine Fertilité Risque cardiaque Allaitement

6 processus favorisant la flexibilité psychologique ciblés par la thérapie d'acceptation et d'engagement (ACT) La thérapie d'acceptation et d'engagement ("Acceptance and Commitment Therapy", ACT), développée par le psychologue américain Steven C. Hayes et ses collègues, fait partie des thérapies cognitivo-comportementales dites de la troisième vague ou contextuelles. Plutôt que de viser à changer les événements psychologiques (émotions, pensées…) directement, ces thérapies cherchent à changer la fonction de ces événements et la relation de la personne avec ces derniers. Du point de vue de l'ACT, une source principale des problèmes psychologiques est la façon dont les événements psychologiques interagissent avec les contingences de l'environnement pour produire une incapacité de persister dans son comportement ou, selon le besoin, de modifier ce dernier, au service des qualités de vie désirées à long terme (valeurs). Six processus principaux (ou habiletés) sont ciblés pour développer cette flexibilité: L'acceptation La défusion cognitive Être présent Soi dans le contexte Les valeurs L'action engagée

Oxytocine : trop de prescription pendant l'accouchement ? L’oxytocine est un médicament fréquemment utilisé lors de l’accouchement pour favoriser la dilatation du col de l’utérus et accélérer le travail. Son utilisation pourrait être excessive selon les dernières recommandations du Collège National des Sages-Femmes de France et ne serait pas sans risques pour les femmes et leur bébé. Oxytocine et accouchement L’ocytocine est une hormone produite par l’hypothalamus (région du cerveau) et sécrétée en particulier au moment de l’accouchement et au cours de l’allaitement. Elle agit principalement sur le muscle lisse de l’utérus en stimulant les contractions utérines, ce qui facilite la dilatation du col de l’utérus et l’expulsion du fœtus. Après l’accouchement, son action permet de réduire le risque d’hémorragie post-partum (complication grave de l’accouchement, première cause de décès maternel en France). L’oxytocine est une hormone de synthèse proche de l’ocytocine, qui a le statut de médicament depuis 1970 pour les indications suivantes : Source :

Qu'est-ce que la thérapie d'acceptation et d'engagement (ACT)? Elle figure parmi les thérapies récentes dites contextuelles, aussi appelées thérapies de troisième vague. Elle vise à améliorer la flexibilité psychologique, c'est-à-dire la capacité d'être en contact avec les émotions et les pensées du moment présent tout en maintenant ou changeant au besoin son action dans la poursuite de ses objectifs ou de ses valeurs. La flexibilité psychologique permet par exemple d'accepter de vivre une anxiété qui va de pair avec certaines actions que l'on souhaite accomplir alors que de rechercher l'évitement de cette émotion peut conduire à ne pas pouvoir réaliser ses buts à long terme. La flexibilité est ainsi décrite comme une capacité d'acceptation et d'engagement. Afin de développer la flexibilité, l'ACT vise à favoriser : le développement d'habiletés pour composer avec les pensées et les sentiments négatifs. Six processus cognitifs centraux dans cette démarche sont : Psychomédia avec source : Act Mindfully Tous droits réservés.

Traumatismes obstétricaux - Pédiatrie Les lésions du plexus brachial surviennent fréquemment à la suite d'un étirement latéral du cou lors de l'accouchement, provoqué par une dystocie des épaules, un siège ou une hyperabduction du cou en présentation céphalique. Les lésions peuvent être dues à l'étirement seul, à un étirement, à une hémorragie dans la gaine du nerf, à la déchirure du nerf ou de sa racine ou à l'arrachement des racines avec lésion associée de la moelle cervicale. Des lésions traumatiques associées (p. ex., fractures de la clavicule ou de l'humérus ou subluxation de l'épaule ou du rachis cervical) peuvent se produire. La compression intra-utérine peut également causer certains cas. Les lésions peuvent impliquer les Partie supérieure du plexus brachial (C5 à C7): affecte les muscles autour de l'épaule et du coude Plexus inférieur (C8 à T1): affecte principalement les muscles de l'avant-bras et de la main Plexus brachial dans sa totalité: affecte tout le membre supérieur et souvent les fibres sympathiques du T1

Cognitive Behavioral Therapy Cognitive Behavioral Therapy (CBT) is a brief-oriented therapy that helps change emotional states by changing thoughts, limiting beliefs, and other cognitive distortions. This form of therapy is widely accepted as a treatment of choice by many, if not most, therapists today. It's a good compliment to other forms of therapy including directive types of hypnotherapy and NLP. Basically, Cognitive Behavioral Therapy presupposes that it’s our interpretation of events, rather than the events themselves, that cause the negative emotional and/or behavioral consequences we experience in a given situation. In the chart below are the elements of subjective experience upon which Cognitive Behavioral Therapy focuses: A = Activating event (Trigger)B = Belief about the event (The movie we make)C1 = Emotional Consequence (Resulting emotional state)C2 = Behavioral Consequence (Our actions or reactions) Our resulting emotional state has an impact on the actions we choose or the reactions that chooses us... 1.

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