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Mediator, le scandale sanitaire

Mediator, le scandale sanitaire

Affaire Mediator: du scandale sanitaire au temps de la réparation En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez nos CGU et l'utilisation de cookies afin de réaliser des statistiques d'audiences et vous proposer une navigation optimale, la possibilité de partager des contenus sur des réseaux sociaux ainsi que des services et offres adaptés à vos centres d'intérêts. Pour en savoir plus et paramétrer les cookies... Replay Emissions bien ensoleillé Vent : 5km/h - UV : 1 Clôture veille : 4899.40 Ouverture : 4912.95 Replay Emissions Inscrivez-vous gratuitement à laNewsletter BFMTV Midi L'ouverture du premier procès du Mediator marque une nouvelle étape dans ce drame sanitaire qui aurait fait jusqu'à 1.800 victimes. D'un drame sanitaire étouffé pendant trois décennies, l'affaire du Mediator s'est muée en scandale en 2009 lorsque la dangerosité de ce médicament coupe-faim a éclaté au grand jour. > D'où est parti le scandale? Le médicament a été retiré de la vente du marché suisse dès 1998, espagnol en 2003 et italien en 2004. Mais il y a plus. Partager

Mediator: chronologie d'un scandale MEDIATOR - Décédé ce mercredi 16 avril, Jacques Servier n'assistera pas à son procès, celui du scandale du Mediator, qui aura lieu en 2015. Retour en dates sur l'un des plus grands scandales sanitaires français. LIRE AUSSI : Jacques Servier est mort 1976: commercialisation du Mediator (benfluorex) des laboratoires Servier, autorisé en 1974, anti-diabétique largement détourné comme coupe-faim.- 1998: l'Agence du médicament est alertée par trois professeurs de médecine sur les risques du Mediator comme coupe-faim.1999: avis négatif de la Commission de transparence du médicament.2003-2004: retrait en Espagne et en Italie.2006: la Haute Autorité de Santé souligne les dangers du Mediator, remboursé à 65%.2007: l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) recommande de ne pas le prescrire comme coupe-faim.2008: alerte d'une pneumologue de Brest, Irène Frachon, sur les risques cardiaques.30 novembre 2009: retrait du Mediator pour risques de valvulopathie.

Mediator : Servier condamné pour la première fois en appel VIDÉO - La cour d'appel de Versailles a confirmé que le produit de Servier, condamné en octobre, était bien «défectueux» et que malgré tout, l'entreprise l'avait laissé sur le marché français. Une première dans cette affaire. Pour la première fois, le 22 octobre dernier, la justice avait condamné les laboratoires Servier, producteurs du Mediator en jugeant la molécule défectueuse. La cour d'appel de Versailles vient, ce jeudi, de confirmer sa décision dont la sévérité contraste pourtant avec les sanctions financières retenues. Pas de connaissances des médecins ni des patients Revenons sur le jugement. Données concordantes en 1997 sur les «effets nocifs du Mediator» Puis, à la suite d'alertes en Espagne et en Italie en 2003 pour sa possible implication dans le développement de valvulopathies, Servier a retiré du marché dans ces pays le benfluorex. L'avocate des laboratoires Servier n'était pas joignable.

Le scandale du Mediator et Jacques Servier Mediator: déjà 1700 demandes d'indemnisations acceptées Celles-ci ne représentent qu'un tiers des dossiers déjà instruits par le collège d'experts de l'Office national d'indemnisation des accidents médicaux. Les autres ont été rejetés en raison "d'une pathologie non imputable au benfluorex (soit le composant du Mediator, ndlr)". Procès du Mediator: Michel n'a pas perdu que sa santé L'un des plus gros scandales sanitaires français était jugé pour la première fois au civil ce jeudi. Dangereux médicaments Avec le scandale sanitaire du Mediator, les "présomptions de défaillances graves" dans le fonctionnement de notre système du médicament s'accumulent. Mediator: la responsabilité de la Cnamts en cause? Certaines victimes du Mediator estiment que la Cnamts n'ignorait rien de la prescription massive du médicament hors autorisation de mise sur le marché. Mediator: l'inquiétude des victimes après la mort de Jacques Servier Mediator: les mystères du Dr Servier Jacques Servier est mort

Mediator : la responsabilité de Servier confirmée en appel Selon la cour d’appel de Versailles, le laboratoire aurait dû réagir, au plus tard, en 1997, en raison de « données scientifiques concordantes sur les effets nocifs du Mediator ». L’arrêt rendu jeudi 14 avril par la cour d’appel de Versailles est une étape décisive dans l’affaire du Mediator : pour la première fois, en France, la responsabilité civile des laboratoires Servier d’avoir maintenu un médicament qu’ils savaient « défectueux » et dont les risques ne pouvaient être ignorés a été reconnue, au fond, de manière définitive par la justice. La décision de première instance prononcée le 22 octobre 2015 à Nanterre avait été saluée par nombre de ces personnes qui, soit parce qu’elles étaient diabétiques, soit parce qu’elles voulaient perdre quelques kilos, avaient cru bon avaler cette pilule dont on vantait le pouvoir amaigrissant mais dont les effets secondaires avaient été dissimulés. Sur le plan de la responsabilité des laboratoires, la...

Affaire du Mediator : le point si vous avez raté un épisode Jacques Servier, patron éponyme du premier groupe pharmaceutique français, a de nouveau été mis en examen, mardi, dans l'un des volets judiciaires de ce scandale sanitaire. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Alexandre Pouchard Jacques Servier, président fondateur des laboratoires du même nom, Alain Le Ridant, directeur général délégué et pharmacien en chef du groupe, ainsi que trois responsables de Biopharma, l'une des filiales des laboratoires, doivent comparaître jusqu'au 14 juin devant le tribunal de Nanterre pour répondre des faits de "tromperie aggravée" pour avoir commercialisé de 1976 à 2009 le Mediator, un médicament accusé d'avoir déjà causé des centaines de morts en France. Jacques Servier avait par ailleurs été mis en examen, mardi 11 décembre 2012, pour "homicides et blessures involontaires" dans le cadre de la procédure menée par le parquet de Paris dans un des volets judiciaires de l'affaire du Mediator. Le point sur les multiples ramifications de ce scandale sanitaire.

Le calvaire des victimes du Mediator | LE MANIFESTE DES 30 Le succès médiatique de notre manifeste a conduit les représentants du laboratoire SERVIER à tenter de se justifier auprès des signataires, des journalistes et du public Leur message se résume à cette phrase, : « Le Mediator a entrainé chez certains patients des effets indésirables sérieux pour lesquels une réparation et une indemnisation sont nécessaires. Le groupe Servier vit ce drame avec gravité, respect et compassion pour les patients et leurs proches. » (communiqué SERVIER). Ce même communiqué donne des chiffres sur le nombre de dossiers traités et clos. Voyons en quoi consiste la compassion de SERVIER vis-à-vis des victimes (encore vivantes) du MEDIATOR, à l’aide d’un échange de correspondance stéréotypé qui concerne des centaines de plaignant(e)s. Nous terminerons par le témoignage vidéo d’une victime sévèrement touchée, témoignage qui se passe de commentaires. Le cas le plus fréquent est celui d’une femme d’environ 50 ans, qui a pris du MEDIATOR pendant quelques années. Epilogue

Servier La croissance du groupe repose sur la recherche constante d’innovation dans cinq domaines (maladies cardiovasculaires, immuno-inflammatoires et neurodégénératives, cancers et diabète) et sur la production de médicaments génériques. Servier propose également des solutions de e-santé allant au-delà du développement de médicaments[3]. Le groupe a été mis en cause dans plusieurs affaires, dont la plus connue est celle du Mediator. Historique[modifier | modifier le code] Le laboratoire a été créé en 1954[4] à Orléans par Jacques Servier et neuf autres personnes[5], par rachat d'une entreprise de fabrication de sirop. Dans les années 1960, les laboratoires mettent sur le marché deux nouvelles molécules, la fenfluramine (Pondéral et Isoméride) et le benfluorex (Mediator)[7]. En 1973, ils lancent un médicament contre la toux à base de fenspiride[8]. En 1974, ils obtiennent l'autorisation de mettre le Mediator sur le marché[9],[10]. Médicaments[modifier | modifier le code]

Mediator : la responsabilité civile des laboratoires Servier reconnue pour la première fois La justice a estimé que le laboratoire était responsable de la « défectuosité » du médicament qui pourrait être responsable à long terme de 2 100 morts. Le Mediator présentait-il un défaut de sécurité lorsqu’il a été prescrit aux demandeurs entre 2003 et 2009 ? Le tribunal de grande instance (TGI) de Nanterre a tranché, jeudi 22 octobre, en estimant, pour la première fois, que les laboratoires Servier étaient civilement responsables quant à la « défectuosité » de ce médicament coupe-faim au cœur de l’un des plus grands scandales sanitaires français. Cette décision, susceptible d’être frappée d’appel, n’est qu’une étape dans l’affaire du Mediator. « Les laboratoires ne pouvaient plus ignorer qu’il y avait une balance bénéfices-risques » Le TGI de Nanterre a examiné les demandes d’indemnisation de deux malades de 72 et 67 ans, qui réclament à Servier 900 000 et 125 000 euros en réparation des séquelles de leur valvulopathie. Lire aussi Le procès du Mediator n’est pas près de s’ouvrir

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