Nike
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le nom Nike est inspiré de la déesse grecque de la victoire Niké, déesse ailée capable de se déplacer à grande vitesse, dont la représentation la plus connue, une statue exposée au Louvre, est la Victoire de Samothrace. La marque a assuré sa notoriété par un logo simple et rapidement reconnaissable : le Swoosh, une virgule posée à l'envers et à l'horizontale ; il a été créé par Carolyn Davidson en 1971[4] comme une représentation stylisée de l'aile de la déesse. En 2005, Nike réalise 55 % de ses ventes à l'étranger[5]. L'entreprise est actuellement le plus grand équipementier sportif dans le monde, avec un chiffre d'affaires pour 2013 de 25,29 milliards de dollars[6]. Historique[modifier | modifier le code] Débuts[modifier | modifier le code] Ces chaussures arrivant à épuisement, Knight crée la société BRS (Blue Ribbon Sports) afin de gagner en crédibilité et passe commande d'échantillons de modèles de chaussures pour l'Oregon. Clubs
Le succès de la marque Nike expliqué par Pikandclik - Pik and Clik
Née en Oregon, aux États-Unis, Nike est aujourd'hui le numéro 1 mondial des marques d'équipement sportif. Naissance et début C'est en 1950 à l'université de l'Oregon que tout commence. Bill Bowerman, entraîneur, et son coureur, Phil Knight sont à la recherche d'une formule pour améliorer leurs performances, les deux hommes en viennent alors à importer des chaussures provenant du Japon, créées par Mr Tiger. L’entreprise se nomme alors Blue Ribbon Sports (BRS). En 1965, Bowerman et Knight cherchent à améliorer leurs produits. C’est en 1973 que la chaussure de sport Nike la plus célèbre est commercialisée : la « Waffle » (gaufre en anglais). À partir de 1981, Nike devient alors la première marque de chaussures de sport aux États-Unis. Le concept Nike La marque à la virgule s'adresse avant tout aux sportifs, amateurs comme professionnels. Pour communiquer sur ses produits, Nike n’hésite pas à sponsoriser les plus grands champions. Nike aujourd'hui
Les marques de sport ont-elles bonne réputation? - Marketing Sportif
L'image de marque n'est jamais que subjective: elle n'existe que dans la tête des consommateurs. Si les Français savent qu'Evian est la plus équilibrée des eaux minérales et que Contrex permet de garder la ligne, c'est parce que ces deux annonceurs le leur ont rabâché à longueur de coûteuses campagnes publicitaires. Mais, pour savoir si leur message est bien passé, les marketeurs n'ont d'autre solution que d'interroger les consommateurs. Ils s'adressent alors à la mémoire sémantique des répondants, celle par laquelle l'individu stocke ses connaissances générales. Des informations contradictoires peuvent donc coexister en nous. Quelle perception? Il y a des marques à forte réputation d'un côté, et des marques sans réelle réputation de l'autre, comme Airness, voire Fila, malgré son partenariat avec le rappeur Nas. Et c'est cela que les blogueurs reprochent à Nike: n'être qu'une machine à faire du business. A l'inverse, Converse représente la réputation ultime. Construire sa réputation
image de marque marketing : définition et exemple image de marque
Plan : I. Définition II. Image de marque : Définition L’image d’une entité ou d’un objet représente l’ensemble des représentations mentales (connaissances, croyances, opinions…) qu’un individu associe à cette entité ou à cet objet en fonction des perceptions qu’il en a. Déployer une campagne d’image de marque, c’est donner à la marque une personnalité. Or, chaque individu a une image de la marque qui lui est propre. Il arrive, en effet, que l’image perçue – c’est à dire celle qui correspond aux représentations qui existent à un moment donné dans la population étudiée – ne soit pas la même que l’image voulue – c’est à dire celle qui correspond aux objectifs de l’entreprise, aux intentions, aux valeurs qu’elle souhaite déclarer. C’est pour cela qu’il est nécessaire de déterminer le contenu de l’image voulue mais également pouvoir la contrôler à tout moment et être capable de mesurer – par le biais de mesure d’image - les décalages qui existent entre l’image voulue et l’image perçue.