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- Tendances du marketing relationnel, consommation : le hub

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Malmenée par la crise, questionnée par des clients exigeants, la présence de vendeurs en magasin pourrait toutefois retrouver une nouvelle vigueur. Dans une version connectée, et avec un rôle qui évolue vers celui de coach ou d’ambassadeur. De nouveaux modes de rémunération pourraient même apparaître. > Retour au sommaire navigation contenu L’humain dans les magasins, une place à reconquérir La crise a détruit des dizaines de milliers d’emplois dans le commerce. Et en magasin, les vendeurs sont parfois des boucs émissaires pour des clients qui ont pris de nouvelles habitudes sur internet. Le « clienteling » décrypté par Valérie Piotte, DG de Publicis Shopper Publicis Shopper s’emploie à analyser les nouveaux parcours d’achat des consommateurs connectés, afin de recommander des stratégies de communication sur l’ensemble du parcours d’achat pour transformer chaque consommateur en acheteur fidèle. Related:  Divers ...distribution

Lexus, marque de luxe de Toyota, championne de la qualité-fiabilité Une fois de plus, Lexus ramporte la palme. La marque de luxe du japonais Toyota est consacrée aux Etats-Unis pour la qualité-fiabilité de ses voitures par la dernière étude du consultant J.D. Power, qui fait référence. Le label haut de gamme affiche le nombre de défauts le plus faible, selon l'enquête 2013 auprès des consommateurs sur les véhicules âgés de trois ans. Avec 71 problèmes pour cent véhicules, Lexus devance Porsche (94) et sa maison-mère Toyota (112) qui arrive à égalité avec Lincoln (Ford). Excellence des japonais, mais pas de Nissan Cette étude auprès de 37.000 automobilites démontre une fois de plus l'excellence des constructeurs nippons Toyota et Honda, mais pas de... Gains des marques américaines L'enquête montre aussi les gains spectaculaires enregistrés par certaines marques américaines. Relance de Lexus Toyota veut d'ailleurs relancer sa marque de prestige Lexus, essentiellement connue outre-Atlantique.

Points de Vente était là ! Elle fait partie de notre quotidien. Du premier hypermarché Carrefour à Sainte-Geneviève-des-Bois, en 1963, aux prémices du commerce digital, la grande distribution a évolué, au fil du temps, pour le meilleur et pour le pire. Mort du petit commerce traditionnel, rupture du lien entre campagne et populations, emplois dévalorisés : les travers du secteur viennent aujourd’hui assombrir les années fastes de la grande distribution qui a “longtemps représenté, pour les anciennes générations, un vrai progrès social”, rappelle Philippe Olry professeur en éco-gestion. Changement de siècle et de moeurs oblige, les nouvelles générations sont plus enclines à l’acte d’achat personnalisé qu’à la consommation de masse. Le glas a-t-il sonné pour la grande distribution? Age d’or À l’origine de la grande distribution, il y a un épicier. Entre 1974 et 1980, la progression des employés à temps partiel atteint 68 % en six ans et jusqu’à 119 % dans le gros non-alimentaire. Les lois de la distribution

La vente directe des producteurs aux consommateurs Selon Peter DRUCKER [1], « le progrès économique ne consiste pas mieux à satisfaire des besoins révolus, mais à offrir de nouvelles options, à accroitre l’espérance et étendre les aspirations. Cette tâche doit être en grande partie remplie par la commercialisation, dont le rôle est nécessaire pour assurer la rentabilité de la transformation technologique, c’est-à-dire aboutir à la satisfaction des besoins et des désirs des hommes ». Il faut que les nouvelles formes de production et de vente soient conformes aux nouveaux besoins d’une société en évolution. Ces méthodes doivent tenir compte des besoins individuels de chaque consommateur. Distribuer, c’est mettre à disposition d’un consommateur intermédiaire (entreprise) ou final (consommateur) des biens, des services, des solutions selon l’échéance, le lieu, la quantité et la présentation adaptés. I. A. Vente en porte à porte : un certain nombre de producteurs vendent directement à leurs clients par le biais d’un démarcheur à domicile.

Le Drive : Un modèle en questions 1. Jusqu'où ira la part de marché ? 2,9 % de marché en décembre 100 % de croissance annuelle 5 millions de ménages utilisateurs (soit 15 %) à fin 2012 2 000 drives (points de retrait compris) à fin 2012 Sources : LSA, Kantar Une seule certitude : foncer. La course à l'armement Qu'on en juge. « En novembre, le drive a conquis 900 000 ménages de plus, indique Frédéric Valette, directeur chez Kantar Worldpanel. Une véritable course à l'armement... 2. 200 000€ d'investissement moyen pour un drive accolé un peu ambitieux 2 M € pour bâtir un drive solo 10 % de drives solo dans le parc global de drives Source : LSA Drive solo, planté à proximité de la concurrence, destiné à grappiller de la part de marché, ou accolé, installé à côté de son propre magasin, pour faire en sorte de ne pas en perdre... Domination des accolés Conséquence somme toute logique : le premier modèle domine largement. Et les autres ? 3. Elles sont au nombre de trois, ni plus ni moins. Nécessité de l'omnicanal Son intérêt, alors ?

sans titre L’introduction d’Internet et des nouvelles technologies de l’information et de la communication au sein des foyers a participé de manière majeure à la mutation du commerce. Cette mutation a donné la possibilité aux entreprises de collecter d’autres informations que celles qu’elles détenaient déjà au sujet de leurs clients et prospects (grâce aux panels ou la vente par correspondance par exemple). Si les formes du commerce ont grandement évolué, les types de points de vente ont, eux aussi, connu de très importants changements. Les premières cartes de fidélité en magasin dans les années 1970… la dématérialisation de ces mêmes cartes aujourd’hui. Depuis la création du Bon Marché[1] par Aristide Boucicaut en 1852, le client d’autrefois n’aurait plus aucun repère dans le paysage des commerçants et e-commerçants d’aujourd’hui. Les grandes étapes de l’histoire du commerce Apparue dans les années 1930 aux Etats Unis, la grande distribution n’est arrivée en France que beaucoup plus tard.

Sept innovations « waouh » qui arrivent en magasin - Tendances du marketing relationnel, consommation : le hub 1 – Chez Audi, des casques de réalité virtuelle pour essayer les voitures Le mois dernier, lors du salon automobile de Détroit, Audi a annoncé qu’il allait déployer d’ici la fin de l’année un casque de réalité virtuelle dans certaines de ses concessions. L’objectif ? Permettre au client de visualiser, de la façon la plus immersive et la plus détaillée possible, la voiture qu’il s’apprête à commander. Grâce à ce système dénommé « Audi Virtual Reality experience », le conducteur peut se mettre virtuellement au volant de sa future Audi et observer toutes les options (couleur, équipements, intérieur cuir…) qu’il a choisies. Cette expérience de réalité virtuelle est destinée « aux marchés à forte croissance », précise la marque (Asie, Amérique du Nord). Plus d’infos : Les numériques 1 bis – Thomas Cook propose de tester les voyages avant de les acheter Thomas Cook est aussi en train d’installer des casques de réalité virtuelle dans ses points de vente. Thomas Cook Que propose ce miroir ?

Le Bon Marché Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Premier grand magasin « Au Bon Marché » de 1887. Le Bon Marché est un grand magasin français, situé au 24 rue de Sèvres dans le 7e arrondissement de Paris, à l'angle de la rue de Babylone et de la rue du Bac. En 1989, après 151 ans d'existence, le magasin Au Bon Marché change de nom et devient Le Bon Marché. Historique[modifier | modifier le code] À gauche, le deuxième magasin de 1924. Aristide Boucicaut (1810-1877). Intérieur du magasin en 2008 « La cathédrale du commerce moderne (...), faite pour un peuple de clientes. » — Émile Zola, Au Bonheur des Dames Le premier magasin Au Bon Marché fut fondé en 1838 par les frères Paul et Justin Videau sous la forme d'une grande boutique (douze employés et quatre rayons) de mercerie vendant aussi des draps, matelas et des parapluies. Une salle de mille places est installée au sommet de l'immeuble pour accueillir des soirées. La Grande Épicerie[modifier | modifier le code] Michael B.

High-Tech : Boulanger, Darty, Fnac... lequel est le mieux armé face à la concurrence du Web Face à Amazon & Co, c'est l'enseigne nordiste Boulanger qui donne le plus envie d'aller en magasin. Mais Fnac et Darty sont plus numérisés. Une information du «Wall Street Journal» a récemment surpris tous les professionnels du commerce : à New York, Amazon envisagerait d'ouvrir une échoppe. Le cador de la vente sur Internet n'a pas démenti. Si c'est vrai, quelle revanche pour la boutique de papa ! «Souvenez-vous, quand les pure players sont arrivés, beaucoup annonçaient la mort rapide des magasins classiques, rappelle Frédérique Giavarini, directrice de la stratégie à la Fnac. Derrière ce mot barbare se cachent une kyrielle de services désormais bien connus des consommateurs : commander en ligne et venir chercher son produit en magasin ; acheter un objet sur le site Internet de la chaîne, depuis la tablette d'un vendeur ; sélectionner un article sur la Toile et finaliser son achat après l'avoir testé en rayon... A condition d'abord d'assurer une bonne complémentarité Web-boutique.

Des blogueurs de mode scandinaves découvrent la vie d’un ouvrier du textile au Cambodge Que se passe-t-il quand trois jeunes blogueurs de mode norvégiens sont invités à découvrir le quotidien des ouvriers qui fabriquent nos vêtements dans le tiers-monde ? Pas une émission mal foutue de télé-réalité, mais un web-documentaire intitulé Sweatshop (« Atelier de misère ») dont les épisodes ont été diffusés sur le site du quotidien norvégien Aftenposten en avril. Anniken Jorgensen, Frida Ottesen et Ludvig Hambro, propres sur eux et fanatiques de fringues, ont été suivis alors qu’ils découvraient le quotidien des ouvriers d’une usine de textile du boulevard Veng Sreng, à Phnom Penh. « J’ai cousu des vêtements pendant huit heures, pour 4 dollars » Réveil matinal, horaires à rallonge, salaire de misère, ateliers surchargés, chauds et bruyants… les jeunes Occidentaux découvrent la dure réalité d’un monde qu’ils ignoraient et dans lequel, pourtant, ils étaient impliqués. « La nuit dernière, j’ai dormi dans une maison minuscule (…). Le Bangladesh, mais aussi le Cambodge ou l’Ethiopie

Guerre des supérettes en centre-ville Alors que les ventes des hypermarchés de périphérie stagnent, les distributeurs alimentaires s'affrontent au coeur des zones urbaines. La bataille y est plus féroce et plus complexe. Débarqués en mars dans le XVe arrondissement de Paris, les Mousquetaires veulent devenir la référence du quartier Balard. Leur arme: Intermarché Express, une nouvelle enseigne calibrée pour le centre-ville. Ils ont inauguré une supérette de 875 m2, installée à la place d'un ancien garage. La zone est pourtant déjà richement pourvue en petits commerces alimentaires. Un foyer typique de l'intensification de la guérilla que se livrent la quasi-totalité des distributeurs en centre-ville. 200 Intermarché Express d'ici à 2018 «Compte tenu des évolutions démographiques (vieillissement de la population, manque de temps, fragmentation des courses, baisse de la taille des ménages), ce format retrouve l'intérêt des grands distributeurs, analyse Jacques Dupré à l'IRI. Marks & Spencer Food à l'offensive à Paris

untitled Le terminal mobile, l'allié du commercial en rayon Mallette de travail ouverte sur le sol, PC portable posé sur une palette, catalogue papier coincé sous le bras... Pas facile pour un commercial de travailler dans ces conditions! C'est pourtant souvent le cas, car le chef de rayon a de moins en moins de temps pour le recevoir dans ses bureaux. Du coup, le chef de secteur doit se contenter d'un quart d'heure d'entretien, dans le rayon, en se débrouillant comme il peut pour sa présentation. Pour pallier ce désagrément, les industriels de la grande conso ont alors ­décidé, lors du renouvellement de leur parc informatique, d'équiper leur force de vente d'outils nomades: smartphone, tablette, PC hybride. Les avantages sont nombreux: plus petits, plus légers, plus performants et rapides, plus autonomes (les batteries peuvent tenir jusqu'à 18 heures pour certains appareils, quand le maximum pour un PC portable est d'environ trois heures...), plus connectés, ludiques et modernes...

Les centres commerciaux abandonnés aux Etats-Unis Les Malls américains comme ils sont appelés sont l’apogée de l’ultra consommation, connue sous le nom de Trente Glorieuses, après la Seconde Guerre Mondiale. Ces Malls, situés essentiellement à l’époque aux Etats-Unis, sont devenus tellement grands qu’on les appelle maintenant Mega Mall, des centres commerciaux grands comme des dizaines de terrains de foot alignés, comptant des centaines d’enseignes. Parmi les plus grands des Etats-Unis (et surement du monde), le Mall of America de Bloomington, dans la banlieue de Saint Paul-Minneapolis, dans le Minnesota est celui qui possède le plus de magasins : 522, ainsi que 14 salles de cinéma, 50 restaurants et fast-foods et 8 discothèques… Il s’étale sur une superficie commerciale de 258.000 m2 (le plus grand est le King of Prussia Mall en Pennsylvanie avec 260.000 m2) et dispose d’un parking de 20.000 places, la même capacité d’un stade de basket NBA. La carte de ces malls abandonnés aux Etats-Unis :

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