Knowledge Management: Creating a Social Intranet Where Employees Can Learn This is Part II in the "Learn, Plan and Do" series that explores the use of social technologies to take your intranet to the next level, to create a social intranet. But hopefully you will find that it goes even further.. to not only create a social intranet, but to also introduce your employees to an integrated social experience. Collaboration has become more than just a hot topic. And what does collaboration bring us? We are seeing that the best intranets are those that are integrating social technologies that not only drive community and collaboration, but also knowledge management. Knowledge sharing. To the above, all I would also add the following: Social tagging. What we're learning is that employees are your most important resource for knowledge, content curation and management. The Social Intranet Workbook The Social Intranet is happening now. * The inclusion of this whitepaper does not imply endorsement of EPiServer CMS by The Social Workplace. Connect: Authored by: Elizabeth Lupfer
Les outils du KM à l'heure du Web 2.0 Des widgets sémantiques aux tags, en passant par les flux RSS et les blogs / wikis, la gestion des connaissances se découvre une seconde jeunesse. L'intégration au SI reste toutefois une priorité. Peut-on être à la fois populaire et mal-aimé ? Très certainement, surtout si l'on est un outil de Knowledge Management, à en croire les résultats publiés dans l'enquête Management tools and trends 2007 menée par le cabinet Bain & Company. Alors que le taux de pénétration des outils KM dans les entreprises avoisine les 70%, on découvre une paradoxale insatisfaction de la part des utilisateurs qui les placent loin derrière ceux de la gestion de la relation client (CRM) et de la gestion de la chaîne logistique (SCM), mais aussi - tout de même - devant les blogs "corporate". Pourtant, l'arrivée des technologies et fonctionnalités Web 2.0 pourrait bien jouer le rôle de nouveau chevalier blanc, et du coup revigorer le moral d'utilisateurs en proie à de profondes désillusions.
Viadeo et Nearbee facilitent la connaissance sur les entreprises Je m'abonne Viadeo et Nearbee spécialisées dans les plateformes collaboratives établissent tous deux un partenariat pour faciliter l'identification des contacts. Nearbee propose, en effet, une nouvelle plateforme de “business intelligence” appelée “social switching”. Grâce aux connecteurs mis en place par Viadeo, la plateforme propose un bouquet de 30 services de “business intelligence” de nouvelle génération, destinés à accélérer la gestion des affaires commerciales dans les entreprises. Les principaux bénéfices permettent d'insérer les activités et informations de son compte Viadeo directement dans son système d'information, CRM ou ERP (Import de ses contacts Viadeo, possibilité de les partager avec les autres membres de la plateforme, suivi de l’activité de ses contacts et prospects sur Viadeo, etc.). « La solution accélère les processus de négociation en identifiant plus rapidement les dirigeants, les chemins décisionnels.
Séquence 5. Les cartes heuristiques La carte heuristique (mind map en anglais) carte des idées, schéma de pensée, carte mentale, arbre à idées ou encore topogramme, est un diagramme qui représente des liens sémantiques entre différentes idées ou des liens hiérarchiques entre différents concepts. la carte heuristique est le plus souvent une représentation arborescente de données. Pas de longues phrases mais un schéma avec des mots clés, c’est la technique de la carte mentale. Ces mots-clés ne représentent qu'environ 10% des mots employés dans un texte.C'est un outil d'usage personnel ou collectif, utile à la prise de notes, la recherche d'idées, l'élaboration d'un plan, l'apprentissage, la révision, la mémorisation, l'oral, la valorisation des idées ou d'une présentation, etc. Usages dans l'apprentissage des langues Elle est très utile également en pédagogie en général. Il existe plusieurs logiciels gratuits ou payant permettant de réaliser des cartes heuristiques facilement.
Data-observer, solution en e-reputation est soutenue par EDF EDF a donné son accord pour soutenir le développement de Data-observer, solution inédite d'e-reputation. EDF rejoint ainsi la banque CIC et Oseo. D'autres acteurs majeurs du CAC 40 pourraient prochainement rejoindre le groupe de partenaires financiers de Data-observer. Rappelons que Data-Observer et la société Les Infostratèges ont récemment noué un partenariat (voir le communiqué du 11 janvier 2011 Partenariat Data-observer – Les Infostratèges). En effet, c'est pour compléter et enrichir son offre globale dédiée à la collecte et l’analyse sémantique de l’information publiée sur le web que Data-observer avait récemment décidé de se rapprocher de partenaires issus du marketing, de la communication et de l’e-réputation. La solution en e-réputation de Data-observer répond aux besoins des entreprises et des collectivités qui souhaitent prendre le "pouls du web" pour : La solution Data-observer associe une technologie inédite et originale à un traitement humain de l'information.
Michel Crozier, l'Acteur et le Système, synthèse du livre et critique Les contraintes de l'action collective Seuil 1977 Copyright : Le contenu de cette page a été copié (social.subject-line.com/t2337-topic). Sommaire I Le livre : FICHE de LECTURE - SYNTHÈSE II - CRITIQUE - Pistes de réflexion I - Le livre : FICHE de LECTURE - SYNTHÈSE Michel Crozier et Erhard Friedberg définissent ce livre comme un manuel, non pas de sociologie des organisations, mais de sociologie de l’'action organisée. Cette méthode, basée sur l’'analyse stratégique, se positionne sur le plan des relations de pouvoir entre acteurs et des règles implicites qui gouvernent leurs interactions, et qui sont appelées ici « jeux ». Le pouvoir est défini comme une relation structurante caractérisée par le déséquilibre d’'une relation qui est réciproque, et par la possibilité de certains individus ou groupes d’'agir sur d’autres individus ou groupes. Michel Crozier et Erhard Friedberg mettent en avant le système à entrées multiples avec la possibilité d’'agir sur une des variables. Sujets :
Où il est question de cartographie et d’intelligence économique, encore… | Actulligence.com | Veille Stratégique, Intelligence Economique | Actulligence.com | Veille Stratégique, Intelligence Economique Après le débat plus qu’animé sur la cartographie de l’intelligence économique publié par les étudiants du Miste et ses enseignants, j’ai décidé du haut de mon perchoir (sic) de prêter le flan à la critique. Oui parce que même s’il semblerait que j’ai la critique facile, des fois cela m’arrive de travailler et en l’occurrence en ce moment de travailler sur la cartographie. Suite donc au dernier billet estampillé cartographie de l’information, j’ai eu l’occasion de discuter avec un ami, Sam, et nous avons décidé de travailler conjointement à la mise en ligne d’une cartographie de l’intelligence économique. L’objectif de cette cartographie était de montrer : qu’il était possible de faire une cartographie représentative d’un écosystème sans multiplier les biais , ni les critères de sélectionqu’il était possible d’automatiser une grosse partie de la démarche. Bon, alors comment avons nous décider de procéder et quel était le champ d’étude. Mode opératoire : Les mots clés retenus ont été :
Les pratiques managériales les plus innovantes du monde Audace, inventivité, souplesse, authenticité... Tout le monde s'accorde à dire que nos entreprises doivent se réinventer pour se différencier. Quand on parle d'innovation, on pense stratégie, offre, organisation et très rarement management, à savoir la manière dont on anime et les Hommes. Pourquoi ? Vous, qui découvrez cet article, aimeriez-vous travailler au sein d'une entreprise où :les missions que l'on vous confie sont passionnantes ? Bien que 85 % des dirigeants estiment que l'innovation est primordiale pour rester compétitif, les entreprises n'y accordent qu'environ 10 % de leur temps [i]. Le management : parent pauvre de l'innovation Selon un sondage Ipsos de 2013, l'innovation est confiée à 72 % aux fonctions Recherche & Développement, Qualité et Marketing, ce qui représente entre 5 à 8 % de l'effectif. Histoire du management : quand "toujours plus de la même chose produit les mêmes effets" Si les outils évoluent, les paradigmes managériaux demeurent inchangés depuis un siècle. 1.
Marketing des Produits d'information Voici la vidéo de mon intervention au congrès organisé par Jean-François Ruiz, le Web 2 Connect . Il s’agit de l’un des événements phares du Web et du marketing en France, avec plus de 400 participants parmi les incontournables de l’Internet français. C’est un honneur d’avoir pu y présenter ma vision de l’avenir des produits d’information, et je suis d’autant plus touché d’avoir été invité à faire la présentation d’ouverture le premier jour du congrès. Cette présentation me tient à coeur, car j’y aborde un des changements majeurs que connaît notre monde industrialisé, un changement dont chacun d’entre nous peut faire partie. Dans la vidéo, je mentionne plusieurs ressources, voici leurs liens : , un des membres de Séduire le Client, expert en vidéo. , créateur de “ Read Me I’m Famous “, qui partage ses conseils pour rendre votre blog rentable et financer vos passions, sur son site Bloguer et Gagner .
Enjeux du marketing digital mardi, 18.11.2014 En effet, nous ne sommes désormais plus de simples consommateurs passifs mais des communicateurs actifs, à la fois intuitifs et rationnels, artisans d’une nouvelle culture plus discursive. Chacun peut participer à la production et à la dissémination de l’information, dans un monde où les réseaux peu structurés d’individus deviennent de puissants créateurs de connaissance et d’action, sans véritable centre. Les individus sont désormais à la fois sources de contenu, de critique et de filtrage. L’objectif de la communication digitale est ainsi de mieux comprendre les utilisateurs en créant de nouvelles communautés numériques. l le «thinker», qui se concentre sur la stratégie, l’analyse de données et de l’univers web et sur l’architecture du modèle de marketing; l le «feeler», qui privilégie le client, ses besoins et ses engagements, et qui interagit de manière active sur les médias sociaux; Ainsi, de manière optimale, nous arrivons à La formule SEM = SEO+SEA+SMO.
La révolution du social learning XEnvoyer cet article par e-mail La révolution du social learning XEnvoyer cet article par e-mailLa révolution du social learning La transmission interne des savoirs remise au goût du jour E-Learning 2.0. Pour Frédéric Domon, directeur de l'agence SociaLearning et co-auteur d'un livre blanc sur le sujet, “le social learning peut être considéré comme le développement des savoirs, des aptitudes et attitudes, par la connexion aux autres – que ce soient des collègues, des mentors ou des experts – via les médias électroniques synchrones ou asynchrones”. L'échange social, facteur d'apprentissage Ces théories éprouvées au service de la formation ont été remises au goût du jour par le développement du Web 2.0 et des réseaux sociaux. L'un des problèmes du e-learning est que bien souvent, les apprenants ne vont pas au bout de leur formation. “Le social learning ne repose pas tant sur le contenu que sur la façon dont on va se connecter aux autres, explique Frédéric Domon. Par Fabien Humbert
Pourquoi les entreprises ont intérêt à développer l'engagement de leurs salariés «Fiers» et «heureux», les salariés qui font le choix de s'engager dans des projets bénévoles portés par leur entreprise y trouvent une réponse à leur quête de sens. Un salarié heureux est un salarié plus productif. Encore faut-il pouvoir le rendre heureux. Les entreprises s'attellent à préserver et renforcer le bien-être de leurs collaborateurs: séminaires atypiques, aménagement de l'espace de travail, semaine de l'innovation... Les projets ne manquent pas. Mais la vraie clé du bien-être pourrait bien se trouver ailleurs, dans une quête de sens à laquelle les entreprises ont parfois du mal à répondre. Certaines ont pourtant fait le choix de promouvoir et encadrer l'engagement de leurs collaborateurs dans des projets sans lien avec leurs missions au sein de l'entreprise. Plus de 80% des quelque 600 salariés interrogés révèlent ainsi qu'ils se sont engagés volontairement dans un projet pour «exprimer des valeurs d'altruisme ou d'humanisme, tournées vers les autres».