
Avec PubliAddict valorisez vos données personnelles ! PubliAddict est une nouvelle plateforme digitale qui connecte les marques et les consommateurs. L’objectif est simple: proposer aux internautes des contenus vidéo parfaitement ciblés en fonction de leurs goûts & des données personnelles qu’ils renseignent. Plus les membres de PubliAddict sont sincères dans la mise à disposition de leurs habitudes et centres d’intérêt, plus la plateforme sera en mesure de leur fournir des publicités qui les intéressent. Chaque donnée que PubliAddict utilise pour fournir à l’internaute le bon contenu au bon moment, lui rapporte de l’argent. Ainsi, la publicité n’est plus une contrainte mais bel et bien un plaisir. Les marques, quant à elles, ont tout simplement la possibilité d’adresser leurs produits uniquement à des clients potentiels. Le fonctionnement de PubliAddict est simple et l’inscription se fait en quelques clics seulement ! Site internet : publi-addict.com Raphael
Bilan 2014 : les données personnelles au cœur du débat public et des préoccupations des Français - CNIL - Commission nationale de l'informatique et des libertés Protéger sa vie privée en ligne : une préoccupation croissante des citoyens En 2014, la CNIL a enregistré environ 5825 plaintes, ce qui correspond à une légère hausse des demandes (+3%). 39% de ces plaintes concernent des problématiques d’e-réputation : suppression de textes, photographies, vidéos, coordonnées, commentaires, faux profils en ligne, la réutilisation de données publiquement accessibles sur internet, etc. Depuis la décision de la Cour de Justice de l’union Européenne en mai 2014, la CNIL a reçu 200 plaintes consécutives à des refus de déréférencement par les moteurs de recherche. En plus d’internet, les autres secteurs concernés par les plaintes sont les suivants : Commerce (16% des plaintes reçues) : radiation de fichiers publicitaires, conservation coordonnées bancaires, fichiers clients, opposition à recevoir des courriels publicitaires ; M. Gestion des ressources humaines Banque Libertés publiques et collectivités locales Le service permet ainsi de répondre :
Données personnelles : les internautes prennent le pouvoir ! L’apogée de la data contrôlée ? Le mystérieux brouillard enveloppant nos données personnelles se lève enfin. À l’ère de la data, savoir où et à qui nos données sont transférées et stockées est une mission qui relève de l’impossible. Inscriptions, préférences de navigations, données sociales, historiques de paiements… toutes nos actions réalisées sur Internet créent de nouvelles données qui ont un prix : elles vous concernent personnellement et constituent pour les marques une source d’analyse de premier choix. Les temps ont changé : les internautes sont aujourd’hui conscients de la valeur de leurs données personnelles. Un sondage récent indique que les Français sont conscients des enjeux liés à l’exploitation de leurs données personnelles. 45% des interrogés sont d’ailleurs prêts à monétiser leurs données, 30% d’entre eux allant jusqu’à déclarer que pour 500€, ils accepteraient de donner accès à leurs données pendant 1 an. Data-selling : entre arnaques et innovations
E-commerce : le risque de pertes de données clients s’intensifie en Europe - JDN L’engouement pour l’achat en ligne croît chaque année , sans que le risque de se voir voler ses informations personnelles et bancaires ne diminue pour autant. Dans ce contexte, les e-commerçants sont de plus en plus nombreux à solliciter leur assureur pour étendre leur couverture aux pertes de données en ligne. Le dark web se nourrit de données personnelles, plus nombreuses chaque année… Les dernières statistiques relatives aux données personnelles identifiées sur le dark web attestent de l’ampleur du phénomène. Dans ce marché de la donnée, les revendeurs occupent une cible de premier choix. Le piratage de données augmente année après année. … non sans répercussion sur la santé économique d’une entreprise A l’abri - pour l’instant - d’une réglementation sur la protection des données informatiques personnelles, les entreprises européennes s’exposent malgré tout à de graves répercussions sur leur réputation et la viabilité de leur activité en cas de violation des données de leurs clients.
E-commerce : quels sites ne protègent pas vos données personnelles ? es sites internet de vente en ligne français se montrent encore très majoritairement imprudents (70%) quant à la protection des données personnelles des consommateurs, notamment concernant la gestion des mots de passe rattachés aux comptes de ces derniers, relève jeudi une étude de Dashlane, société spécialisée dans la sécurisation informatique des comptes clients. Pour établir ce classement, 12 critères de sécurité et 24 processus de gestion des mots de passe ont été étudiés à travers 100 sites de e-commerce français. 87% des acteurs e-commerce acceptent encore des mots de passe "basiques genre 123456" L'étude montre que seuls 30% des sites étudiés ont réellement mis en oeuvre une politique "responsable afin de minimiser les risques de vol ou d'utilisation frauduleuse des données personnelles: usurpation, fraude à la carte bancaire, etc". Etam, Decathlon ou Boulanger parmi les mauvais élèves
Les Français prêts à monnayer leurs données personnelles Ils savent que la collecte d'informations est permanente sur Internet. Certains laisseraient volontiers des marques les pister au quotidien s'ils sont dédommagés à hauteur de 500 euros par an. Il ne sert à rien de chercher à duper les Français sur la collecte de leurs données personnelles par Internet. Ils sont 84 % à se déclarer inquiets de l'usage qui peut en être fait et se débrouillent pour mettre en place des garde-fous: utilisation de pseudos (45 %), de multiples adresses de courrier électronique, navigation réduite aux sites Internet les plus connus. Les Français ne réagissent néanmoins pas tous de la même manière face à la captation de leurs informations personnelles. À l'autre bout, les «data natives», de 15 à 24 ans, ont grandi avec Internet et se montrent plus détendus. Les internautes français, même parmi les plus inquiets, entretiennent toutefois un rapport paradoxal avec leurs données personnelles.