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L’importance de la veille dans une stratégie d’e-réputation

L’importance de la veille dans une stratégie d’e-réputation
L’e-réputation est un sujet qui commence à être connu même s’il subsiste encore beaucoup d’ombres. Un amalgame de communication, de web, de likes, de tweets, et puis des clients. Mais il y a encore un sujet qui passe à la trappe : la veille. Or, il est pertinent de chercher à développer l’image de sa société sur internet, cependant il faut aussi avoir les éléments pour maitriser les informations qui se disséminent. Pourquoi faire de la veille ? Le web, c’est l’avènement des frontières, une démultiplication des supports et une propagation rapide de l’information. Des chiffres vertigineux qui doivent vous faire comprendre l’ampleur des échanges sur le web. Il faut comprendre que la veille est bien là pour capter l’information vous concernant néanmoins elle est aussi là pour vous donner des signaux faibles. 3 axes stratégiques peuvent être envisagés dans le cadre d’une prestation d’e-réputation : Mesurer et gérer son e-réputation : Cet objectif revête trois notions : 1. 2. 3. 1. 2. 3. 1. 2. Related:  E-REPUTATION

Social Media Landscape 2017 When I published the first version of my Social Media Landscape in 2008, I was far from expected to see them overtake the web and shift the balance of power. And yet, here we are, 10 years laters with social platforms reigning supreme on the digital world. If the landscape hasn’t changed much since last year, advertisers still struggle to adapt / conform to the mobile-first paradigm. With this post, I invite you to reflect on the last trends and practices. Si vous cherchez la version française, elle est ici : Panorama des médias sociaux 2017. Facebook won (for real) If I had small doubts last year about Facebook’s supremacy, the picture is much more clear today: Facebook is the dominant media of the 21th century. Google and Twitter remain the two other main pillar of the social ecosystem Numerous services and few local particularities Social media is a very dense ecosystem of online services gravitating around Facebook, Google and Twitter. All these services are sorted depending on usage:

e-réputation : définition de l'ereputation L’e-réputation, une définition : L’e-réputation est la perception qu’ont les internautes de votre entreprise, de votre marque ou de vos employés. Voir aussi: l’e-réputation en 2014 L’e-réputation est une représentation que les internautes vont se constituer en fonction des flux d’informations qu’ils rencontrent sur le net. Ces informations sont produites par l’organisation elle-même mais aussi par les acteurs de son environnement économique proche: par ses salariés, ses fournisseurs, ses concurrents, ses clients, … et par toute une écosphère réputationnelle. Cette dernière est constituée par des blogueurs, des journalistes, des internautes “lambda” qui s’expriment sur de nombreux canaux du net (Twitter, médias participatif, réseaux sociaux, forums, plate-formes how-to, avis consommateurs, blogs,…).Les contributeurs à l’e-réputation appartiennent ou pas à l’environnement économique proche de l’entité ciblée. > Voir aussi :

Une histoire de deux roues Dolores Park, San Francisco, dimanche 12 septembre 2004. Les citadins profitaient des derniers rayons de soleil qui illuminaient les tours du Financial District. Parmi eux, deux jeunes hommes discutaient. — Ils m’ont piqué les roues du vélo, dit Chris Brennan . — Tu avais des cadenas Kryptonite ? Chris acquiesça. — On peut les forcer avec un Bic ! Chris éclata de rire mais, une fois rentré chez lui, dans son appartement encombré de BD, de vinyles vintages et de carcasses d’ordinateurs, il déboucha un stylo et introduisit le tube en plastique dans la serrure circulaire d’un cadenas. Chris n’en croyait pas ses yeux. Quand j’y enfonce un stylo de 5 cents et l’ouvre, je ressens un profond sentiment de trahison. Immédiatement, les visiteurs du forum commencèrent à discuter. Le 22 septembre, Kryptonite accepta d’échanger tous ses produits défectueux. Nous n’avons pas besoin d’être une star ou une vedette politique pour nous faire entendre.

Bad Buzz de 2017: ce qu'il faut en retenir Ils sont responsables de la grande majorité des bad buzz, et pourtant, peu parviennent encore à les gérer. Ils, ce sont les départements communication et marketing (36%) qui ont été à l'origine, de, respectivement 46% et 36% des phénomènes viraux négatifs. C'est ce qui ressort du décryptage des crises 2017 mené conjointement par Visibrain et Nicolas Vanderbiest. Sur le fond, ces bad buzz concernent les inégalités, notamment (sans surprise) le sexisme qui a démarré un quart d'entre eux. Dans le même ordre d'idées, lorsque Cyril Hanouna piège, dans "Touche Pas à Mon Poste", plusieurs personnes homosexuelles lors d'une radio-libre, près de 500 000 messages sont publiés en une semaine, des sponsors rompent leur contrat et l'émission écope d'une amende de 3 millions d'euros. Sur la forme maintenant, Twitter s'impose comme le canal de référence: 67% des crises sont commentées sur Twitter, soit une hausse de 12% par rapport à 2016.

Définir une stratégie de veille et de gestion de son eReputation Avec la montée en puissance des réseaux sociaux et l’évolution des tendances participatives sur internet, les prises de paroles se multiplient en faveur ou à l’encontre d’une marque, d’un produit, etc. L’eReputation devient un axe primordial à prendre en compte dans l’optimisation de toute stratégie de communication et de promotion. L’impact de l’identité numérique sur la perception de son image et son message ne peut plus être ignoré. Assurer la veille de son eReputation est indispensable. C’est en utilisant les canaux privilégiés des internautes qu’une marque pourra gérer sa eRéputation et pourra créer ce lien affinitaire tant recherché, en assurant sa visibilité et en valorisant sa communication. L’impact d’une e-reputation négative est multiple. Phase 1 : Faire l’état des lieux Evaluer ce qui se dit sur sa marque, ses produits ou services, ses dirigeants,…en privilégiant les canaux à forte audience. Les outils de veille : Les outils génériques: Google Alert, Alerti, Mention,…

10 outil gratuits pour gérer son e-réputation d'entreprise Une bonne gestion de son e-réputation est devenue indispensable pour les entreprises, d’autant plus avec l’ampleur prise par les réseaux sociaux dans l’utilisation quotidienne du public. Une publication d’un client mécontent sur Facebook ou Twitter peut avoir des répercussions très négatives pour une entreprise ! Après vous avoir présenté les 7 principaux outils de veille concurrentielle, je vous propose de voir ensemble les 10 outils gratuits gratuits de gestion de votre e-réputation d’entreprise. 1. Mention fait partie des outils de gestion de l’e-réputation les plus performants avec son système d’alertes par mots clés sur le web et les réseaux sociaux. Accéder à Mention 2. Si vous utilisez Slack dans votre entreprise, vous allez adorer Notify.ly ! Accéder à Notify.ly 3. Google Alertes est un outil gratuit de notification par email dès qu’un article ou un page d’un site web parle d’un mot clé est publié. Accéder à Google Alertes 4. Accéder à Hootsuite 5. Accéder à The Brand Grader 6. 7.

Top 10 des plus gros bad buzz de 2017, ceux qui auraient mieux fait de se taire Cette année comme tous les ans, des gens ont fait des trucs bien et d’autres ont fait des trucs moyen moyen. Et souvent, quand on fait un truc moyen moyen publiquement, on s’attire les foudres du public : c’est le bad buzz. C’est la déferlante bad buzz, les messages outrés, les messages dégoûtés, les messages indignés, les excuses publiques puis un nouveau bad buzz. 1. Accusé une première fois pour un harcèlement survenu dans les années 80, Kevin Spacey décide de publier une lettre pour présenter ses excuses : outre le fait qu’il assure ne pas se souvenir des faits, il en profite pour révéler son homosexualité, créant une confusion zarbi entre homosexualité et harcèlement qui fait hurler la communauté LGBT (et pas que). 2. Une risée absolue sur les réseaux sociaux. 3. Gros bad buzz pour Bad Buzz qui a eu des critiques catastrophiques et quasiment aucun spectateurs. 4. 5. 6. 7. Je pense que ce tweet se passe de commentaires, même s’il en a déclenché des milliers. Bonjour les amis ! 8. 9.

Comment surveiller et analyser l'e-réputation de vos marques : 20 Bonnes pratiques - part 1: parties prenantes et drivers - Digimind Blog Comment analyser mon e-réputation ? Quels facteurs et acteurs prendre en compte ? Mon spectre de surveillance est-il exhaustif ? Comment réagir à ce petit bad buzz ? Certaines de ces bonnes pratiques ont été exposées en conférence lors de l’Influence Day 2016 à Paris. Depuis 2007 et son développement dans les organisations, la gestion de l’e-réputation a beaucoup évolué, ne serait-ce que par la prise en compte de nouveaux canaux d’expression des internautes. 1.Décrivez et structurez le process de gestion de votre réputation La gestion de l’e-réputation englobe de nombreux facteurs (drivers), de parties prenantes et surtout d’acteurs impliqués dans votre organisation. 2.Cartographiez les parties prenantes de votre e-réputation 3.Evaluez les actions réelles et potentielles des parties prenantes Une fois cartographiées, il est utile de pondérer l’importance de ces parties prenantes en fonction de certains critères comme le potentiel d’impact (fort, moyen, faible / ponctuel, durable).

9 outils pour surveiller et travailler son eRéputation ! Gérer sa réputation sur Internet est devenu indispensable, que l’on soit une entreprise ou un particulier. Pour une entreprise, c’est essentiel, car de plus en plus de clients se renseignent sur internet avant d’acheter, et les avis qu’ils y trouvent influencent grandement leurs achats (en effet le discours des marques est de moins en moins considéré comme crédible par les consommateurs). Selon une enquête menée par PageJaunes.fr, 1 personne sur 2 est influencée par les avis postés sur le web : Pour un particulier ou un consultant, paraît désormais impensable pour quiconque cherche à obtenir un rendez-vous professionnel, un emploi… de laisser traîner sur son profil facebook la photo de sa dernière beuverie. Il devient donc indispensable de suivre un minimum son eRéputation… Partie 1 – Faire un bilan de son eRéputation ! 1 – Le minimum vital : faire un mini audit sur Google ! Que l’on soit un particulier ou une entreprise, il faut déjà faire un bilan de son eRéputation… A noter : En conclusion…

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