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Le Dessous des Cartes L'ISLAM EN CONFLIT (1/2) HD

Le Dessous des Cartes L'ISLAM EN CONFLIT (1/2) HD

L’enjeu - Investig’Action 8 décembre 2015 Article en PDF : Milosevic doit partir ! Saddam doit partir ! Ce qui manque à la télé, c’est un rétroviseur. Regarder en arrière permet souvent de recadrer une vision d’ensemble et de mieux comprendre ce qui arrive (d’en face !). Exemple : 2011, les printemps arabes éclatent comme des grenades mûres dans une série de pays musulmans – Tunisie, Égypte, Libye, Syrie, Bahreïn, Yémen – annonciateurs d’épanouissement et de prospérité. En Syrie, « les piliers de l’OTAN » – US, UK, Fr – se rangent dès le début aux côtés des insurgés qui protestent « pacifiquement » contre les réformes insuffisantes de leur gouvernement en tirant sur les forces de l’ordre et l’armée depuis des 4x4 équipés de mitrailleuses lourdes, identiques à ceux qui ont « libéré » la Libye, forts du soutien musclé de l’OTAN. Officiellement, nous sommes simplement favorables au renversement de Bachar al-Assad parce qu’il bombarde son propre pays et son propre peuple. Mercenaires Ailleurs, d’autres font le ménage.

Que dit le Coran et que ne dit-il pas sur la violence? Faut-il réduire l’Etat islamique (Daesh) à un gang de criminels mafieux qui n’a rien à voir avec l‘islam? Ce qualificatif le plus souvent appliqué, y compris par les musulmans modérés, aux auteurs des exactions commises à la frontière syro-irakienne et, depuis l’exécution d’Hervé Gourdel, jusqu’en Algérie, correspond sans doute à la plus exacte réalité. Elle ne peut pourtant pas faire l’économie d’une réflexion sur la violence et le sacré dans l’islam. Certes, l’amalgame souvent fait entre islamisme et islam, entre djihadisme et impératif sacré, est condamnable. Déjà, au XIXe siècle, Alexis de Tocqueville admettait ceci: «L’islam est un progrès sur le polythéisme parce qu’il embrasse d’une vue plus étendue et plus claire certains devoirs généraux de l’humanité.» Tocqueville n’a rien d’un extrémiste et, exemples historiques et actuels à la clé, on est obligé de se conformer à son jugement. «Ne détruisez pas la vie que Dieu a rendu sacrée» «Légitime défense proportionnée»

Un demi-siècle de conflit à Jérusalem expliqué en cinq minutes Michel Collon : « Eh, Zemmour, je vis à Molenbeek ! Et toi ? » 17 novembre 2015 Article en PDF : Désolé pour le tutoiement, mais le respect, ça se mérite. Or, tu viens de proposer de « bombarder Molenbeek ». Avant de mourir, puis-je te poser deux ou trois questions qui me tracassent ? Tu sais, comme celles de tes potes de l’armée US, dont les missiles et les drones tuent chaque jour des enfants, des femmes et des vieux en Afghanistan et ailleurs. Ensuite, peux-tu me dire où tu habites afin que nous soyons sur pied d’égalité ? Enfin, puisque tu sembles avoir des missiles en trop, ne penses-tu pas qu’il faudrait – dans ta logique – prendre pour cibles ceux qui ont armé, financé et acheminé vers la Syrie les terroristes dont certains sont maintenant revenus commettre les mêmes atrocités en France ? Je vais t’aider. Ah oui, en passant, Eric, j’aimerais te dire que Molenbeek est une commune très chouette à vivre, les gens y sont très chaleureux, bien sûr il y a quelques brebis galeuses (à Monaco, aussi, tu ne crois pas ?). Où tu veux, quand tu veux.

FILM: Im Sog der Salafisten - Paris und kein Ende Aus welchen Gründen radikalisieren sich junge Menschen, die in Europa aufgewachsen sind, im Sinne der salafistischen Ideologie? Warum entwicklen viele sogar die Bereitschaft, ihren Glauben mit Gewalt innerhalb Europas zu vertreten oder salafistische Gruppierungen im Ausland bei militärischen Konflikten zu unterstützen – insbesondere den "Islamischen Staat" in Syrien und Irak? Am Rande eine Einordnung des salafistischen Glaubens in die Theologie und Geschichte des Islams sucht der Film nach Antworten auf diese und weitere Fragen: Sind Salafisten überhaupt Muslime? Die Dokumentation verbindet unterschiedliche Perspektiven: Auf der einen Seite analysieren Islamwissenschaftler, Terrorismusexperten und Kriminologen, der Präsident des Bundesverfassungsschutzes, Hans-Georg Maassen, ebenso wie Vertreter von muslimischen Gemeinden in Österreich und Großbritannien, die der salafistischen Bewegung kritisch gegenüber stehen, die Bewegung des Salafismus.

Qui se bat contre qui en Syrie ? INFOGRAPHIE - Par ses actions spectaculaires, l'Etat islamique s'impose médiatiquement comme le principal opposant au régime de Damas. En réalité, l'opposition est bien plus diverse et complexe. En quatre ans de conflit, Bachar el-Assad a réussi à liguer contre son régime une myriade de groupes armés aux intérêts parfois opposés, mais qui se retrouvent tous dans leur volonté de le faire tomber. Depuis la conquête spectaculaire de Raqqa par Jabhat al-Nusra en mars 2013, jusqu'à la prise de Palmyre en mai 2015, l'Etat islamique accapare l'attention médiatique par ses coups d'éclats et ses exactions. L'Etat islamique Le groupe Etat islamique est issu en 2006 de la rébellion sunnite irakienne contre l'invasion américaine de 2003. Al-Nosra Le front al-Nosra est le seul groupe armé officiellement affilié à al-Qaïda. Le Front islamique Formée fin 2013, cette coalition hétéroclite rassemble plusieurs groupes rebelles aux objectifs propres. L'Armée syrienne libre (ASL) Les Kurdes du YPG

Daech expliqué en sept minutes Tandis que les récits des exactions perpétrées par l'organisation de l'Etat Islamique (Ei, ou Daech, son acronyme arabe) s'ajoutent les unes aux autres, jour après jour, peut-être avions nous besoin d'un peu de recontextualisation. LeMonde.fr a produit dans ce but une courte vidéo de sept minutes pour faire le point sur ce qu'est Daech, d'où vient cette organisation terroriste, où elle en est et quels sont les rapports de force dans la région. L'approche est aussi économique, religieuse et étayée par de nombreuses cartes. Pratique. Comprendre la domination de l'Etat islamique en sept minutes, par Le Monde :

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