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La Génération Z bouscule le monde de l’entreprise… et l’école

La Génération Z bouscule le monde de l’entreprise… et l’école
Suite au Dossier de veille sur la jeunesse, nous avons été sollicité pour un point particulier du dossier, à savoir les questions que pose l’arrivée des jeunes dans le monde de l’entreprise. Ces jeunes de moins de 20 ans, appelés par certains la Génération Z, semblent remettre en cause les fonctionnements “traditionnels” de l’entreprise et de la formation (alternance, apprentissage, etc.). Si la question est posée par les acteurs de la formation professionnelle, elle fait néanmoins écho aux questions d’ordre pédagogique soulevées par le rapport des jeunes aux apprentissages, au savoir, le tout avec en arrière plan les pratiques et usages numériques des jeunes. Qu’est-ce que la Génération Z ? Il y a peu de littérature scientifique sur la question. Éric Delcroix consacre un blog à la Génération Z. La Génération Z concerne les jeunes nés après 1995. La Génération Z arrive sur le marché du travail Pour aller plus loin : Related:  MAN 44 - Comment le numérique transforme l'entreprise et le managementveille étude de marché

Le management du futur ? | Interface  Les formes d’organisation des entreprises et des administrations sont aujourd’hui confrontées à des mutations profondes, voire à des remises en causes radicales, que les modèles managériaux d’hier ne permettent plus de penser et d’accompagner. Plutôt que de chercher la solution idéale mais en s’appuyant sur son expérience dans l’accompagnement des organisations, Interface vous propose d’imaginer le futur pour repenser le management. Voici nos pistes d’évolution et les questions que nous développons pour penser le management de demain: Du vertical à l’horizontal ? Comment passer du modèle pyramidal au management en réseau ?Du réel au virtuel ? Depuis près de 30 ans, Interface déploie ses compétences en ingénierie de formation et d’accompagnement tout en remettant en cause régulièrement ses modèles et ses outils. Forts de cet état d’esprit et de cette pratique, nous pouvons vous proposer de travailler sur votre management de plusieurs façons: -En combinant des moyens pluriels d’apprentissage,

Les quinze tendances du marketing de demain - L'Express L'Expansion Data, connaissance-client... Toujours mieux (re)cibler 1. La Big Data va prendre de l'ampleur On en parle beaucoup, mais on ne voit rien venir? 2. Le principe ? 3. ... et les messages doivent être de plus en plus personnalisés La publicité programmatique va considérablement changer les façons de faire des annonçeurs, comme le souligne Marco Tinelli, président de Fullsix: "Les économies réalisées sur l'achat média vont devoir être en partie réinvesties dans la création. 4. Tendance-phare depuis déjà plusieurs saisons, qui explique entre autres le succès de Criteo, le retargeting va se diffuser au-delà du champ digital. 5. Le Web a beau être "worldwide", l'internaute, lui, est local. 6. ... et gagne en agilité Le temps réel, c'est le nouveau Graal des annonceurs. Mobilité : une contrainte, et un gisement d'informations 7. Les chiffres sont là : environ un tiers du trafic internet se fait via un appareil mobile. 8. ... et les objets connectés dépassent le stade du gadget 30, 50, 80 ? 9. 10.

Le salariat est-il encore l'avenir de l'homme Emission présentée par Olivia Gesbert Tous les ans le 1er mai, le travail se fête. Quand on en a bien sûr. Il y a peu le Conseil d’orientation pour l’emploi a publié un rapport sur l’évolution des formes d’emplois en France. Bernard Friot, Eric Verhaeghe et Danièle Linhart MB © Radio France Une étude qui interroge à la fois notre rapport au travail, les évolutions de l’emploi, le rôle de l’Etat et des politiques publiques. Signe des temps, certains en viennent à prédire « la fin du salariat ». Le salariat est mort, mais vive... quoi ? Suivez-nous aussi sur:

Comment le Made in France est perçu à l'étranger - L'Express L'Expansion Les secteurs d'activité sur lesquels nous sommes champions à l'export? En 2014, on retrouve sur le podium les mêmes inamovibles: aéronautique (23,6 milliards d'euros d'excédent commercial), chimie-parfum-cosmétique (10,8) et agriculture (9,2). L'armement, avec 8 milliards d'euros de vente en 2014, une quatrième place mondiale et 17,3% de hausse en un an, suit de près. Ingénierie de pointe, luxe, alimentation: trois ingrédients qui devraient logiquement contribuer à l'image de la France sur les marchés étrangers. Ce n'est pas si simple. Le secteur du luxe, marqueur du "made in France" Car c'est avant tout le luxe qui constitue un marqueur. Dans une étude réalisée en 2013 par la Direction générale des Entreprises sur les valeurs associées au "fabriqué en France", les consommateurs étrangers plébiscitent les "produits hédoniques" comme le luxe, la mode ou la gastronomie, y voyant "la garantie d'un esthétisme, d'une originalité, d'un style". "Innovant n'est pas français"

France Stratégie | Organisme de réflexion, d’expertise et de conseils placés auprès du premier Ministre : évaluer, anticiper, débattre, proposer La donnée, enjeu n°1 pour les marketeurs du monde entier Commanditée par Teradata Marketing Applications, l'étude(1) intitulée Enquête Teradata sur le marketing axé sur les données 2015, montre que la donnée est vue par les marketeurs comme le socle de toute stratégie marketing.. Particulièrement riche en informations, l'étude démontre une évolution majeure dans la perception des données par les professionnels du marketing. " L'enseignement clé de cette enquête, indique Thierry Teisseire, qui vient de prendre la direction de Teradata Marketing Applications, c'est la dimension opérationnelle que prend la donnée au sein de l'entreprise ". Ainsi, près de 90% des professionnels interrogés considèrent que le marketing individualisé est une priorité. Pour 38% d'entre eux, le principal défi consiste à améliorer l'acquisition et la fidélisation de la clientèle. Le second défi cité est de soutenir les objectifs d'entreprise (29%), juste avant le respect de la réglementation, qui arrive en troisième position (26%).

Du big data au smart data XEnvoyer cet article par e-mail Du big data au smart data XEnvoyer cet article par e-mailDu big data au smart data e-marketing La donnée consommateur au coeur de la transformation de l’entreprise L’expression “big data” ferait presque fuir tant elle est utilisée à tort et à travers. Usée jusqu’à la corde sans avoir vraiment été beaucoup utilisée : l’expression-valise “big data” ne doit cependant pas dissimuler ses enjeux grands formats : une rupture obligée avec les classiques modèles économiques de nombre d’entreprises. Certes, jusqu’à présent les discours et autres rapports annuels ont abondamment précédé la mise en œuvre. L’exploitation du déluge informationnel En effet, l’exploitation de ces fameuses données, en temps accéléré, impacte simultanément la plupart des grandes fonctions : commerciales, marketing mais aussi conception, R&R, production, logistique, dont l’organisation actuelle en silo peu partageur va bien vite apparaître comme un archaïsme. Les 4 facteurs de la rupture...

Consommation en GMS : pas de frénésie d'achats en décembre Après un mois de novembre spécialement difficile, avec un budget en recule de 6% par rapport à novembre 2013, le baromètre (1) MarketingScan montre que la consommation des ménages en grandes et moyennes surfaces repart à la hausse en décembre. Sur la période, les foyers ont dépensé 422 €, ce qui représente une augmentation du budget moyen mensuel de 3% par rapport à décembre 2013. Plus de visites, mais un panier stable Cette croissance des dépenses est principalement soutenue par la progression de la fréquence de visites (+2,48%). Le panier moyen reste d'ailleurs quasiment stable sur la période (+0,24%) : les volumes sont à la hausse (+0,91%) mais le prix moyen par article continue de baisser (-0,68%). Aucune frénésie consumériste en cette fin d'année donc, malgré les fêtes. Bilan 2014 : moins pessimiste que prévu Au final, le bilan de l'année 2014 contraste avec les prévisions très pessimistes des principaux acteurs. (1) Méthodologie du baromètre MarketingScan :

Google, Uber, Amazon: comment la disruption transforme des industries entières De Google à Uber et Facebook, une forme d’innovation dite disruptive change les règles du jeu. Cette nouvelle organisation du travail crée de nouveaux marchés pour le consommateur, casse les prix, et change l’expérience client Facebook promet d’offrir la possibilité d’un transfert d’argent par son application Messenger. Est-ce le vrai démarrage du paiement de personne à personne? Kodak, l’ex-leader de la photo, a-t-il jamais imaginé être presque anéanti par la téléphonie mobile? Les origines de la rupture Cette innovation porte un nom, celui de «disruption». En général, l’innovation est classée en deux types, celle d’accélération et celle de disruption, selon Cyril Bouquet. La deuxième catégorie d’innovation est celle de la disruption. Attention de ne pas mélanger les concepts. Elimination des acteurs historiques Les syndicats refusent souvent de quitter le statu quo et demandent une protection. L’élément symbolique est très fort. Ne pas être «surpris par la surprise»

SOLDES - Les 7 astuces du neuromarketing pour vous faire craquer - L'Express Styles 1. La "magie" du chiffre 9 En période de soldes, voir un article passer de 13€ à 10,99€ paraît beaucoup plus intéressant que s'il était proposé à 11€, alors même qu'il n'y a qu'un petit centime d'écart. Surprenant? Pas pour les neuromarketeurs, qui connaissent le pouvoir du chiffre 9. Chercheur en sciences du comportement à l'université Bretagne Sud, Nicolas Guéguen décrypte ce comportement dans l'un de ses ouvrages destiné au grand public, La psychologie du consommateur (Dunod). 2. Voyant un client hésiter à acheter une écharpe, un vendeur peut lui expliquer que, pour le même prix, le magasin offre le bonnet et les gants assortis. Proposer un article en plus, comme si ce n'était pas prévu, donne au consommateur le sentiment de faire une bonne affaire... alors que tout ceci est orchestré par la stratégie marketing de l'enseigne. 3. Des études montrent que certains styles musicaux placent le client dans de bonnes dispositions pour faire des achats. 4. 5. 6. 7.

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