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@ddict : le premier MOOC sur l'addiction au numérique

@ddict : le premier MOOC sur l'addiction au numérique
L’université de Nantes, en collaboration avec le CHU de la ville, a lancé le 22 décembre 2014 le premier MOOC sur l’addiction au numérique. Explications avec Didier Acier, professeur de psychologie clinique et coordinateur du MOOC. Didier Acier Comment est née l’idée de lancer un MOOC sur l’addiction au numérique ? Il s’agit d’un travail commun du Laboratoire de Psychologie des Pays de la Loire et du CHU de Nantes, initié il y a deux ans, avec la participation de plusieurs chercheurs de sociologie, de psychiatrie, d’informatique et de psychologie. Quel est son objectif ? Il ne s’agit pas d’un MOOC traditionnel, dans le sens où ce n’est pas un cours donné par un professeur à des étudiants. A qui s’adresse le cours ? A partir de quand est-on considéré comme « drogué » du numérique ? Il est très difficile de répondre de manière affirmative. Quel est le bon usage d’Internet aujourd’hui ? Nous allons en débattre dans le cadre du MOOC justement. Charles Centofanti

la cyberdépendance - Paroles de femmes ................"Le portrait type de la personne cyberdépendante a évolué depuis quelques années. Autrefois on pouvait reconnaître majoritairement des hommes âgés de 25 à 35 ans, scolarisés, financièrement capables de se doter d'un ordinateur assez dispendieux et qui passaient un nombre incalculable d'heures devant l'écran de leur appareil. Maintenant, il semble y avoir une certaine parité entre les hommes et les femmes. La démarche des deux sexes, vis-à-vis d'Internet et de son utilisation, est cependant très différente. La dépendance affective et la compulsion dans le sexe semblent être les deux principaux moteurs qui nourrissent la cyberdépendance. Le phénomène du day trading est aussi en recrudescence. Mais si Internet était, principalement, une grosse agence de rencontre ? L'individu cyberdépendant s'isole graduellement, néglige ses amis, son conjoint ou sa famille : il développe un comportement compulsif. M. La personne cyberdépendante est souvent dans le déni.

Stress numérique Le stress numérique est la conséquence de l’amplification des mécanismes de stress chez les personnes par un environnement où les technologies numériques sont omniprésentes. Par exemple, en France, le nombre de cartes SIM actives, soit 80 millions[1], dépasse le nombre de Français, soit 66 millions. De plus, au moins trois réseaux sont simultanément disponibles pour plus de 99 % de la population. Cette expression identifie des conséquences du nouveau paradigme psychosocial amené par les technologies numériques, auquel est associé le caractère addictif du numérique[2]. En France, le stress numérique concerne près d'un salarié sur trois[3]. Du stress au syndrome d'épuisement professionnel[4] et d'usages libres aux dépendances numériques, les enjeux sont multiples. Numérique : nouveau paradigme et nouvelles dimensions, nouveaux risques[modifier | modifier le code] Un nouveau paradigme et de nouvelles dimensions[modifier | modifier le code] Stress et numérique[modifier | modifier le code]

Le gouvernement va lancer une étude sur l’addiction des jeunes aux écrans Alors que le nombre d’écrans équipant les foyers français ne cesse d'augmenter (ordinateurs, smartphones, tablettes,...) le ministère de la Jeunesse et des sports vient d’annoncer qu’une étude allait être menée par des experts des sciences neurologiques et des sciences sociales au sujet des « conduites addictives aux médias numériques de l'enfant et de l'adolescent ». Même si aucun calendrier n’est évoqué, l’exécutif songe déjà à la mise en place d’un programme de prévention afin de lutter contre l'excès de temps passé devant les écrans. Interrogée par un député au sujet du développement des addictions chez les jeunes, la ministre de la Jeunesse et des sports a annoncé cette semaine l’organisation prochaine « d'une étude portant sur les conduites addictives aux médias numériques de l'enfant et de l'adolescent ». « Une étude institutionnelle sera conduite avec l'appui d'experts des sciences neurologiques et des sciences sociales.

Cyberdépendance(s) - Tous addicts ? Les opinions et vues exposées dans les articles lecteurs ne reflètent pas forcément celles de la rédaction de Gameblog. C'est en lisant une news en une de Gameblog intitulée "Accro à Internet ? Vous pouvez désormais vous faire soigner" (03/09/13) que je me suis souvenu avoir écrit un article traitant de la cyberdépendance. Hors du champ strict des JV, je me permets malgré tout de le publier ici. Bonne lecture ! Selon une évaluation datant du mois d'août 2012, plus de 2,5 milliards de personnes à travers le monde sont connectées à Internet. En Belgique (et oui, je suis belge et donc mon travail portait sur les chiffres de ce territoire), on recense à l'heure actuelle plus de 2.892.226 foyers (20.959.000 pour la France en 2013) possédant une liaison au web (contre 2.833.714 en 2011, pour la France, 18.909.000 en 2011). Vanessa Lalo est psychologue clinicienne chercheuse, spécialisée dans les nouveaux médias numériques. Types de cyberdépendance Conclusion Etes-vous cyberdépendant ? 1. 2. 3.

Question n°32169 Texte de la question M. Marc Le Fur attire l'attention de M. le ministre du travail, de l'emploi, de la formation professionnelle et du dialogue social sur les risques santé au travail développés par des comportements numériques addictifs. « La position assise que nos ordinateurs ou tablettes nous entraînent à adopter [...] augmente de moitié le risque de mourir prématurément » résume l'étude menée sur 800 000 personnes par les universités de Leicester et Loughborough publiée par Huffingtonpost le 29 mai 2013). Elle précise que « pour les seules maladies cardiovasculaires les risques sont multipliés par 2 et pour le diabète de type 2 par 2,5 ». Selon le cancérologue français Thierry Bouillet, une activité physique adaptée nous « permet de diminuer de 50 % le risque de rechute chez des patients atteints du cancer du sein, du côlon et de la prostate ». Texte de la réponse

Notes Ecrans : les effets pervers d’une fascination L’affirmation est surprenante : Steve Jobs (1955-2011) limitait le temps passé devant les écrans pour ses enfants, révèle un article paru dans le New York Times le 10 septembre. Le journaliste Nick Bilton, qui avait recueilli en 2010 cette confidence du patron d’Apple, a voulu en savoir plus. Il a donc interrogé d’autres dirigeants de la Silicon Valley, et appris qu’ils font de même. L’information a de quoi étonner, tant les écrans font désormais partie de l’environnement. Depuis la généralisation du petit écran, la question de son impact sur la santé ­physique et mentale des enfants et adolescents est posée. Definition - La Dépendance Numérique Il faut différencier deux types de dépendances : celle liée à l’outil lui-même, qui est la cause de l’addiction à travers les chats, les blogs, les réseaux sociaux (Facebook, Twitter…), les jeux vidéos en ligne, les jeux de rôle, et la recherche d’information. Et celle qui est liée aux opportunités offertes par internet, le support de la dépendance: sites sexuels et pornographiques, sites d’achats et d’enchères, et sites de jeux de hasard et d’argent (casinos en ligne, Française des jeux…). Décomposons cette expression en deux: Dépendance : qui repose sur une envie répétée et irrépressible, en dépit de la motivation et des efforts du sujet pour s'y soustraire.

Bonjour,
Je n'avais pas connaissance de l'existence de MOOC sur le sujet et encore moins d'un MOOC collaboratif.
Très instructif, merci !
Cordialement, by freret_groupec_psy Feb 18

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