Psychologie multidimensionnelle évolutionnaire Q – Instinctivement, dès son jeune âge, le jeune ego a besoin d’être reconnu au sein de son milieu, de ses parents, etc. Est-ce que c’est une des conditions essentielles à sa survie ? Deuxième point, lorsque l’égo ne se sent pas reconnu, il est, si je saisis bien, très tôt confronté à la responsabilité de sa propre survie. Est-ce alors qu’il développe davantage son intellect, si j’ai bien compris ce que tu m’as expliqué ? L’individu réagit toujours en fonction de son besoin d’identité. L’ego qui se sent rejeté par les évènements manifestés dans son environnement doit constamment justifier ses réactions. De tout temps, l’intellect s’est développé à travers le besoin de l’individu à justifier ses réactions aux évènements qui génèrent ses émotions. L’ego s’identifie à ses ressentis parce qu’il ne voit pas de disjonction de fait entre l’évènement et la programmation. Ce lapsus oculaire (« Blind spot ») est ce qui crée et maintient sa condition involutive inférieure. Charles Sabourin © 2010
Psychologie de la forme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La théorie gestaltiste a été proposée au début du XXe siècle, notamment par Christian von Ehrenfels, et se base sur plusieurs postulats. Premièrement, les activités psychiques ont lieu dans un système complexe et ouvert, dans lequel chaque système partiel est déterminé par sa relation à ses méta-systèmes. Deuxièmement, un système est conçu dans la théorie gestaltiste comme une unité dynamique définie par les relations entre ses éléments psychologiques. Troisièmement, et cela à la suite de certains amendements théoriques sur le dynamisme mental, on postule qu'un système montre la tendance vers une harmonie entre toutes ses qualités pour permettre une perception ou conception concise et claire, la « bonne forme »[1]. Histoire de la théorie gestaltiste[modifier | modifier le code] « L'arbre pensé » sans les racines. On trouve son origine dans quelques idées de Goethe. Gestalt et perception[modifier | modifier le code] Points d'un cube imaginaire.
Psychopompe Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. En mythologie, un dieu psychopompe (en grec ancien ψυχοπομπóς / psykhopompós, signifiant littéralement « guide des âmes ») est le conducteur des âmes des morts (guide ou passeur), le guide dans la nuit de la mort. Dans certaines cultures, la tâche de « psychopompe » est aussi l'une des fonctions des chamans. Dans les différentes mythologies ou croyances[modifier | modifier le code] Arabe[modifier | modifier le code] Al-Hama Celtique[modifier | modifier le code] Ankou Épona Manannan Mac Lir Ogmios Chrétienne[modifier | modifier le code] Les anges L'archange Uriel aussi appelé « Oriphiel ». Égyptienne[modifier | modifier le code] Anubis Horus Neith Étrusque[modifier | modifier le code] Turms Grecque[modifier | modifier le code] Hécate Hermès Morphée Thanatos Hindoue[modifier | modifier le code] Pushan Yama Inuit[modifier | modifier le code] Pinga Japonaise[modifier | modifier le code] Les Shinigami Judaïque[modifier | modifier le code] Sandalphon Ixtab Azraël Mithra Aumakua
Pyramide des besoins de Maslow Pyramide des besoins Théorie de Maslow[modifier | modifier le code] Présentation générale[modifier | modifier le code] C'est en 1970, dans la deuxième édition de son ouvrage Motivation and Personality, qu'apparaît l'exposé le plus complet de sa théorie de la motivation. Les besoins s'inscriraient dans le cadre d'une hiérarchie. En conclusion, lorsqu'un groupe de besoins est satisfait un autre va progressivement prendre la place selon l'ordre hiérarchique suivant : besoins physiologiques > besoins de sécurité > besoins d'appartenance et d'amour > besoins d'estime > besoins d'accomplissement de soi. Remarque : lorsqu'un besoin précédent n'est plus satisfait, il redevient prioritaire. Relativité et progressivité[modifier | modifier le code] La représentation de la hiérarchie des besoins sous la forme d'une pyramide a généré bon nombre de malentendus et, par là même, des critiques infondées, notamment du fait que Maslow n'a jamais représenté sa théorie sous forme hiérarchique[1].
Psycho: Les optimistes peuvent-ils changer le monde? Pour changer le monde, la société ou soi-même, il faut d'abord être capable de se concentrer sur tous les aspects négatifs, nous explique cette étude à paraître dans Psychological Science, la revue de l'Association for Psychological Science. Seules les personnes qui sont prêtes à prêter attention à ce qui « ne va pas » dans le système peuvent espérer évoluer et changer…la société. Et seuls ceux qui veulent changer le monde vont aller s'informer sur les points négatifs qui peuvent être améliorés. Cet article, léger, est publié sur le site de l'Association for Psychological Science, par India Johnson, étudiante diplômée de l'Ohio State University qui nous donne son point de vue: «Pour vraiment changer le système, tu dois savoir ce qui ne va pas. Des psychologues ont montré que les personnes qui veulent faire mieux au travail, par exemple, sont prêtes à entendre les critiques si elles sont persuadées que cela les aidera effectivement à progresser sur le long terme.
Programmation neuro-linguistique Techniques variées issues de la Modélisation PNL. Leurs usages coordonnés et intégrés permettent d'explorer le « vécu subjectif », objet de la PNL. La programmation neuro-linguistique (abrégée « PNL » en français, et « NLP » en anglais) est un outil pseudo-scientifique de médecine alternative de communication verbale et non verbale, de développement personnel et d'accompagnement au changement. Élaborée dans les années 1970 aux États-Unis, à l'origine par John Grinder et Richard Bandler[1] (qui a déposé la marque en 1976)[Note 1], elle est ensuite développée par de nombreux autres contributeurs dont Robert Dilts. La PNL se présente comme l'étude des processus comportementaux acquis, considérés comme une Programmation Neurologique représentée par la Linguistique[3]. S'intéressant exclusivement aux informations émises sans interpréter les causes[4], la PNL formalise des protocoles permettant l'exploration et l'évolution de ces structures comportementales. Quelle éthique et déontologie ?
Représentation des connaissances Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La représentation des connaissances désigne un ensemble d'outils et de procédés destinés d'une part à représenter et d'autre part à organiser le savoir humain pour l'utiliser et le partager. Représentation des connaissances[modifier | modifier le code] Les connaissances n'ont jamais été, et ne sont toujours pas, systématiquement représentées par des mots et des phrases. Les systèmes d'informations utilisent notamment : Classement des connaissances[modifier | modifier le code] Les outils classiques (non électroniques) de représentation des connaissances sont les taxonomies ou classifications, qui permettent d'organiser les connaissances sur les objets du monde, et les thesaurus utilisés en indexation documentaire. Formalisation des connaissances[modifier | modifier le code] Des outils plus formels et permettant de représenter des connaissances complexes sont par exemple les graphes conceptuels ou les réseaux sémantiques.
Pourquoi l'iPad n'est pas un objet geek (et pourquoi c'est tant Immédiatement, d'ailleurs, on n'a pas échappé à ce passage instantané de l'amour à la haine qui caractérise les passions violentes. L'objet de vénération est devenu objet de détestation. Les mêmes qui promettaient qu'Apple allait nous faire accéder à un nouveau stade dans l'évolution humaine se sont mis à compiler des listes interminables de manques et de raisons pour lesquelles ce truc ne marcherait jamais, pas une chance, à la limite pour servir de planche à découper, et encore, l'alu abîmerait le fil des couteaux, etc. On trouve d'ailleurs, c'est rigolo les mêmes images d'iPad-bashing que celles déjà utilisées pour l'iPhone : Le pire, c'est qu'après avoir constaté que j'étais déçu, je me suis dit la même chose. Pourquoi l'IPad ne séduit pas les geeks En l'état, hors de question que moi, bon gros geek moyen, j'achète un iPad, même si c'est bien moins cher que prévu. - Mieux que la Wii : là, tu te muscles vraiment les bras. - L'iPad réinvente la crampe de l'écrivain. Ben oui.
Ressources Solidaires, Emploi et Actualité de l'économie sociale Russia: Stray Dogs Master Complex Moscow Subway System <br/><a href=" US News</a> | <a href=" Business News</a> Copy Every so often, if you ride Moscow's crowded subways, you notice that the commuters around you include a dog - a stray dog, on its own, just using the handy underground Metro to beat the traffic and get from A to B. Yes, some of Moscow's stray dogs have figured out how to use the city's immense and complex subway system, getting on and off at their regular stops. "In Moscow there are all sorts of stray dogs, but... there are no stupid dogs," Dr. As many as 35,000 stray dogs live in Russia's capital city. Taking the subway is just one of many tactics the strays have come up with for surviving in the manmade wilderness around them. "The street is tough and it's survival of the fittest," says Poyarkov. Poyarkov says that only a small fraction of strays have figured out how to navigate the maze that is Moscow's subway system.