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Utiliser les données pour débusquer les insights

Utiliser les données pour débusquer les insights
La data permet de « trouver » des insights performants, mais aussi de s’appuyer sur du data driven marketing avant et après l’achat. Et cette approche bouscule les plans marketing et ceux qui doivent les mettre en oeuvre (vous !). Précisions avec notre interviewé, Stéphane Martis, Head of Analytics, Experian Marketing Services France. Comment utiliser les données pour décrypter les insights ? Les entreprises font face à un déluge de données avec l’essor et la montée en puissance des canaux digitaux. Là où, une décennie plus tôt, elles étaient à même de tirer des enseignements sur les habitudes de leurs clients à partir des seuls indices délivrés par leurs programmes de fidélité ; elles font désormais face à des données de plus en plus nombreuses, émanant de canaux divers. Se posent de toutes aussi diverses questions sur ces données : quel est le degré de fiabilité des informations qu’ils collectent ? Quelles sont les étapes-clé du data driven marketing avant l’achat ? (c) ill.

Stratégie social média : 4 indicateurs de performance à prendre en compte. La création et la publication de contenus permettent de récolter des données capitales sur votre audience et ses comportements sur les réseaux sociaux. Quelles datas sont à privilégier pour optimiser ses campagnes social media ? Un grand nombre d'outils et de services sur le marché permettent de dégager des datas précises. D'une part sur les profils démographiques, sociologiques et comportementaux des audiences sociales, mais également sur les performances de vos actions digitales. Les indicateurs les plus significatifs sont les suivants. Le reach Indicateur à tracker : l'audience growth rate = le taux d'audience atteinte Le bénéfice : un moyen de connaître facilement les retombées d'une opération social media Les indicateurs connexes : l'évolution de l'audience, le nombre de followers L'engagement Indicateur à tracker : le taux d'engagement moyen (average management rate) Le bénéfice : connaître l'efficacité d'une publication afin d'ajuster ses contenus L'acquisition La conversion

Manager ses fournisseurs pour réussir le Digital Learning Le webinaire co-animé le 26 janvier par Xavier Sillon, CEO de Vodeclic, une filiale de SkillSoft spécialisée dans les formations bureautiques et informatique, et Michel Diaz, Directeur associé du cabinet Féfaur, visait justement à donner quelques pistes aux services formation désireux de mieux connaître les problématiques de leurs fournisseurs et de se doter d’une organisation et de bonnes pratiques pour en tirer le meilleur parti. Les intervenants le rappelaient : « Le Digital Learning a fait entrer les services formation internes comme les organismes de formation dans « l’ère des partenariats. Concrètement, la formation contient toujours plus de numérique, elle devient une activité « high tech », elle ne peut tout faire seule. ». Et d’en tirer les conséquences en termes de compétences à développer : « Les responsables formation doivent trancher entre ce qui est le coeur de leur métier et ce qui doit être confié à l’extérieur. Remédier au défaut de gouvernance

Je suis Digital Learning Manager, et vous Dans cet article, Antoine Amiel, fondateur de LearnAssembly et de La French Touch de l’éducation (la conférence des innovateurs de l’éducation qui aura lieu le 17 et 18 décembre) présente les dernières tendances du secteur edtech et s’attaque aujourd’hui au métier naissant de digital learning manager. C’est quoi un « digital learning manager » et quelles sont ses compétences ? Où retrouve-t-on les digital learning managers aujourd’hui ? – Laurent Brouat La transformation digitale des entreprises et des universités n’a pas seulement un impact sur les modèles pédagogiques et économiques : elle se traduit également par la naissance de nouveaux métiers, propres à cette transformation numérique. Un poste en particulier émerge ces derniers mois : celui de digital learning manager. Le digital learning manager ? Qu’est-ce qu’un digital learning manager ? 1 – l’utilisation du mot initiatives laisse le champ plutôt ouvert. Transformation numérique et formation Crédit photos : Shutterstock

outil - Comment faire une étude d’opportunité? Avant de démarrer sur de bonnes bases un nouveau projet de grande envergure, vous pouvez passer par l’étude d’opportunité. Cela permettra à votre Direction de valider si le projet doit bien être lancé, grâce à une analyse préalable et une évaluation des bénéfices futurs du projet, des coûts. L’étude d’opportunité doit identifier aussi des risques éventuels. Il s’agit donc de rédiger un document dénommé “étude d’opportunité” qui va valider ou non le bien-fondé de votre projet. Voici comment découper votre étude d’opportunité … 1 Environnement et objectifs – L’environnement général Décrire ici l’environnement économique externe et l’environnement interne de la structure pour laquelle vous travaillez, les contraintes règlementaires éventuelles et dans quel contexte s’inscrit votre projet. Décrire sur quel marché vous travaillez et les enjeux stratégiques éventuels de votre projet – L’origine de la demande Identifiez l’origine de la demande qui a mené à l’émergence de votre projet Claire Cornic

QQOQCCP Cinq W QQOQCCP (pour « Qui ? Quoi ? Où ? Quand ? Comment ? Ce concept est notamment utilisé en journalisme. Les cinq W sont particulièrement utilisés en agence de presse[3], qui exige que les réponses aux cinq questions soient données dès le début de la dépêche, ce qui permet un découpage de l'information par priorité. Cette méthode est également utilisée de façon courante dans l'éducation pour l'étude de documents, ainsi qu'en gestion de la qualité, comme première étape d'une analyse de cause racine de problèmes. Origine et histoire[modifier | modifier le code] Chez Aristote et les scolastiques[modifier | modifier le code] Le sigle a pour origine un moyen mnémotechnique latin (« Quis, Quid, Ubi, Quibus auxiliis, Cur, Quomodo, Quando ») utilisé par les savants scolastiques pour la mémorisation des particularités d'un acte telles que définies par Aristote[4],[5]. Plusieurs autres utilisations ont ensuite assuré la persistance de l'expression jusqu'à aujourd'hui :

RACI - Processus & Amélioration La description d’un processus comme un enchaînement d’activés obtient assez facilement l’adhésion. Cela se corse quand on responsabilise les entités et les individus en positionnant sur chaque activité les rôles. Or c’est indispensable pour projeter le processus sur l’organisation et le concrétiser. Un rôle est une collection : De responsabilités (ou portage d’enjeux) vis-à-vis de la chaîne de valeur (le fil rouge)De compétences requises pour réaliser une ou plusieurs activités Il est une vision générique indépendante de l’organisation, préparatoire à l’organisation de la prise en charge concrète des activités par les postes (ou des personnes). Plusieurs rôles peuvent être tenus par une même personne. Les rôles génériques permettent la constitution de fiches de postes. Les compétences individuelles;La disponibilité;L’ancienneté et la hiérarchie. Dans la réalité, la distinction entre rôles et emplois est souvent moins tranchée, voire inexistante. Le tableau suivant détaille le dispositif.

LA GESTION DE PROJET : METHODE CLASSIQUE VS METHODES AGILES | Agence de Communication Digitale Access Dev Le métier de chef de projet est très enrichissant mais aussi très complexe car il est amené à évoluer dans différents environnements qui sont en constantes évolutions. Il doit donc être multicompétent, c’est à dire maîtriser les techniques de gestion de projet, de management d’équipe, d’avoir un bon relationnel lors des échanges avec le client et enfin de comprendre les spécificités du projet. L’objectif du chef de projet est de pouvoir mener son projet à terme en respectant les délais et le budget alloué. Pour atteindre cet objectif, il doit prendre en compte les 3C qui sont les trois contraintes que constitue le projet. Pour atteindre son objectif, le chef de projet peut avoir recours à plusieurs méthodes de gestion de projet. Depuis toujours, les projets sont gérés avec la méthode dite « classique » qui se caractérise par recueillir les besoins, définir le produit, le développer et le tester avant de le livrer. Le mouvement des méthodes agiles a commencé en 2001 aux Etats-Unis. Crystal

Diagramme de GANTT, suivez le guide de la planification projet ! Se fixer un objectif SMART Janvier arrive avec le temps des résolutions : faire plus de sport, passer plus de temps avec la famille et les amis. Dans cet article, je vous propose de (re)voir les bases pour définir un objectif, et de passer en revue les différents critères pour se fixer de bons objectifs. En effet le meilleur moyen d’atteindre ses objectifs est de les avoir bien définis… La technique la plus simple est l’objectif SMART, littéralement « judicieux ». Un objectif doit être Spécifique, Mesurable, Atteignable, Réaliste et Temporel. Dans le modèle SMARTEN-UP, on peut ajouter 4 adjectifs pour se questionner sur la validité de l’objectif et confirmer sa capacité et sa motivation à atteindre l’objectif : Enthousiaste : suis-je enthousiaste à l’idée de cheminer vers cet objectif, la route qui m’en sépare me fait-elle envie ? Pour mettre en application la définition d’un objectif SMART, je vous propose de travailler avec cet objectif : Traiter mes courriels plus vite et y passer moins de temps. Spécifique

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