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Mondialisation forcée pour les géants de la mode

INFOGRAPHIE - Pour défier la crise sur leurs marchés d'origine, l'espagnol Zara, le suédois H&M, l'américain Gap et le japonais Uniqlo accélèrent à l'international. De New York à Shanghaï, ils diversifient l'offre et « luxurisent » leurs magasins. «Il n'y a aucun marché dans le monde où l'on peut se dire que notre expansion est terminée.» Signée Thomas Lourenço, patron d'H&M France, cette assertion pourrait être prononcée avec la même assurance par ses pairs de Zara, Gap et Uniqlo. De New York à Shanghaï en passant par Roanne et Cape Town, les quatre plus grandes enseignes d'habillement au monde ouvrent chaque année des boutiques par centaines. L'espagnol Zara, le suédois H&M, l'américain Gap et le japonais Uniqlo sont tous confrontés à la même problématique: sur leur marché d'origine, la croissance de leurs ventes ralentit, quand elle n'est pas négative. Adaptation des formes et des coloris des vêtements Les quatre géants ferraillent aussi sur les autres pays émergents. Related:  Mémoire fast-fashion

Qu’est-ce que la mondialisation ? | YaleGlobal Online La croissance exponentielle de la circulation des biens, des idées, des institutions et des personnes à laquelle nous assistons aujourd'hui fait partie d'une tendance historique à long terme. Tout au long de l'histoire de l'humanité le désir d'améliorer et d'agrandir l'espace de vie a poussé les populations à se déplacer partout dans le monde avec leur bagage matériel et intellectuel. Depuis sa première apparition en 1962, le terme de "mondialisation" (ou "globalisation" pour employer l'expression anglaise) est passé du jargon au cliché. La revue The Economist l'a appelé "le mot le plus galvaudé du vingt et unième siècle". Pourtant, correctement défini et appliqué, le terme a une valeur d'usage certaine. La mondialisation -- processus qui donne, selon la définition des dictionnaires, aux diverses activités et aspirations une "extension qui intéresse le monde entier" -- a commencé depuis bien longtemps. Mais l'accélération de la croissance n'est pas non plus sans imposer son prix.

La mondialisation est-elle finie Le marasme du commerce mondial révèle moins un processus de démondialisation qu’une transformation des processus internationaux de production, entraînée par l’explosion de l’économie digitale. Contrairement à la Grande Dépression des années 1930, la Grande Récession de 2007-2008 n’a pas entraîné un démantèlement du système des relations économiques internationales. Elle a provoqué, en revanche, un coup d’arrêt de la mondialisation, et en particulier du processus antérieur d’intensification des flux de capitaux transnationaux, parfois qualifié d’hypermondialisation. Ce processus était apparu dans les années 1990 à la suite de la double révolution provoquée par l’émergence d’Internet et l’extension de la logique de marché, des réseaux productifs et de la finance de marché* à la totalité de la planète. Certes, des facteurs conjoncturels expliquent en partie cette pause, voire ce recul, de la mondialisation.

La mondialisation, un phénomène polarisé ? – Géopolémique Ce billet est issu d’un travail universitaire réalisé il y a un an, lors de ma première année de master en géopolitique à l’Université de Reims. Introduction Dans son célèbre ouvrage sur la Méditerranée sous le règne de Philippe II, en 1949, l’historien Fernand Braudel crée une notion nouvelle : celle de « l’économie monde ». La définition qu’en donne le chercheur est novatrice en ce sens qu’elle préfigure la mondialisation de l’économie telle qu’elle va se produire dans la seconde moitié du XXe siècle : pour lui, l’économie monde est un « morceau de la planète économiquement autonome, capable pour l’essentiel de se suffire à lui-même et auquel ses liaisons et ses échanges intérieurs confèrent une certaine unité organique ». Finalement, l’économie-monde européenne de l’époque moderne que décrit Braudel est la genèse, à l’échelle continentale, de ce qui deviendra par la suite mondial. L’économie-monde repose sur une théorie de centres et de périphéries. Conclusion Bibliographie Annexes

Fast fashion lies: Will they really change their ways in a climate crisis? Recently Zara introduced a sustainability pledge. But how can Zara ever be sustainable? As the largest fast-fashion retailer in the world, they produce around 450 million garments a year and release 500 new designs a week, about 20,000 a year. We live in an era of hyper-consumption in the middle of a climate crisis. Clothing production doubled from 2000 to 2014. With production numbers like these, can any fast-fashion retailer claim sustainability? Fast fashion is not eco-friendly The fast-fashion business model itself is the very antithesis to sustainability. Some ideas that have been presented by fast-fashion companies include recycling. Another concept, the one put forth recently by Zara, is to use only sustainable fabrics. There is no such thing as a 100 per cent sustainable fabric. I spend a lot of time reading the corporate social responsibility reports of larger brands and interviewing micro-to-small sized enterprises to see how they approach sustainability.

Fast fashion: Zara promises all its clothes will be sustainable by 2025 Image copyright Getty Images Zara - and other brands like Pull & Bear and Bershka - have promised to only sell sustainable clothes by 2025. The company that owns these shops says all cotton, linen and polyester they sell will be organic, sustainable or recycled. Zara has 64 UK stores, and its parent company has 7,490 shops worldwide. Reacting to the news, Friends of the Earth told Radio 1 Newsbeat it would be "better for everyone if the industry sold clothes made to last." Over the past few years, a lot of what we buy has been criticised for being fast fashion - clothes we barely use. What will you see in the shops? From next year, containers will appear in Zara stores to collect your old clothes so they can be reused or recycled into new items. Some people in the fashion industry have been calling for more clothes recycling in order to protect the environment - while politicians think brands and shops should fund clothes recycling. A 'ridiculous amount of clothes'

L'industrie textile du Nord renaît grâce à un nouveau filon Inscrivez-vous gratuitement à laNewsletter BFMTV Midi Bastion historique d'une industrie autrefois florissante, Roubaix est devenue la terre d'accueil d'entrepreneurs, d'enseignes de la distribution et de l'habillement qui misent sur des petites séries de produits éco-conçus ou recyclés. "Le textile arrive à un tournant: l'urgence écologique! Et les Hauts-de-France ont tous les ingrédients pour fabriquer la mode du futur, circulaire, écoresponsable!", s'enthousiasme Annick Jehanne. Nimbée de lumière sous de hautes fenêtres, une couturière concentrée prend des mesures, déroulant de longues draperies bigarrées. Marché saturé, baisse des ventes, consommateurs boudant la "fast-fashion" des grandes chaînes au profit de produits durables et made in France, essor de la "seconde main": "les enseignes commencent à comprendre que la surproduction depuis l'Asie, le réassort permanent des collections, les soldes, ça ne fonctionne plus !" Un marché ultra-porteur Structurer la filière recyclage BFMTV.com

Comment les marques de fast fashion s'engagent pour la protection de l'environnement ? Ce n’est une secret pour personne : l’industrie de la mode pose un certain nombre de problèmes éthiques et environnementaux, et ceux-ci n’ont fait qu’accroître ces dernières années. Le monde consomme désormais plus de 100 milliards de vêtements par an, d’après un rapport de la société de conseil McKinsey. Dans son ensemble, le secteur de l’habillement est responsable de 92 millions de tonnes de déchets de déchets incinérés puis enfouis. Par ailleurs, un rapport de 2017 estimait que 35 % de la pollution aux micro-plastiques provenait du lavage des textiles synthétiques, dont la plupart sont produits par des marques de fast fashion. Les géants du prêt-à-porter commencent à redoubler d’efforts pour s’attaquer à ces problématiques. La semaine dernière, Inditex, la société propriétaire de Zara a annoncé une nouvelle série de mesures écoresponsables, parmi lesquelles l’objectif de travailler avec 100 % de coton, de lin et de polyester issu de filières durables d’ici 2025. 1.

Infographie mode éthique - le désastre de la fast fashion - état des lieux En moyenne, nous ne portons que 20% de notre garde robe au quotidien. Mais à quoi servent les autres 80% ? C'est la question que l'on se pose à travers cette infographie sur la fast fashion, véritable désastre de la planète et par conséquent , quel impact pour nous ? Vous trouverez dans cet article une infographie sur la face destructrice de la fast fashion, suivi d’une réflexion sur les impacts et conséquences de la fast fashion. Cette infographie recense un certain nombre de méfaits de la fast fashion chiffres à l’appui : Une surproduction des collectionsDes matières premières pas très écoloL’exploitation des travailleursLa gabegie des invendusLa pollution engendrée par l’usage des vêtements ( Impact et conséquence).Le traitement des déchetsLa responsabilité de chacun (consommateur, industriels, gouvernement) Un gaspillage insensé Il fut un temps où nos habits étaient aimés, chéri et utilisés jusqu'à ce qu'ils tombent en lambeaux ou presque. Comment agir à son échelle ?

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