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Je n'ai pas consenti

Je n'ai pas consenti
Je m'appelle Tom-Alex. Mais ceci n'est pas mon prénom de naissance. J'avertis maintenant que dans mon témoignage il y aura des déclencheurs tels que la transphobie, les mutilations, les tentatives de suicides, l'anorexie et la psychiatrie. Je suis un garçon qui n'a pas eu de chance. Il y a 21 ans, j'ai été assigné fille à la naissance. Il y a deux mois, j'ai fait mon Coming-Out trans à mes parents.Ça se passe plutôt bien, dans la mesure où je reste leur enfant et qu'ils continuent de m'aider financièrement, mais la pilule est difficile à avaler. Le 20 février, je retrouve ma mère pour discuter sincèrement avec mon amie. je suis sous hormones depuis deux semaines déjà. Le dimanche matin de ce même week-end, elle me téléphone.Elle me parle de sa difficulté à avancer. Et avec une dose de chantage affectif. Elle ne veut pas me voir pour une période. Je suis sous anxiolytiques depuis mi janvier. C'est le lendemain que ça se gâte. Je suis transféré à 20h au service psychiatrique des urgences. Related:  Violences sexuelles (harcèlement, agression, viol) et obstétricales

Project Unbreakable You may have noticed that Project Unbreakable has been pretty quiet lately. For a few months now, those of us at Unbreakable have been making some pretty big life changes, and we have had to figure out where Unbreakable is placed. It has been a very long and incredible journey, but we are saddened to say that we will be closing our doors. We will finish posting all the submissions we have, but after we run out, we are no longer going to be accepting submissions for the website (but everything will remain up – we aren’t deleting anything.) We hope you understand, and we are grateful for your support. A note from Grace: I can’t really sum up almost 4 years of doing this project and I am having a very difficult time writing this. I would be lying if I said that the rumors from other activists about my integrity didn’t get to me. But that is not why I am leaving the project. Please take care of yourselves. A note from Christina:

Un mug — Tu seras un homme, gamin. 500 Internal Server Error Un strip publié par le site Everyday Feminism aborde le consentement sexuel via des situations de la vie de tous les jours. Le but est d’utiliser des instants du quotidien en tant que métaphores. À lire aussi : Le consentement sexuel expliqué par une tasse de thé Des situations banales, telles que le visionnage d’un film ou la prise d’un petit déjeuner, se voient détournées pour pointer du doigt les mauvais comportements quand il s’agit de relations sexuelles. Dans la première situation, un homme propose à un autre de regarder Pulp Fiction ; celui-ci accepte d’abord, avant de s’apercevoir qu’il n’aime pas le film, une demi-heure plus tard. « Tu as dit que tu voulais regarder le film, donc tu restes jusqu’à ce qu’il soit fini ! Toute cette BD est un moyen efficace pour rendre compte de l’absurdité et la dangerosité de certaines attitudes face à un refus… qui sont mieux comprises lorsqu’on utilise des situations simples et fréquentes.

PAYE TA SHNEK “J’ai toujours rêvé de baiser une handicapée, tu viens dans la chambre avec moi.” Lyon — lors d'une soirée. Venant d'un mec qui savait que j'étais lesbienne… Et même sans ça, je comprends toujours pas comment il a pu penser que je le suivrais sans discuter, sa phrase n'étant clairement pas une question mais plus un ordre. “Toi tu vas te faire violer.” Rennes — Un homme à vélo, qui me lance ça sans même ralentir. “Sortez les gars, je m’occupe d’elles.” Paris — dans le collège où je travaille. “Eh tu veux que je te ramène chez toi? Bordeaux — alors que je rentrais chez moi des cours, un homme s'arrête en voiture pour me dire ça, puis il repart en klaxonnant et un me faisant des gestes obscènes. “Alors, tu t’enfuis? Paris — je suis seule dans le métro, sur la ligne 11 un homme d'à peu près 50 ans me colle et tente des gestes déplacés. “Est ce que je peux te cracher dans la chatte ?” Angers — Il était minuit, je longeais la ligne de tram pour rentrer chez moi. Lausanne — Minuit.

Où sont les violeurs? | Marlene Schiappa Le traitement médiatique du viol a ceci d'étonnant qu'il décrit toujours l'agresseur et la victime avec un champ lexical similaire. Pour la victime, nous avons jeune, pauvre au sens de "à plaindre", seule parfois, et souvent un détail physique accablant du type "elle avait les cheveux longs (la salope)" (blonde, au 36 quai des Orfèvres ; jolie, dans le métro de Lille). Le violeur a toujours une bonne excuse, lui. Il avait bu, monsieur le juge. (36) Il venait de se disputer avec son amie et il n'avait pas de travail, monsieur le juge (Lille). Bref, elle, avant d'être une victime, était déjà marquée du sceau de l'infamie ; et lui avant d'être un agresseur était déjà le good guy qu'il redeviendra après quelques heures de travaux d'intérêt général. Si bien que notre société est intrinsèquement pleine de victimes de viols, mais vide de ses violeurs. Lire aussi: Mais statistiquement, ça ne fonctionne pas. Comme mon amie qui a conclu son histoire par : "Tu le connais, c'est X. X... ? Oui.

« Passer à la casserole » : la BD qui brise le tabou du viol conjugal C’est encore un énorme tabou. Pourtant, si vous êtes en couple, et qu’on vous force à une relation sexuelle, cela porte un nom : le viol conjugal. Et c’est puni par la loi. Dans une bande-dessinée mise en ligne par le magazine féministe belge, « Femmes Plurielles », la dessinatrice Marine Spaak a illustré une analyse sur le viol conjugal réalisée en décembre 2017 par la chercheuse Amandine Michez. Intitulée « Passer à la casserole », la BD illustre la difficulté des victimes et du reste de la société à reconnaître comme un viol un rapport forcé avec un partenaire intime. Pour rendre son exemple encore plus parlant, Marine Spaak a utilisé un exemple de sa vie personnelle : celui de sa mère. « Contrairement aux RDV chez le dentiste, les rapports sexuels forcés sont punis par la loi », poursuit Marine Spaak dans sa bande-dessinée.

En Inde, une femme « condamnée » à un viol collectif Surprise avec son amant, une femme de 20 ans a été victime d'un viol collectif, ordonné par un conseil de village en Inde. En Inde, une femme de 20 ans a été victime d'un viol collectif ordonné par un conseil de village en représailles d'une relation amoureuse. Un peu plus d'un an après le viol en réunion d'une étudiante, qui avait scandalisé le pays en décembre 2012, ce nouveau crime sexuel provoque l'émotion. Treize hommes ont été arrêtés pour cette agression survenue mardi 21 janvier au soir dans le village de Subalpur, dans le Bengale occidental (Est). La jeune femme, hospitalisée, a confirmé l'agression à des journalistes : « Ils m'ont violée (..), ils avaient tous l'âge de mon père. » Les conseils de village, composés des habitants les plus âgés, exercent une influence importante sur la vie sociale dans les régions rurales, en particulier dans le nord de l'Inde, imposant fréquemment des peines pour de supposées fautes morales. Une affaire similaire est survenue en 2002 au Pakistan.

Je connais un violeur Je connais un violeur. C’est un ami, c’est un ami de ma meilleure amie. On avait déjà passé une nuit ensemble, je ne voulais pas coucher avec lui, il l’a bien pris et a été adorable. Mais pas ce soir-là. Rentrés chez lui après une soirée, on couche ensemble, je m’endors. Le reste est flou, mais je sens que lui, que tout son corps, que tout son sexe sont réveillés et me désirent. Toute honteuse je vais aux toilettes, je veux sortir tout ça de moi, j’ai mal, je saigne un peu, je me sens mieux seule dans ces toilettes qu’avec lui dans son lit chaud. Quand je reviens il est de nouveau gentil, me câline, me demande si ça va. Je ne porterai pas plainte. Malgré tous mes efforts pour rationaliser, malgré tous mes discours et le sentiment d’être une femme qui sait s’affirmer, je m’en veux plus de n’avoir pas été plus explicite que je ne lui en veux à lui. Je me sens coupable, mais l’écrire ici m’aide. C’est lui le coupable.

Le sexe et le consentement en 2018...Ce que veulent vraiment les femmes Selon notre sondage exclusif CSA/Marie Claire, 62 % des Françaises ont déjà vécu “une relation sexuelle non désirée”. Depuis les mouvements #MeToo et #BalanceTonPorc, la notion de consentement est plus que jamais réinterrogée. Comme le sont nos ressentis et nos comportements de femmes et d'hommes – se forcer, céder pour ne pas vexer, avoir la paix, peur de “passer pour”, envoyer des signaux qui disent non et qui ne sont pas entendus ou volontairement ignorés… Cette prise de conscience va-t-elle enfin nous permettre de devenir les pleins sujets de notre sexualité ? Le 1erjuillet prochain, le parlement suédois unanime devrait voter une loi interdisant toute relation sexuelle avec une personne qui n'aurait pas explicitement exprimé son consentement. Sanctionner les relations sans consentement explicite Même ici, où le conservatisme déguisé en art de la séduction s'est vite manifesté, et où l'on attend toujours les excès tant redoutés, l'air du temps a changé. Comment elles ont dit non 1.

Norvège : peut-on éduquer les hommes contre la violence ? « Avant de venir en Norvège, je pensais que je devais décider pour les femmes. Maintenant, j’ai changé d’avis. » Hieno Brane a dû apprendre à concilier deux cultures totalement opposées. Il vient d’Erythrée, et a demandé l’asile en Norvège. Il a suivi l’un des cours organisés par la société Hero pour apprendre le rôle, les mœurs et le comportement des femmes en Norvège, afin de prévenir les incompréhensions, les violences et/ou viols. « Au début, j’ai eu du mal à accepter que des femmes décident pour moi. Comprendre les codes « C’est un cours pour aider les demandeurs d’asile à comprendre les codes norvégiens, en expliquant comment les hommes et les femmes se retrouvent ensemble et peuvent même flirter, sans plus », explique Linda Hagen, chef de section de Hero à Stavanger. Ce sont eux qui nous demandent de l’aideJannicke Stav, psychologue Pour les Norvégiens, il s’agit d’un choc de civilisation, ou plutôt de culture. Ces cours suscitent un grand intérêt dans le monde.

Pourquoi une enquête ? - Enquête sur l’accueil des victimes de crimes et délits sexuels

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