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Conférence de la matinée_Vincent Liquète

Conférence de la matinée_Vincent Liquète

Translitteraties : le big bang de la lecture en ligne / E-dossier de l'audiovisuel : L'éducation aux cultures de l'information Alan Liu est professeur au Département d’anglais de l’Université de Californie, Santa Barbara, où il enseigne depuis 1988. Il est titulaire d’un Ph.D. de l’université de Stanford 1980 et il a enseigné au Département d’anglais et au Programme des British Studies de l’université de Yale de 1979 à 1987. Il est spécialisé dans la culture de l’information, les nouveaux médias, la théorie littéraire, les cultural studies, et l’art et la littérature britannique romantique. Il a publié Wordsworth: The Sense of History (Stanford Univ. Press, 1989), The Laws of Cool: Knowledge Work and the Culture of Information (Univ. of Chicago Press, 2004), et Local Transcendence: Essays on Postmodern Historicism and the Database (Univ. of Chicago Press, 2008). Nous assistons aujourd’hui à l’explosion de la lecture en ligne, sur tous les supports offerts par les nouvelles technologies. La lecture en ligne, à l’évidence, résulte d’une reconfiguration des médias de littératie. Cela survient en deux étapes. 1.

Qu’est-ce qu’un lieu de savoir ? - Savoir et savoirs 1Première question : pourquoi « lieu de savoir » et pas « lieu de science » ? Et comment articuler « savoir » au singulier et « savoirs » au pluriel ? 2Nous considérons que les savoirs constituent un champ plus large que celui des sciences : ces dernières, en particulier les sciences qui se sont développées en Europe depuis le xviie siècle, représentent une forme de savoir parmi d’autres, même si elles occupent aujourd’hui dans notre culture et notre société une place privilégiée. Mais les savoirs scientifiques n’en coexistent pas moins avec les savoirs lettrés, les savoirs spirituels, les savoirs techniques et artistiques, les savoirs politiques et juridiques, les savoirs économiques et administratifs, comme avec les savoirs pratiques du quotidien. 3Cette typologie, du reste, ne résiste pas à l’observation de savoirs particuliers, ancrés dans un contexte social, dans une culture et une époque donnés. 2 Voir infra, « Practical turn ». 21Cette proposition soulève deux nouvelles questions.

Cyber, informationnelle, numérique...A nouvelles économies, nouvelles cultures ? / E-dossier de l'audiovisuel : L'éducation aux cultures de l'information Philosophe, Claude Baltz est professeur en Sciences de l’information et de la communication à l’Université Paris 8, et il est membre permanent du laboratoire Paragraphede l’université. Il a également été professeur aux départements Documentation et Hypermédia et directeur du Master NET « Numérique : Enjeux, Technologies» à l’Université Paris 8. Parmi ses thèmes de recherche : l’épistémologie de l’information et de la communication ; les effets sociaux des TIC ; la cyberculture. Il a assuré diverses consultations et directions d’étude : France Télécom, CNET, Plan Urbain, Observatoire des Télécommunications dans la Ville (OTV), Digital Equipment France, etc. Le titre même de cet article laisse déjà entendre qu’il existe une littérature conséquente consacrée à divers surgeons du terme « culture », relativement récents et même insolents au regard de son ancienneté historique et de sa respectabilité théorique. - En termes de conséquences. - En termes de pré-requis. • « Cyberculture » 1. 2.

Nouveaux supports, nouveaux espaces, nouvelles médiations Actes des 5e Rencontres Savoirs CDI Nouveaux supports, nouveaux espaces, nouvelles médiations Nous assistons actuellement à une nouvelle évolution des pratiques des jeunes au niveau de l’accès à l’information au niveau des espaces, les réseaux sociaux sont devenus incontournables, générant de nouveaux rapports au savoir, au niveau des supports, le livre, les médias traditionnels évoluent par la numérisation et entraînent de nouveaux modes de lectures, au niveau des outils les smartphones, tablettes, e-books, TBI changent la relation des jeunes à l’information, au document, au travers de nouveaux usages. Quelles sont les caractéristiques de ces nouveaux usages ? Quelles implications sur notre travail au quotidien : veille, médiations, travail collaboratif… ? Lundi 24 octobre Ouverture [voir les vidéos] Présentation du programme des journées Alexandre Serres Maître de conférences en science de l’information et de la communication, coresponsable de l’Urfist de Bretagne et des Pays de Loire. L'Ipad

Littératies informationnelles, médiatiques et numériques : de la concurrence à la convergence ? 1Le constat d’une convergence médiatique liée au numérique succède à une période qui pourrait correspondre à une « querelle » des littératies. Les littératies informationnelles (information literacy) et médiatiques (media literacy) se sont donc disputées pendant plusieurs années une forme de leadership, chacune prétendant contenir l’autre. En parallèle, la littératie informatique (computer literacy) a connu également des évolutions du fait du numérique au point d’être souvent intégrée au projet d’une littératie du numérique (digital literacy). 2L’émergence de nouvelles littératies a accru cette complexité et cette dispersion des forces. Les actuelles perspectives offertes par la translittératie (transliteracy) (Thomas, 2007) ou bien encore par la MIL (Media and Information Literacy) permettraient de les regrouper toutes dans un même projet, à condition de réellement parvenir à de réelles avancées sans répéter des étapes précédemment déjà opérées. 2 Paul G. 12 Doug Belshaw.

Entre « data librarians  et médiateurs du savoir | «Bertrand Calenge : carnet de notes Notre siècle encore débutant, baigné dans le numérique et tellement nourri d’incertitudes, voit s’affirmer progressivement deux modalités du métier de bibliothécaire, ou plutôt en rend plus aiguisées deux dimensions distinctes : l’ingénieur plongé dans le traitement et l’exploitation des données, et le médiateur plongé dans l’accompagnement de publics en soif d’apprendre. Data librarian, le bibliothécaire de données Jusque-là consacré à la génération et à l’exploitation des métadonnées des notices bibliographiques – qui ont pris la suite de ce bon vieux catalogage -, le bibliothécaire expert sait que de plus en plus son activité ne peut plus se cantonner à son seul catalogue : déjà, les collections s’enrichissent de ressources électroniques dotées de leurs propres métadonnées, les chercheurs produisent des travaux eux-mêmes truffés de données, sans parler des données véhiculées par le web. Et voilà en outre que se profilent les fameuses big data, ces données massives proliférantes.

Information Literacy En France, le recours au terme Information literacy donne l’illusion de régler le problème d’un flou conceptuel : formation à la maîtrise de l’information, éducation informationnelle, formation des usagers, formation documentaire… comment nommer ce qui idéalement dépasse une simple formation à la recherche documentaire, pour aller vers une réelle maîtrise des outils et des concepts de l’information, voire s’égare vers la media literacy, mais qui dans les faits est parfois cantonné à la visite de la bibliothèque ?Au niveau international, l’information literacy est un sujet fort, qui regroupe associations, journaux spécialisés, recherche autour de la formation des usagers et a donné lieu à de nombreuses définitions. Association IFLA. Dossier Formation des usagers. Ressources CHAPRON, Françoise et DELAMOTTE, Éric. MALIÉ, Pierre et NOËL, Élisabeth. SERRES, Alexandre. CHEVILLOTTE, Sylvie. CHEVILLOTTE, Sylvie. Voir aussi Illettrisme / Lecture /

Présentation | Développer la médiation documentaire numérique

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