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Une famille américaine fait pousser 3 tonnes de nourriture bio par an dans son jardin

Une famille américaine fait pousser 3 tonnes de nourriture bio par an dans son jardin
Aux États-Unis, à 15 minutes du centre-ville de Los Angeles, une famille fait sa révolution en créant sa propre ferme urbaine qui produit assez de nourriture pour être auto-suffisante. C’est à Pasadena en Californie, que vit la famille Dervaes au milieu d’une micro ferme de 370 mètres carrés. Devenue une véritable ferme urbaine, elle produit 2,7 tonnes de nourriture par an, ce qui rend la famille auto-suffisante en nourriture. Un objectif : manger des légumes du jardin 100% bio Vous pensiez ne pas pouvoir faire pousser beaucoup de nourriture en milieu urbain ? Jules Dervaes a créé cette ferme, il y a plus de 20 ans, avec ses trois enfants, Justin, Anaïs et Jordanne, dans le but de manger une nourriture saine, biologique, sans OGM et cultivée maison. Vue satellite de la ferme des Dervaes Ce jardin merveilleux fournit aux Dervaes 90% du contenu de leurs assiettes, le reste ne pouvant être produit sur place (blé, riz, avoine, etc). Produire local pour toute la famille, mais pas uniquement

Ingénieur reconverti en paysan, il fait le pari de l’agroécologie Dans sa microferme près de Tours, cet entrepreneur de 35 ans, veut prouver que l’agroécologie est plus rentable que l’agriculture conventionnelle. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Séverin Graveleau Maxime de Rostolan préfère prévenir : il est hors de question de le prendre en photo dans un champ une bêche à la main. S’il s’est quelquefois prêté à ce jeu devant les objectifs, au début de l’aventure Fermes d’avenir, c’est aujourd’hui terminé. « Je ne ferai pas croire que je suis agriculteur », explique-t-il simplement. Tant pis pour la belle histoire qu’on aurait été tenté de raconter. Celle d’un jeune ingénieur de 35 ans originaire des beaux quartiers de la banlieue parisienne, reconverti en paysan militant sur un petit bout de terre de la région tourangelle… Agroécologie, permaculture et rentabilité Ainsi, à la ferme de la Bourdaisière, la fertilisation des sols se fait uniquement par la décomposition de matière organique (feuilles mortes, paille, etc.). Retour sur les bancs de l’école

SEPPIC se lance dans le capillaire : Biblond, pour les coiffeurs ! Présent dans plus de 70 pays à travers ses filiales et son réseau de distributeurs, SEPPIC emploie plus de 600 personnes dans le monde dont 100 chercheurs. Et c’est justement grâce à sa position d’acteur majeur du marché et en étant à l’écoute de ses clients que SEPPIC a saisit l’importance de se lancer dans la cosmétique capillaire. Le marché capillaire est en évolution constante tout comme les tendances qui l’accompagnent. Cela implique un re-nouveau et des innovations en matière de produits, SEPPIC l’a bien compris. Voici les 4 tendances que SEPPIC a identifiées : « Care » : elle incarne la dimension « soin et protection » d’un produit cosmétique. Six formules cosmétiques capillaires seront à découvrir sur le salon In-Cosmetics qui se tiendra du 1er au 3 avril 2014 à Hambourg en Allemagne. SEPPIC révèle également une étude du marché capillaire intéressante, voici ce qu’ils nous disent : « CARE » : Mettre la beauté du cheveu au premier plan et y dédier entièrement les produits. 8- Soja (5%)

Et si… on bannissait les pesticides ? En agriculture conventionnelle, les pommes reçoivent trente-six traitements par an, les betteraves, de seize à dix-huit. Et toutes ces particules volatiles peuvent atteindre les exploitations qui n’utilisent pas de pesticides. Pour se protéger des multiples épandages des champs voisins, les agriculteurs entretiennent arbres, bandes enherbées et haies autour de leurs cultures. Mais impossible de mettre un champ sous cloche. Alors pour s’assurer que la récolte respecte la charte de l’agriculture biologique, l’organisme certificateur contrôle les exploitations labellisées deux fois par an. Pour Adrien Peltier, paysan boulanger dans l’Eure-et-Loir, côtoyer les champs cultivés en conventionnel, c’est aussi une forme de résistance. Dechets Le vrac 2.0 en provenance de San Francisco Le vrac: la révolution discrète qui nous permet de produire zéro déchet quand nous faisons nos courses… Les Biocoop en France proposent un choix grandissant et de qualité. De grandes enseignes s’y mettent en France pour suivre cette tendance et pour proposer des denrées à moindre coût. L’emballage est devenu plus cher que l’aliment emballé dans de très nombreux cas… Mais qu’arriverait-il si on poussait la logique du vrac aussi loin que nous le pouvions? A San Francisco, le supermarché Rainbow propose à la vente (presque) tout en vrac. Des graines aux épices en passant par le thé, le café et …. C’est l’évidence même me direz-vous: c’est vrai nous trouvons désormais les graines (des lentilles, du blé, du riz, etc.), la farine, les pâtes, etc. dans les Biocoop (merci à eux). Mais à Rainbow, non seulement tout ce vrac est en accès-libre, mais il y a des petits comptoirs qui vous facilitent la vie! Et il y des épices en vrac et en accès libre: et de nouveau quel choix! …le liquide en vrac…

La vente en vrac.K S N production.produit en vrac Produits en Vrac. La vente de produits en vrac augmente. La vente en vrac, qui touche toutes les catégories de produits, est en expansion, constate une étude parue jeudi par l’institut Mes courses pour la planète et Graines de changement, et parrainée par l'Agence de l'environnement (Ademe) . Ecolo et économe Les atouts du vrac sont nombreux, tant sur le plan économique qu'écologique, deux arguments qui font mouche aurpès des consommateurs et des industriels. Sur le plan économique, un produit vendu en vrac serait 5 à 40% moins cher que son équivalent vendu préemballé. Au niveau environnemental, ce type de distribution permet d'alléger les poubelles mais constitue aussi une piste contre le gaspillage alimentaire, indique le rapport. Ces arguments ont séduit plusieurs distributeurs, Auchan met par exemple des vrac qualitatifs en magasin en plus des trémies dédiés à son espace Self discount. Des contraintes subsistent Le rapport préconise une étude pour évaluer le coût du vrac. 1. 2. 3. 4.

Etude : Quel rapport ont les Français avec la cuisine ? Une étude internationale sur les connaissances, les expériences et les pratiques en matière de cuisine, vient d’être rendue publique. Réalisée au cours de l’été 2014 par le cabinet GFK, elle a été conduite auprès de 27 000 personnes réparties dans 22 pays. Sur les 1 504 Français interrogés, il ressort que c’est dans l’Hexagone que l’on trouve le plus de passionnés, bien que ce ne soit pas le pays où la population y consacre le plus de temps. Autre paradoxe plus surprenant, les Français manqueraient de confiance en eux quant à leurs compétences culinaires. 6,5 heures, c’est le temps moyen au niveau mondial dédié à la préparation des repas chaque semaine.

Les acteurs du Bâtiment : Métiers L'activité du Bâtiment s'inscrit dans un environnement que l'on nomme " la filière Bâtiment ". Différents acteurs y travaillent: les architectes, les bureaux d’études les promoteurs immobiliers, les industriels et les fournisseurs. Le maître d'ouvrage (le client) A l'origine de tous travaux, il y a un projet. Avant qu'il n'existe, quelqu'un a d'abord pris conscience d'un besoin de construction, de rénovation ou d’entretien.. des maîtres d'ouvrage publics qui appliquent le code des marchés publics : c'est par exemple le maire d'une ville qui construit une bibliothèque, un président de conseil régional qui construit un lycée, le ministère qui fait rénover les universités …. Le maître d'œuvre Avant de s'adresser aux entreprises, le maître d'ouvrage fait appel à un concepteur, dit " maître d'œuvre ". Lorsque un particulier, comme vous, fait appel à un professionnel pour réaliser des travaux d'entretien ou de rénovation dans son logement, l'entreprise peut être votre seul interlocuteur.

La vente en vrac séduit les consommateurs Acheter riz, café ou lessive, sans emballage, à la pesée : ce mode de consommation anti-gaspillage commence à prendre de l’ampleur. Au point d’arriver dans les hypermarchés. La tireuse à vin, la pompe à huile et les distributeurs de céréales devaient être remballés avant le 31 décembre. Chaque jour 300 clients, soit quasiment deux fois plus que prévu, se sont emballés pour le non-emballé, credo de cette Biocoop 21 éphémère, installée dans le 10e arrondissement de Paris. Intérêt des hypermarchés Pour les pionniers de la lutte anti-gaspi, la demande pour ce nouveau mode de consommation est bien réelle. « Nos rayons à la pesée avec [sac papier] connaissent déjà la plus forte progression dans tous nos magasins, souligne Claude Gruffat, président de l’enseigne bio. Fini les courses par paquets de douze, les chariots pleins à ras bord et les tickets de caisse longs comme le bras ? De 5 à 30 % moins cher Car pour l’instant, rien n’est vraiment fait pour faciliter la vente au poids.

FUN - Consommer responsable À propos du cours Comment consommer de manière plus responsable ? Quels sont les impacts de nos modes de consommation, vecteurs de transition et de respect de la planète ? De plus, les intervenants provenant de différents pays (Sénégal, Nigéria, Pays-Bas, Amerique du sud, Etats-Unis, Canada, Vietnam...) apporteront des éclairages différents sur ces questions et conféreront ainsi à ce MOOC, labellisé "COP 21", une dimension internationale. En conclusion, l'objectif de ce MOOC sera de vous aider à comprendre le lien entre nos modes de consommation au quotidien et leurs impacts environnementaux et sociaux, afin de montrer la nécessité de repenser nos modèles d’affaires pour un développement durable pour tous. Public Ce cours s'adresse à toutes les personnes s’intéressant à la mise en œuvre d’actions en matière de développement durable : professionnels, enseignants, étudiants et tout citoyen. Format Plan du cours S1 - Une dégradation qui continue malgré des mesures de protection

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