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MC2-echo-tendances-2014-12-coiffure.pdf

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16.000 salons de coiffure sont en vente en France - 1 octobre 2013 Thierry Tixier est directeur du Mondial coiffure beauté, un salon international qui s’est tenu à Paris du 28 au 30 septembre. Il répond aux questions de Challenges. La coiffure en France est-elle en train de sortir de la crise? Tous les voyants ne sont pas encore au vert, mais le climat est déjà bien meilleur que l’an dernier. Y-a-t-il trop de salons de coiffure en France? D’une certaine façon nous assistons en effet à une surabondance de l’offre. Dans quelle mesure le statut d’autoentrepreneur a-t-il gêné les salons de coiffure? Le principe de micro structure liée à la coiffure à domicile existait bien avant la création du statut d’autoentrepreneur.

Chiffres clés des métiers de la coiffure et de l'esthétique – Adhérents CEGECO Voici les chiffres-clés pour le public. Ils concernent notre observatoire Coiffure sur l'année 2009 Si vous souhaitez les chiffres réservés aux adhérents veuillez vous connecter en haut à droite. Le Cegeco-AGC (Association de Gestion et de Comptabilité) et le Cegeco-CGA (Centre de Gestion Agrée), en qualité de spécialistes des entreprises de coiffure depuis 40 ans disposent en interne d’un observatoire naturel de la profession. Il convient de vous rapprocher de votre comptable pour en avoir une lecture plus fine car ces données traduisent des moyennes tous types d’entreprises et tous statuts confondus. Données Cegeco-CGA observées sur exercice comptable 2008-2009 Le Chiffre d’affaires d’un salon français est de 88 900€ en moyenne. Le résultat courant : le salon de coiffure français dégage, en moyenne un bénéfice de 19,7% de son chiffre d’affaires (soit 17500€ pour un salon moyen en 2009). La valeur ajoutée permet de mesurer la création de richesse d’un salon :

Economie - Coiffure. Une activité qui frise la crise / Frédérique Le Gall / Il y a en France plus de salons de coiffure que de boulangeries. Deuxième employeur derrière le bâtiment, ce secteur de l'artisanat est champion du commerce de proximité et son chiffre d'affaires dépasse celui de l'optique. Mais la coiffure frise la crise car la demande ne suit pas cette offre pléthorique. Une force économique. Trop de coiffeurs ? Pas de numerus clausus. Les hommes deviennent des bons clients. 77,5 % des Françaises de 15 ans et plus fréquentent un salon de coiffure sur l'année.

XXL Coiffure Osez Le Relooking - Annemasse - Haute-Savoie (74) Coiffure Archives Êtes-vous fait pour ce secteur d'activité ? Compétences Qualification professionnelle Aptitudes commerciales Maîtrise de la gestion Spécificités Poids des investissements Importance de la qualité de l'emplacement Intensité de la concurrence Vie privée Niveau de rémunération Degré des contraintes horaires Facilité de remplacement Deuxième secteur de l’artisanat en nombre d’entreprises, la coiffure poursuit sa mutation. Bien que ce dernier soit traditionnellement très atomisé, le développement des réseaux sous enseigne s’accélère sous l’effet des stratégies de maillage territorial. Par ailleurs, favorisée par les plateformes d’intermédiation, la coiffure à domicile est en plein essor (elle représente aujourd’hui un quart des entreprises du secteur) et séduit de plus en plus une clientèle d’actifs en quête de gain de temps (prestations sur le lieu de travail, larges amplitudes horaires, etc.). Tendances L’organisation du marché (2) Source : INSEE, ESANE.

#Noé - Nouvelles opportunités économiques L’objectif du Gouvernement avec ce projet de loi, qui sera présenté début 2016 en Conseil des ministres : transformer le potentiel du numérique en opportunité pour tous, et faire en sorte que chacun trouve sa place dans cette transformation. "La révolution numérique et les nouvelles technologies transforment en profondeur notre économie. Ne pas anticiper ces mutations, c’est se condamner à les subir. Les préparer, c’est au contraire en faire une opportunité", a expliqué Emmanuel Macron le 9 novembre devant des acteurs de l'économie numérique. Il convient faire d’avancer sur 3 priorités : Faire émerger une économie de l’innovation : - En adaptant notre structure de financement, en soutenant le financement en capital, l’ investissement productif et l’investissement dans l’immatériel. - En ouvrant les données. Soutenir la numérisation des secteurs traditionnels de l’économie, comme l’artisanat et le commerce. - En adaptant les niveaux de qualification.

Tendance low cost : le salon de coiffure express dans les lieux publics Profiter d'un emplacement hyper fréquenté pour offrir un service low cost, c'est une idée qui cartonne. Nicolas Langer, jeune diplômé d'une école de commerce a imaginé ce concept après une première expérience chez L'Oréal et Coty aux USA. " C'est un mélange de "time is money et de pop-up store" (magasin éphémère) " explique son père, Patrick Langer, responsable du développement de l'enseigne Beauty Bubble. Ce concept associe le prix low cost (à partir de 10 euros la coupe) avec le potentiel, en termes de nombre de chalands, des lieux de passage type gares métros, aéroport, centres commerciaux ou hypermarchés comme Carrefour Planet qui accueille quelques salons Beauty Bubble au coeur de ses rayons cosmétiques. Pas plus de 15 minutes par clients, plus de 100 personnes par jour, ouvert de 7h30 à 19h30, pas de shampoing donc pas d'eau (coupes sur cheveux propres), des gestes millimétrés (la technique a été importée de Grande Bretagne).

Problem loading page Pour essayer de revaloriser une profession qui souffre, le Conseil National des Entreprises de Coiffure lance une campagne de sensibilisation. Avec un objectif : attirer l’attention du grand public sur le professionnalisme des employés du secteur. « Le secteur de la coiffure est en crise », analyse Franck Provost, Président du Groupe Provalliance et du Conseil National des Entreprises de Coiffure (CNEC). Dans les faits, les entreprises du secteur ont vu leur chiffre d’affaires chuter de 21% en 2011 et ont perdu 10% de leur effectif. Alors que les clients se rendaient en moyenne six fois chez le coiffeur avant la crise de 2008, aujourd’hui les Français visitent en moyenne 4,5 fois par an les salons de coiffure. Sous fond d’érosion de la clientèle et de précarisation des employés, le CNEC souhaite revaloriser la profession de coiffeur et l’ensemble du secteur.

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