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Pourquoi la génération Z va semer la pagaille dans l'entreprise - 28 janvier 2015

Pourquoi la génération Z va semer la pagaille dans l'entreprise - 28 janvier 2015
Les entreprises perdaient déjà leur latin avec la génération Y- zappeuse, frondeuse, insoucieuse des hiérarchies. La vague suivante, la génération Z, s’annonce comme une déferlante plus redoutable encore. Car les moins de vingt ans, nés après 1995, portent un regard très dur sur l’entreprise tout en ayant des attentes extrêmement fortes à son égard. Alors que leur seul contact avec l’entreprise s’est limité, pour la grande majorité, à un stage en classe de troisième, les moins de vingt ans emploient des mots très durs pour la qualifier. Ce portrait noir ne rime pourtant pas avec un dégoût de l’entreprise, perçue d’abord comme stressante. Une refonte des attributs du leadership La génération Z exige aussi une refonte des attributs du leadership. La génération Z attend également un véritable engagement éthique de l’entreprise. Ni hipsters, ni intellos, ni geeks Plus encore que leurs aînés, les Z accordent une grande importance à leur réseau.

Comment recruter et fidéliser la génération Z ? Les centennials arrivent sur le marché de l’emploi. Malgré la crise, ils se montrent exigeants à l’égard des employeurs. La génération Z, également connue sous le terme de centennials, est composée de jeunes nés à partir des années 90. Digitalisés, connectés, ils frappent à la porte des entreprises. Dans les années à venir, ils vont faire évoluer profondément le rapport au travail ou à la hiérarchie. Reste à savoir comment les employeurs peuvent réussir à les attirer et à les fidéliser. Les Z, une génération sacrifiée ? "Globalement, les principales caractéristiques de la génération Z commencent à être connues du grand public et des employeurs. "La mobilité est désormais choisie et non plus subie" "Paradoxalement, la crise serait pour eux une raison de se montrer plus exigeant à l'égard des employeurs" "Les Z c'est totalement différent. Face à la crise, carpe diem "Les Z veulent profiter du temps présent pour s'investir à fond dans les missions qui leur sont confiées" Métro, boulot, dodo ?

13 excellentes raisons de quitter son job en 2014 13 excellentes raisons de quitter son job en 2014 Haydée (en photo) de travelplugin.com est une blogueuse qui ne mâche pas ses mots… Elle partage avec nous son article et propose 13 bonnes raisons de changer de travail en 2014 ! Tel des chats d’appartement, nous pouvons rester cloîtrés chez nous toute une vie sans jamais appréhender le monde qui nous entoure. Et bien il en va de même avec notre travail. La pression sociale ne nous définit plus que par notre emploi. Mais le bon soldat aussi à besoin de se rebeller. J’ai un job bien payé mais mon âme est malheureuse… Ce n’est pas moi ! Il y a quelques années, j’ai lâché le monde de l’entreprise. Nous n’avons rien sans rien et j’aime le risque. Et nous sommes loin d’être les seuls ! Alors si comme moi vous rêvez de vous accomplir sans bosser pour un autre, j’ai 13 arguments qui vous aideront peut-être à quitter votre job. 1. Tous les jours de votre misérable existence sont régis par cet impératif routinier. 2. Sont-ils satisfaits ? 4. 5. 6. 7.

La mauvaise e-réputation - Nouvelles technos Frasques de jeunesse, histoires sentimentales ou fautes professionnelles : tout circule sur Internet, et rien ne se jette. Dès lors, comment faire pour ne pas rester marqué à vie quand son image est ternie ? Enquête, alors qu'arrive sur les écrans “The Social Network”, le film de David Fincher sur Facebook. Elle est brune, classe et lasse. Dans un café parisien, elle raconte, sous couvert d'anonymat, ce qui lui pourrit la vie depuis huit ans : un blog ! Sophie (appelons-la ainsi) avait 20 ans à l'époque et revenait d'un camp de jeunes. Sophie n'est pas un cas. “Les fâcheries, qui se réglaient autrefois dans la cour devant trois témoins, se concluent sur Facebook à la vue de tous.” On applaudit la société numérique, extraordinaire aiguillon démocratique. Dans un café, Dylan et ses copains, 15 ans, ont chacun « deux cents à six cents amis » sur leur compte Facebook. L'enjeu, pour ces ados comme pour tous, est de pouvoir, le jour souhaité, tout effacer. Mais la contestation monte.

Pour recruter la génération Z, les entreprises devront changer d'outils Ultra connectés et en attente de relations plus humaines, la nouvelle génération pousse les ressources humaines à se réinventer. Les jeunes nés à partir des années 90 commencent à entrer en force sur le marché du travail. Pour trouver un emploi, ils n'ont nullement l'intention de se limiter à l'envoi massif de CV et de lettres de motivation sur des sites Internet sans âme. Pour eux, l'entreprise ne doit pas être en position de force et sélectionner les candidats sur des motifs qu'ils jugent futiles. Les employeurs ont donc intérêt à revoir entièrement leurs outils de recrutement. Un vaste chantier qui n'est pas que du ressort des ressources humaines. "La génération Z recherche un recrutement agile, mobile, digital et humain" François Geuze, maitre de conférences en ressources humaines à l'université de Lille est catégorique : "La génération Z a un nouveau rapport au travail. D'après le spécialiste, cette nouvelle génération changera à court terme le secteur du recrutement.

Le choc des générations BB, X et Y : comment travailler ensemble ? En quoi les différentes générations vont-elles remodeler le marché du travail ? C’est à cette question que le cabinet de recrutement Hudson a voulu répondre avec son enquête sur les générations BB (les baby boomers nés entre 1946 et 1964), la génération X (1965-1979), la génération Y (1980-1994) et la génération Z (les jeunes mutants nés après 1995). Des générations qui on un rapport différent au travail. Voici leurs particularités et leurs façons de pensée. Les baby-boomers, des leaders-nés ? Entre ces quatre générations qui doivent travailler ensemble, il y a parfois un demi-siècle d’écart. Les Y ont une préférence pour l’abstraction A l’opposé de ces compétences opérationnelles, la génération Y « a une préférence beaucoup plus marquée pour la pensée conceptuelle » et semble moins tournée vers la stratégie que les Boomers. Quelle place pour la génération X ? Entre ces deux générations très différentes, les X ont toujours du mal à se frayer un passage.

La e-réputation en 10 points clés Nous le constatons tous les jours : la question de la e-réputation monte en puissance. Pas seulement sur le web, où tout le monde en parle, mais aussi et surtout dans les comités de direction. Pour beaucoup, c’est un réflexe de protection face aux attaques potentielles sur Internet. Dans un monde connecté et en conversation, c’est une préoccupation légitime. Toutefois, entre gestion de crise sur le web et gestion de la réputation, il y a un océan. 1 – La e-réputation n’existe pas en soi. 2 – Travailler sur la e-réputation, c’est comprendre les ressorts de la réputation. 3 - La réputation, avec son sous ensemble de e-réputation, se gère comme un actif stratégique. 4 – Le diagnostic de e-réputation est un moment fondateur. 5 – La e-réputation se conçoit comme une démarche de progrès, au service de la stratégie d’entreprise. 6 – La e-réputation présente deux versants : risques/opportunités. 7 – Les collaborateurs, comme les dirigeants, sont vecteurs de réputation sur le web.

Connaissez-vous la génération K Après la génération Y et Z, place à la génération K. Ce concept a été utilisé pour la première fois par la Londonienne Noreena Hertz, économiste de renom, pour désigner ceux qui sont nés entre 1995 et 2015. L’auteure de « Eyes Wide Open » (« Les Yeux grands ouverts ») a interrogé deux mille ados âgés de quatorze à vingt-et-un ans au cours des dix-huit derniers mois. Dans une tribune publiée le 19 mars dans le « Guardian », elle décrit une génération plutôt « inquiète » et « méfiante ». Pourquoi la lettre K ? Que retenir de son travail d’enquête ?

Ce que l’entreprise devra changer pour intégrer la génération Z A peine les entreprises ont-elles intégré la génération Y qu’elles doivent déjà penser à la prochaine génération d’embauchés, la génération Z. Celle-ci arrivera d’ici quelques années en masse sur le marché du travail. Dans sa besace, une nouvelle culture misant notamment sur l’utilisation intensive des outils numériques et une incarnation plus poussée des valeurs. Quels changements l’entreprise devra envisager ? Fonctionner en réseaux numériques pour appréhender la complexité du monde Plus les années passent, plus le monde progresse vers une complexité accrue. L’hyper-socialisation, les liens numériques à outrance font partie du code génétique de cette génération. Ces jeunes arriveront ainsi dans le monde de l’entreprise avec leurs habitudes numériques et leurs outils connectés : téléphone, montre, tablette, etc. L’entreprise aura besoin des compétences de la génération Z pour comprendre et utiliser les réseaux numériques. Extraire la valeur de l’information Capter le talent personnel

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