background preloader

Roland Barthes, Mythologies (1957)

Roland Barthes, Mythologies (1957)

La Condition postmoderne Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La Condition postmoderne. Rapport sur le savoir (1979) est un ouvrage de Jean-François Lyotard, qui a popularisé le paradigme esthétique de postmodernisme dans les milieux universitaires. Il s'agit à l'origine d'un « Rapport sur le savoir au XXe siècle », commandé par le gouvernement du Québec[1]. Il considère en particulier que la question du progrès scientifique est bouleversée par l'« incrédulité » envers les métarécits, c'est-à-dire des schémas narratifs totalisant et globaux qui visent à expliquer l'intégralité de l'histoire humaine, de l'expérience et de la connaissance. La Condition postmoderne et le postmodernisme[modifier | modifier le code] Les bouleversements du savoir[modifier | modifier le code] La fin des métarécits[modifier | modifier le code] La notion de sujet de la connaissance est difficile à circonscrire : nombreux sont les philosophes analytiques [Qui ?] Notes[modifier | modifier le code]

Serge Maisonnier Postmodernisme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le postmodernisme désigne, dans son sens restreint[1] un mouvement artistique, théorisé par le critique d'art Charles Jencks[2], qui engage une rupture ironique avec les conventions anhistoriques[3] du modernisme en architecture et en urbanisme, tout particulièrement avec les prétentions à conclure l'histoire et à ignorer la géographie. Dans Le Langage de l'architecture postmoderne, paru à Londres en 1977[4], qui est le livre-manifeste de ce mouvement[5], Charles Jencks réinscrit l'architecture dans le fil d'une histoire générale des mouvements artistiques, incite à un retour aux compositions et aux motifs empruntés au passé[6], à un éclectisme s'appuyant sur un regard nouveau portant aussi bien sur la culture populaire et son expression architecturale (le « vernaculaire commercial » de Robert Venturi[7]), que sur la culture savante (le « néoclassique » de Ricardo Bofill). Le Ray and Maria Stata Center au MIT. Delcol.R..

Théorie littéraire Fabula L'Atelier de théorie littéraire vient de mettre en ligne un texte de N. Geneix sur la collection "Petite planète", longtemps parue aux éditions du Seuil "sous la direction de" Chris Marker: l'entrée "Collections" de notre encyclopédie devient ainsi une collection de collections, où l'on trouve déjà des réflexions sur La "Bibliothèque de la Pléiade". Travail éditorial et valeur littéraire (avant-propos du volume collectif dirigé par J. Gleize et Ph. L’équipe du séminaire « Anachronies - Textes anciens et théories modernes » poursuit ses activités pour une nouvelle année universitaire. Parmi les nouveautés de l'Atelier, on pourra découvrir ou redécouvrir les actes d'un "chantier" initié par des enseignants de l'Université Paris 8 sous le titre Banlieues de la théorie, d'abord paru dans l'Agenda de la pensée contemporaine (Flammarion, 2008): la théorie est-elle par nature et fonction ex-centrique, vouée aux marges et à la marginalité? Dans Spectres de Goethe.

Stalker est le blog érudit et polémique de Juan Asensio, auteur, essayiste et critique littéraire Le soldat à la tête bandée, le poète à la tête étoilée Les jalouses Patries m’ont déchirée un jour,Moi ! la Pensée, Moi, l’Art, et Moi, l’Amour !Mais malgré leurs flèches sûres,Mon corps est splendide toujours.Car elles ont fleuri, mes blessuresGuillaume Apollinaire (« Je suis la vie », 1916) 1 Silver (Kenneth E.), Vers le retour à l’ordre. 1Comme ce fut le cas pour « les peintres d’avant-garde, qui en étaient arrivés à partager une foi fondamentale dans la moralité de l’effort de guerre entrepris en France1 », Apollinaire « ne doute pas un instant, au début des hostilités, de la nécessité pour lui de combattre du côté des Français2 ». 5 Apollinaire (Guillaume), « 2e canonnier conducteur », dans Œuvres poétiques, préface d’André Billy (...) 6 « Lettre à Louis de Gonzague Frick », Po., p. 803. 2Le 3 août, la France déclarait la guerre à l’Allemagne ; le 5, Apollinaire entreprenait des démarches pour s’engager dans la légion étrangère. 7 Apollinaire (Guillaume), « Lettre 219, 16 décembre 1915 », dans Lettres à Lou, Paris, Gallimard, co (...)

Pierre Reverdy le monde comme une pendule s'est arrêté les gens sont suspendus pour l'éternité. Alors je prie le ciel Que nul ne me regarde Si ce n'est au travers d'un verre d'illusion Retenant seulement sur l'écran glacé d'un horizon qui boude ce fin profil de fil de fer amer si délicatement délavé par l'eau qui coule les larmes de rosée les gouttes de soleil les embruns de la mer. Pris dans les rafales du temps, glissement lent des plis du jour sur les plis des jours, la poésie de Reverdy s'éloigne pour les lecteurs négligents. Pierre Reverdy, l'ermite de Solesmes, est un poète passé de mode, lui qui fut longtemps considéré comme le plus grand. Notre Narbonnais aux sourcils noirs, à la mèche combattante et à l'accent épais et râpeux comme le vin lourd de la Clape, est décrété trop monotone. Oui, on ne peut mettre en chansons ses poèmes qui sont une musique en équilibre sur les toits du silence. Oui, il est sombre. L'éther qui nous entoure aussi le savez-vous ? Un homme est tombé haut de la page L'ÉTOILE échappée Soi

Ebooks libres et gratuits Wikisource

Related: