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La Mesure, monnaie complémentaire

La Mesure, monnaie complémentaire

Euskal Moneta | Monnaie Locale en Pays Basque CHIEMGAUER: Aktuell Montreuil en Transition » Dynamique locale pour changement global Moselle | « La dette a été créée artificiellement » Les monnaies locales, déjà très présentes dans le monde depuis plusieurs décennies, se multiplient aujourd’hui, en France. À la place de l’euro, des centaines de commerçants, artisans, entreprises, agriculteurs, particuliers, etc. payent en sol violette (Toulouse), en abeille (Lot) ou en luciole (Rhônes-Alpes). C’est au tour de la Gaume en Belgique et au Pays-Haut, et peut-être bientôt du reste de la Lorraine de s’y mettre, avec l’arrivée espérée de l’épi lorrain. Philippe Derudder, grand spécialiste national de ces petites « révolutions », proposera à ce sujet deux conférences intitulées « Pour que la monnaie serve au lieu d’asservir » : ce soir, à 20h, au centre culturel et sportif de Virton, et jeudi, à 20h15, salle Victor-Hugo à Mont-Saint-Martin. Parlez-nous de votre parcours atypique. Philippe DERUDDER : « Entre 1980 et 1992, j’ai été patron d’une entreprise familiale locale devenue internationale. Comment en êtes-vous venu à vous intéresser à l’économie ? Qu’avez-vous découvert ?

"La proximité, nouvel enjeu de société" par Philippe Lalik Eco-Iris, une monnaie complémentaire pour Bruxelles | Le blog d'Alter Echos Cela fait des années que des projets de monnaies alternatives émergent ici et là. Des projets bourrés d’idées et d’idéaux, plein de bonne volonté, mais rien de très structuré jusqu’ici. Une situation qui évolue pourtant radicalement ces derniers temps, notamment sous l’impulsion du Réseau Financement Alternatif (RFA), qui a mis en place une stratégie de groupes locaux développant des projets d’économie alternative. Il a aussi contribué à la réflexion sur une monnaie complémentaire pour la Région bruxelloise : l’Eco-Iris. Dans son rapport annuel 2010, le Réseau Financement Alternatif expose en effet la mise en place d’une nouvelle stratégie pour donner un coup d’accélérateur à la création de monnaies locales. FINANcité s’emploie ainsi à aider des groupes qui agissent dans un premier temps sur la formation et l’information et qui peuvent aller jusqu’à la mise sur pied d’une monnaie alternative. A ce sujet, lire notre focus : “L’épi en guise de blé” Arnaud Grégoire

"Pour une monnaie complémentaire dans le Gâtinais" par Philippe Lalik Généralement ignorées par le grand public, les expériences mettant en pratique des monnaies complémentaires aux monnaies officielles se multiplient à travers le monde depuis une quinzaine d’années à la faveur des crises économiques et financières successives. Les citoyens, et parfois les institutions, qui se trouvent dans des situations chaotiques s’efforcent de faire face aux difficultés qu’ils rencontrent et sont souvent amenés à recourir à la création de monnaies régionales. Ces dernières ont été utilisées à maintes reprises dans les pays d’Europe de l’est après l’effondrement du bloc soviétique ou en Argentine plus récemment. l’essor le plus important tant en ce qui concerne la durée d’utilisation que la diversité de forme et de fond. Le livre de référence [ 1 ] sur le sujet écrit par Bernard Lietaer (l’un des fondateurs de l’Ecu, prédécesseur de l’euro) et Margit Kennedy en 2004 dresse un état détaillé des multiples expériences tentées à travers la planète. Ce propos doit en transition. 1. 2.

L’épi lorrain s’installe à côté de l’euro L’épi lorrain vient de prendre place aux côtés de l’euro. Les personnes (ouvriers, professeurs, journalistes économiques etc.), Français, Belges et Luxembourgeois, qui travaillent depuis plus d’un an et demi à l’installation de cette monnaie complémentaire ont lancé leur expérimentation, jusqu’au 31 décembre. « Ce sont les banques qui créent la monnaie à notre époque, les États leur ayant cédé ce droit régalien. Le privé n’a pas pour intérêt l’intérêt général, ce qui conduit à des crises comme nous en connaissant aujourd’hui. L’idée est donc de favoriser les ventes et achats de produits locaux « de première nécessité (aliments, vêtements, construction, bâtiment etc.) » en créant un réseau. « Jusqu’à la fin de l’année, on expérimente dans trois commerces de l’autre côté de la frontière : épicerie et boucherie à Meix et Chiny. Deux conférences sont programmées, avec l’un des plus grands spécialistes mondiaux des monnaies locales, Philippe Derruder.

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