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Hadopi/loppsi

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Dis, c’est quoi OWNImusic? » Article » OWNI, Digital Journalism. Loppsi. Loppsi, faux prétextes & démesures. Loppsi. Untitled. Untitled. Comment assister aux débats ? :: DéputésGodillots.info. Contrairement à l’idée reçue généralement établie, il est très simple d’assister aux débats de l’Assemblée nationale. Le passage en hémicycle de la loi LOPPSI est une bonne occasion de s’y rendre. Entrée publique de l'Assemblée nationale Il suffit tout d’abord de repérer son député sur le site de l’Assemblée et de le contacter, par e-mail ou plus directement en téléphonant à sa permanence où l’un de ses assistants parlementaires vous répondra.

Le numéro de téléphone est généralement disponible sur la fiche de chaque député ; dans le cas contraire vous pourrez le retrouver sur le wiki de la Quadrature du Net. Demandez tout simplement un billet de séance pour chaque journée qui vous intéresse (attention un billet est valable pour toutes les séances de la journée à l’exception des questions au gouvernement du mardi et du mercredi à 15h, si vous souhaitez également assister à ces séances généralement très fréquentées, veillez à demander également le billet associé).

Quand l'Assemblée ferme la porte aux "blogueurs" - LePost.fr. Les bancs de l'Assemblée Nationale | MAXPPP Cela n'a pas été immédiat. Il y a eu de l'hésitation, plusieurs coups de fil, mais finalement... L'Assemblée nationale vient de refuser d'accréditer les envoyés spéciaux du Post pour couvrir les débats sur la LOPPSI, la nouvelle loi sur la sécurité. Leur tort: ce sont des "blogueurs". Nous avons eu la naïveté de le préciser dans notre demande. "Ils peuvent suivre les débats dans la tribune réservée au public, ou suivre les débats retransmis en vidéo par l'Assemblée", nous répond-on.

On est alors tenté de se dire: bah oui... C'est vrai... sauf que non. Explication. Pourquoi Le Post fait appel à des "blogueurs"? OK... mais c'est qui vos blogueurs, en l'occurrence? Bon OK... mais pourquoi ne suivent-ils pas les débats en vidéo ou en tribune publique? Bon OK OK, mais il y a la vidéo en direct, non?

Mais cela va encore plus loin...Tangui et Benjamin vont suivre tous les débats: ce mardi soir, mercredi journée, soir, jeudi... Blocage des sites pédopornographiques (suite) « Criminalités num. Assemblée nationale (Photo: GPL) Préambule En préambule, je tiens à rappeler certains éléments de contexte sur le projet de blocage des sites pédopornographiques: L’idée n’est pas née en France, mais est défendue par ses services spécialisés suite à plusieurs années d’échanges avec nos collègues, en Europe notamment, qui ont initié le même type de projets (voir le site Web du projet CIRCAMP);Le blocage n’est pas une fin en soi. L’objectif est de contribuer à la lutte contre la diffusion des contenus pédopornographiques, dont j’ai déjà expliqué ici qu’il comportait de nombreuses facettes;Si ce dispositif spécifique était décidé par le législateur, nous ne déclarerons nullement victoire, car il y a encore beaucoup de pain sur la planche, et comme pour beaucoup de sujets qui touchent à la lutte contre la délinquance, les moyens humains et financiers sont cruciaux.

De nouveaux éléments de débat ? Qu’apportent ces nouveaux arguments au débat ? Quid des autres arguments ? En conclusion: Like this: LOPPSI : le blocage des sites est adopté par l'Assemblée - Numer. Les pédophiles n’ont rien à craindre de la LOPPSI. Les internaut. Le filtrage de l'internet, adopté ce jeudi 11 février à l'Assemblée nationale, dans le cadre de la Loppsi 2, n'a pas pour objectif d'empêcher les pédophiles de consulter des sites pédopornographiques. D'une part parce que la pédopornographie, ça n'existe pas.

Ensuite (et surtout), parce que le filtrage de l'internet que prévoit le projet de loi ne concerne aucunement les pédophiles avérés, mais les internautes qui, par mégarde ou par naïveté, pourraient éventuellement y accéder. Et encore : il s'agit moins d'empêcher ces internautes de devenir pédophiles que de leur éviter de se faire escroquer... A contrario, cette mesure ouvre la boîte de Pandore du filtrage de l'internet, suivant en cela la préconisation de Nicolas Sarkozy qui, récemment, déclarait à propos de l'Hadopi qu'il "faut expérimenter sans délai les dispositifs de filtrage", afin de lutter contre le "piratage". La pédopornographie, ça n'existe pas Le propos peut paraître outrancier, il ne l'est pas. Que risque-t-on en allant sur un site de streaming illégal ? | E. Le risque d’être poursuivi pour avoir regardé en streaming un film piraté est quasi-inexistant. « Quasi », car certains juristes tatillons estiment que, même s’il n’y a pas de téléchargement, les internautes se montrent bel et bien complices de piratage.

D’abord, se demande Watashi_baka, « comment savoir si un site de streaming est légal ? » Comme le note G-Y.M, « un peu de bon sens » suffit. Il y a des « règles évidentes », confirme Stephanemot : la qualité de l’image, les logos tronqués ou les liens vers lesquels renvoie la vidéo peuvent être autant d’indices. Des sites légaux avec des contenus illégaux La subtilité, comme le note Guyome, c’est que l’essentiel n’est pas la légalité du site : c’est celle de ses contenus. D’un côté, des sites de streaming qui violent clairement le droit d’auteur en ne proposant que des films ou des séries piratés. Dans les deux cas, le simple spectateur n’a pas grand-chose à craindre. Un stockage provisoire de la vidéo sur votre ordinateur. Hadopi : TF1 devra dire aux spectateurs qu'elle a trahi la réali. Calogero, soutien de la loi Hadopi, condamné pour contrefaçon de. Si vous suivez l'actualité du piratage en France, vous avez sans doute remarqué que certains artistes s'engagent régulièrement dans des campagnes médiatiques en faveur du téléchargement légal.

L'un des plus assidus dans ce domaine est sans aucun doute Calogero, puisqu'on pouvait retrouver le chanteur dès 2005 dans une campagne d'affichage - "Téléchargez-moi légalement" - lancée par le SNEP (Syndicat National de l'Edition Phonographique). Plus récemment, c'est à l'occasion des débats sur la loi Hadopi que Calogero s'est à nouveau manifesté, en signant un appel contre le téléchargement illégal des œuvres protégées par le droit d'auteur, aux côtés de 51 autres chanteurs et chanteuses. Publié dans le Journal du Dimanche, ce texte soutenait très clairement le projet de loi - qui a subi l'humiliation de la censure constitutionnelle - Création et Internet. "Nous sommes inquiets, très inquiets. La France a créé les droits d'auteur" avaient écrit les 52 artistes.