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Partie 3

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Ce que l’on sait du scandale qui éclabousse la FIFA. La publication, mercredi 3 juin au soir, des aveux de Chuck Blazer, ancien haut-responsable de la Fédération internationale de football (FIFA), qui a reconnu devant les enquêteurs américains avoir touché des pots-de-vins pour l’attribution des Coupes du monde 1998 et 2010, a provoqué un nouveau séisme dans le monde du football.

Ce dernier avait déjà été ébranlé par une première secousse, le 28 mai, lors de l’arrestation de 14 personnes, dont sept membres de la FIFA, soupçonnés de corruption et par une seconde, mardi 2 juin avec la démission de son président tout juste réélu, Sepp Blatter. Lire le détail des révélations : Un ancien haut dirigeant de la FIFA admet avoir reçu des pots-de-vin pour les Mondiaux 1998 et 2010 Lire notre chronologie : Arrestations, démission, corruption : la folle semaine de la FIFA Quels sont les faits reprochés ? La justice américaine a dressé un état des lieux accablant d’une corruption, selon elle « endémique », au sein de la FIFA. Athlétisme : dopage, corruption, ce que l’on sait du scandale - 9 novembre 2015. Après le scandale de la Fifa qui a ébranlé le football mondial, c’est au tour de l’athlétisme d’être secoué par une affaire de corruption et de dopage de grande ampleur. Des responsables de la fédération internationale d'athlétisme, l'IAAF, et non des moindres, en particulier son ancien président Lamine Diack, sont soupçonnés d'avoir reçu des sommes d'argent en contrepartie de la couverture de pratiques dopantes, principalement en Russie.

La commission d'éthique de l'IAAF a annoncé vendredi avoir engagé des procédures disciplinaires contre quatre personnes dont son ancien responsable antidopage et un fils Diack. Ce lundi 9 novembre, le monde sportif attendait avec impatience les conclusions d’une commission d’enquête indépendante de l’Agence mondiale antidopage (AMA). Et il n'a pas été déçu. L’affaire est sans précédent et risque d’être dévastatrice. Le point sur ce que l’on sait. # Près d'un million de pots-de-vin Des chiffres circulent : entre 500.000 et un millions de dessous-de-table. Jean-Pierre de Mondenard. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Il a exercé à l'Institut national des sports de 1974 à 1979 et suivi en tant que médecin la plupart des grandes épreuves cyclistes, notamment le Tour de France à trois reprises de 1973 à 1975[3], Paris-Roubaix, Paris-Tours, Paris-Bruxelles, le Tour de l'Avenir, etc.

Il pratique lui-même assidûment la course à pied, la randonnée pédestre et surtout le vélo dans lequel il totalise plus de 300 000 km[4] et plus de 1 500 ascensions de cols. Il collabore à différentes publications grand public et médicales. Écrits[modifier | modifier le code] Sur le thème du dopage[modifier | modifier le code] Thèse de médecine : « Activités médicales au sein du cyclisme de compétition » Toulouse (31), éd. Cepadues, 1974, 97 p. . « Document dopage » (sous sa direction) Caducycle 1979;7, no 26, juin, p. 1-60Avec Bernard Chevalier, Le dossier noir du dopage, Paris, éd .

[modifier | modifier le code] Sur le thème du cyclisme[modifier | modifier le code] Et la RDA inventa le dopage d'Etat. Même les plus aveugles entre ceux qui aiment le sport, même ceux qui sont animés d’un esprit de supporter et pour lesquels la fréquentation des stades est une raison de vivre, tous ceux là se posent quand même des questions sur la sincérité du spectacle que l’on met sous leurs yeux… Quelles questions ? Le sport est-il honnête, c’est-à-dire pratiqué par des acteurs non dopés ; ou encore, n’est-il pas corrompu par un excès d’argent ?

Peut-on « acheter un match », un arbitre, un adversaire ? Ces idées, absentent des esprits il y a une trentaine d’années, sont maintenant dans les cerveaux les moins pervers. La mise en ligne de paris sur les rencontres ou épreuves, la création de véritables trusts regroupant sous la même enseigne des sportifs de haut niveau et un marchand de droit télévisés, vont demain ajouter du poids au doute qui règne déjà sur l’équité, l’éthique du spectacle sportif. Un cocktail savoureux Les femmes deviennent des hommes Les hommes deviennent des femmes. L.A. Confidentiel : Les secrets de Lance Amstrong - Pierre Ballester, David Walsh. Comment Mandela a utilisé le rugby pour sa "nation arc-en-ciel" Printemps 1995. Nelson Mandela est le président de l'Afrique du Sud depuis un an. Après des années de contestation et d'opposition au régime en place, il découvre alors, comme d'autres icônes avant lui, le dur apprentissage du pouvoir. La situation économique, difficile, entraîne notamment une multiplication des grèves et une criminalité toujours très importante.

Surtout, même si l'apartheid n'existe plus, Blancs et Noirs se regardent toujours en chiens de faïence et s'évitent. Rugby, sport des Blancs ; foot, sport des Noirs A la même période, l'Afrique du Sud s'apprête à devenir le centre de l'attention internationale pendant un mois : entre fin mai et fin juin, le pays va accueillir la Coupe du monde de rugby, troisième du nom. Nelson Mandela a alors une intuition pour le moins à contre-courant : celle d'utiliser la compétition pour fédérer la majorité noire, qui ne connaît quasiment pas les règles du rugby, autour d'une passion partagée par la minorité blanche. Exagération ? Le Président saisit la balle au bond. La symbolique tient une grande part en politique. Jacques Chirac le sait. Et en joue. Ajoutez la chance, le pif, et ça donne cette Marseillaise sifflée par les nationalistes, samedi, pour la finale de la Coupe de France de football, le coup de gueule présidentiel, des excuses.

Et en dessert, un «bien joué», décerné au chef de l'Etat par Dominique Voynet, la secrétaire nationale des Verts. A peine réélu, le Président a su se démarquer, avec cette colère froide, de Lionel Jospin, qui, le 6 octobre, lors du match France-Algérie, n'avait pas quitté la tribune présidentielle lorsque l'hymne national avait été hué. La droite en avait fait un sujet de polémique. Crédibilité. En reprenant au vol cette Marseillaise sifflée, Chirac prouve une fois de plus sa capacité de réaction. Communautarismes. Gilles BRESSON. Pour Nelson Mandela, le sport était un vecteur d’unité. De Nelson Mandela, les amateurs de sports garderont quelques images fortes. La première remonte au 24 juin 1995 à Johannesburg. Ce jour-là, dix-huit ans avant son dernier soupir, l’homme politique sud-africain remet le trophée William Webb Ellis au capitaine des « Springboks », le blond François Pienaar.

L’équipe nationale de rugby à XV vient de gagner la Coupe du monde, à domicile. Nelson Mandela a compris le bénéfice qu’il peut retirer de ce Mondial. Le football, de la prison au Mondial 2010 Toutefois, l’ancien président sud-africain (1994-1999) entretient à cette époque un rapport plus étroit avec le football qu’avec le rugby. C’est donc un trophée doublement symbolique que Nelson Mandela remet plus tard à Neil Tovey, le capitaine des « Bafana bafana » . « Le sport a le pouvoir de changer le monde » Par la suite, Nelson Mandela persiste dans son utilisation du sport. L’ancien leader de l’ANC n’a jamais manqué une occasion de rappeler tout le bien qu’il pensait du sport.