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Homosexualité

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Le couple dans tous ses états. 32 millions de personnes en couple Partager la même résidence que son conjoint, de sexe différent, et avec lequel on est marié est un mode de vie en couple, mais ce n’est pas le seul.

Le couple dans tous ses états

Au-delà de cette figure traditionnelle de la conjugalité, qui reste prépondérante, l’enquête Famille et logements (sources) permet d’appréhender la réalité plus diverse des couples. En France métropolitaine, 31,7 millions de personnes majeures déclarent début 2011 être en couple, qu’elles soient mariées, pacsées ou en union libre, que leur conjoint soit ou non de sexe différent et qu’il vive ou non dans le même logement, avec ou sans enfants. Parmi elles, 23 millions sont mariées et partagent la même résidence que leur conjoint, de sexe différent (tableau 1), soit 72 % des adultes en couple. tableau Tableau 1 – Nombre et répartition des personnes se déclarant en couple. Homophobie : pourquoi notre journal a décidé d’afficher les “visages de la haine” En dénonçant les propos homophobes tenus par de nombreux internautes sur la page Facebook de L’union-L’Ardennais, la rédaction châlonnaise ne s’attendait pas à un tel « buzz » médiatique.

Homophobie : pourquoi notre journal a décidé d’afficher les “visages de la haine”

D’un simple fait divers, c’est aujourd’hui un véritable fait de société qui est dénoncé : quelles sont les limites des propos que l’on tient sur la Toile, qui plus est sur un compte public ? Un simple fait divers Tout a donc commencé dimanche 20 novembre. Les deux journalistes de permanence, Déborah Coeffier et Marion Bertemes, remarquent que les affiches de la campagne Sexosafe, initiée par le ministère de la Santé pour informer sur la « prévention du VIH et des infections sexuellement transmissibles chez les hommes ayant des rapports sexuels avec les hommes », et sur lesquelles on voit deux hommes en train de s’enlacer ou de s’embrasser, ont été taguées.

De la pédagogie Assumer ses propos et ses choix La rédaction décide alors d’aller au bout de sa démarche. Homophobie. L'homophobie est le mépris, le rejet, ou la haine envers des personnes, des pratiques ou des représentations homosexuelles ou supposées l'être.

Homophobie

L’homophobie englobe donc les préjugés et les discriminations, et cela peut se manifester par de la peur, de la haine, de l'aversion, du harcèlement, de la violence ou encore de la désapprobation intellectuelle intolérante envers l'ensemble de la communauté LGBT[1],[N 1]. « De même que la xénophobie, le racisme ou l'antisémitisme, l'homophobie paraît être une désignation de l'autre comme le mauvais contraire, inférieur ou anormal »[2]. L'homophobie peut aller jusqu'au meurtre, ou à la condamnation à mort institutionnalisée, notamment dans certains pays africains et du Moyen-Orient. Étymologie[modifier | modifier le code] Origine du terme[modifier | modifier le code] On le retrouve en 1971, dans Homophobia: a tentative personality profile du psychologue Kenneth Smith.

Polémiques sémantiques et critiques du terme[modifier | modifier le code] — Jude 7. Marina Castañeda. Biographie : Marina Castaneda, psychothérapeute, auteur et conférencière, est née à Mexico en 1956.

Marina Castañeda

Elle a vécu au Mexique, aux États-Unis, en France, en Suisse et en Égypte. Trilingue et de formation interdisciplinaire par goût et par conviction, elle a fait des études de lettres, d'histoire, de psychologie et de musique aux universités de Harvard et de Stanford et à l'École Normale Supérieure de Paris, entre autres. Depuis 1988, elle se consacre à l'exercice privé de la psychothérapie à Mexico et à Cuernavaca. Elle a publié plus de 300 articles sur des thèmes psychologiques, politiques et sociaux, et présente régulièrement des cours et des conférences à travers le Mexique. Homosexualité. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Homosexualité

Selon les époques et les cultures, l'homosexualité sous ses différentes formes est plus ou moins acceptée ou réprimée. Au début du XXIe siècle, la tendance, dans les sociétés occidentales, est à l'acceptation et, dans certains pays, à l'établissement d'un statut légal (union civile ou mariage entre personnes de même sexe). Toutefois, 77 pays (principalement en Afrique et au Moyen-Orient) condamnent les auteurs « d'actes homosexuels » à des peines plus ou moins sévères, allant jusqu'à l'emprisonnement à perpétuité ou la peine de mort[8].

Appellations. Introduction. Nous avons choisi comme sujet « L'homosexualité, un long chemin vers l'acceptation ».

Introduction

Il s'inscrit dans le thème « Pouvoirs et sociétés » où se mêlent deux matières à savoir l'histoire-géographie et les sciences économiques et sociales. L'homosexualité est tout autant un sujet historique que actuel qui s'étend sur tous les continents. On remarque que les attitudes à son égard ont été différentes selon les époques et les siècles. Elles vont de l'acceptation la plus large à réprobation la plus forte. Drapeau arc-en-ciel. Le drapeau arc-en-ciel LGBT+.

Drapeau arc-en-ciel

Le drapeau arc-en-ciel est un drapeau représentant des bandes aux couleurs d'un arc-en-ciel. L'usage du drapeau arc-en-ciel est une tradition ancienne commune à de nombreuses cultures. Il évoque généralement la paix, la diversité et l'harmonie. Aujourd'hui, le drapeau arc-en-ciel est connu comme celui de la communauté lesbienne, gay, bisexuelle et transgenre,(LGBTQ+) depuis 1978. Il est également utilisé par des communautés issues de l'Empire inca, comme drapeau de la paix ou comme symbole de mouvement de protection de l'environnement.

Drapeau bouddhiste[modifier | modifier le code] Le drapeau bouddhiste est conçu au Sri Lanka en 1885. Le drapeau utilise les 5 couleurs dégagées par l'aura du Bouddha au moment de son Éveil. Cinq bandes verticales unies se succèdent : Centre LGBT Paris-Île-de-France. Centre LGBT Paris-Île-de-France Historique[modifier | modifier le code] Lutte contre le sida et ses conséquences[modifier | modifier le code] D'abord appelé Maison des homosexualités (1989)[1], puis Centre gai et lesbien CGL de Paris (1993)[1], le Centre a été créé par des militants homosexuels face aux crises provoquées par la pandémie VIH/sida au tournant des années 1980-1990.

Centre LGBT Paris-Île-de-France