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Les découvertes occasionnées

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Formation du système solaire: La Ceinture d'Astéroïdes, la Ceinture de Kuiper, le Nuage d'OOrt. Ceinture d'Astéroïdes, ceinture de Kuiper et Nuage d'Oort La formation du système solaire a non seulement créé le Soleil et ses planètes mais aussi 3 zones constituées de nombreux objets célestes généralement de petite taille. La Ceinture d'astéroïdes: la plus proche du Soleil, entre Mars et Jupiter. La Ceinture de Kuiper: plus loin, au-delà de Neptune, la dernière planète géante gazeuse. Le Nuage d'Oort: située très loin au-delà de la ceinture de Kuiper. Contrairement aux 2 premières ceintures, ce n'est pas un disque aplati, mais une sphère englobant tout le système solaire. Enfin, il faut noter que certains astéroïdes et comètes à courte période possèdent des orbites croisant celle de la Terre et donc capables de heurter celle-ci.

Note: dans les lignes qui suivent, la notion d'Unité Astronomique (UA) est souvent utilisée: c'est la distance moyenne qui sépare la Terre du Soleil. La Ceinture d'Astéroïdes Vaste anneau constitué d’astéroïdes, situé entre Mars et Jupiter. La Ceinture de Kuiper.

Découvertes planètes

La surface de la Lune. L’atmosphère de la Lune est très ténue, avec seulement quelques traces de gaz rares comme l’argon, le néon ou l’hélium. La gravité de notre satellite est en effet trop faible pour retenir une atmosphère significative et le vent solaire a depuis longtemps balayé les quelques traces résiduelles. Cette absence d’atmosphère est responsable d’une très grande amplitude thermique, la température passant de -170 degrés Celsius sur la face nocturne à 120 degrés sur la face exposée au Soleil. Le champ magnétique de la Lune est très faible et fortement variable suivant la région considérée. L’analyse des roches lunaires a cependant révélé que la Lune a connu un champ plus fort à une époque où son noyau de fer était liquide et en rotation. Ce champ a cependant presque entièrement disparu car le noyau s’est finalement refroidit et solidifié.

Les cratères La surface de la Lune nous est bien connue aujourd’hui. L’astronaute et géologue Harrison Schmitt lors de la mission Apollo 17 en 1972. Les mers. La toxicité des poussières lunaire et martienne. La toxicité des poussières lunaire et martienne Une odeur de poudre sur la Lune (I) Ainsi que nous l'avons appris au cours des missions Apollo dans les années 1960 et 1970, la poussière lunaire est extrêment abrasive et omniprésente. En l'espace de quelques heures de travail à l'extérieur du module lunaire, toute la combinaison des astronautes, de la tête aux pieds, s'est couverte d'une fine pellicule de poussière grise collant comme du talc, griffant les objectifs et corrodant les joints ainsi qu'en témoigne la combinaison d'Harrison Schmitt présentée à droite.

Par chance, le contact avec la poussière lunaire n'était que passager et n'occasionna jamais de graves problèmes. Dans tous les cas ils devront trouver une méthode efficace pour éviter que cette poussière ne s'accumule dans les lieux de vie. Telle est la conclusion alarmante à laquelle est parvenu le Dr Russell L. Toutefois, deux événements sont significatifs. Réaction de la poussière lunaire aux UV Prochain chapitre. L'eau découverte sur la Lune aurait la même origine que celle présente sur Terre. Selon une équipe de chercheurs, l'eau retrouvée dans le manteau de la Lune aurait la même origine que celle située sur Terre : elle proviendrait de météorites primitives. Il y a 4,5 milliards d'années, la Lune se formait à partir de débris en fusion issus de l’impact entre la protoplanète Théia (de la taille de Mars) et la Terre primitive.

Or, depuis longtemps, les scientifiques estiment que la chaleur dégagée lors de cette collision aurait dû empêcher les éléments composants de l'eau (hydrogène et oxygène) d'être présents dans les strates profondes de la Lune, les poussant plutôt à s'évaporer. Avez-vous déjà partagé cet article? Partager sur Facebook Partager sur Twitter Pourtant, les engins de la NASA comme l'étude d'échantillons lunaires ramenées par des missions Apollo ont confirmé qu'il y avait bien de l'eau sur la Lune à sa surface comme en dessous. De l'eau venue de météorites primitives "Les mesures en elles-mêmes ont été très difficiles.

Un mystère partiellement élucidé.