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Ces personnes qui attendent dans le froid sont-elles des Apple Addicts ou des SDF ? Sous ce titre qui pourrait en offenser plus d’un, nous cherchons en fait à prouver l’absurdité de notre monde. Contexte : Il y a 14 ans, jour pour jour, ouvrait le premier Apple Store à Tyson Corner, en Virginie. A chaque nouvelle sortie de produit, c’est devenu un rituel, les Apple Addicts viennent faire la queue des heures, voire des jours à l’avance pour être les premiers à acheter le nouvel iPhone ou un nouvel iPad. Mais saurez-vous reconnaître un fan Apple d’un sdf ? On commence avec un facile : Comme vous êtes futés et vifs d’esprit, vous aurez remaqué le discret logo Apple au dessus de ces personnes. Allez, après cet échauffement, nouvelle image : Bon ok, là encore, le sourire crétin du mec de gauche et les pulls bleus identiques des deux zozos de droite ont dû vous mettre la puce à l’oreille.

Derrière ces deux piétons, se trouvent deux tentes, d’après vous, sont-ce des SDF ou encore des fans hardcore d’Apple ? Hop suivant. Alors ? Une petite dernière, attention il y a un piège. Apple, fruit de la passion. Comme Nespresso, Free ou Harley-Davidson, mais à un niveau inédit, Apple a créé des clients dépendants qui deviennent les meilleurs agents de la marque. Enquête sur les ressorts d'un attachement pas toujours rationnel. LE MONDE CULTURE ET IDEES | • Mis à jour le | Par Raphaëlle Rérolle Ce sont de banales files d'attente, mais le monde entier les a vues : des centaines de personnes sagement alignées devant les boutiques Apple - pardon, les Apple Stores - plusieurs heures avant leur ouverture. Tout ça dans l'espoir d'acheter une machine, pourtant disponible à peu près partout, et en quantité largement suffisante, au moins à terme.

Le 22 septembre, vingt-quatre heures après son lancement, l'iPhone 5 avait déjà trouvé 2 millions d'acquéreurs, soit le double du 4S, son prédécesseur, et 4 fois plus que son "ancêtre", le 4. Et il y a fort à parier que le lancement d'une mini-tablette iPad, le 26 octobre, va provoquer une montée de fièvre acheteuse. Et d'une marque très puissante. My name is Richard and I am an addict – an Apple addict | Richard Seymour | Opinion. Help me. This is not normal behaviour. I saw the Apple Watch and didn’t think, “That is a preposterous piece of absurdly overpriced crap”. I saw the Apple Watch and thought, “Come to me, you thing of beauty, for I must have Siri on my wrist”. If I am not to turn into a younger Stephen Fry, reacting to every new technological device like a four-year-old on a sugar high and ejaculating amazement and wonder with every new tweak, it may be time for an intervention.

The case against Apple is well known and convincing: it is monopolistic and exercises a sort of nannyish tyranny over its users – hence the constantly renewed “jailbreak” software. The Apple that in 1984 railed against Big Brother has become Big Brother. The technological basis for Apple’s products, as Mariana Mazzucato has pointed out, was developed entirely in the public sector. What Apple has effected, just like Microsoft before it, is an act of enclosure. Not only this, but it isn’t even necessarily better technology. Évangéliste d'Apple. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Un évangéliste d'Apple, également appelé un évangéliste de Mac, un proMac ou un Apple fanboy, est un évangéliste technologique des produits Apple. Historique[modifier | modifier le code] Le plus connu des évangélistes d'Apple est l'ex-employé Guy Kawasaki. Il est l'un des premiers à utiliser l'approche évangéliste (en) en marketing afin de promouvoir une marque d'ordinateur via un blogue.

Apple a déjà hébergé un site du genre intitulé Why Mac? Notes et références[modifier | modifier le code] Annexes[modifier | modifier le code] Articles connexes[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code] Claire Berthelemy. « Chez Apple on ne s'engage pas à la légère [archive] » sur OWNI. Rue89.nouvelobs. Genève: «Nous, les Apple-Addict» - High-Tech. Sept heures devant l’Apple Store des Rues- Basses, à Genève. Plus de 300 personnes attendent l’ouverture du magasin pour la sortie suisse de l’iPhone 6.

Des mordus de la marque ont passé la nuit dans la rue. «Je suis arrivé hier à 18h et j'ai dormi sur place, explique Haris Husakovic. Ça fait quatre années d'affilée que je suis le premier à avoir l'iPhone à Genève et j’aime ça. On me connaît bien ici», lance excité le webmaster de 25 ans. Le jeune homme a d’ailleurs crée une page Facebook, «Nous, les Apple-Addict» qui comptabilise près de 18’000 j’aime. Les portes ouvrent à 8h sous les applaudissements et les cris de la foule. D’autres semblent un peu dépassés par les événements. La queue ne désemplira pas d’ici la fin d’après-midi. . (24 heures) Are we becoming addicted to Apple? Ten years ago, Apple Macintosh made the expensive computers that the cool people used. The egg-shaped iMac G3, for example, proclaimed that you were a graphic designer living in a loft apartment in San Francisco.

Or might be one day. But if you wanted to save money, or if you were a serious tech nerd who thought gushing over translucent turquoise plastic was lame, not cool, you could safely dismiss "the cult of Apple". Then came what the author Malcolm Gladwell – in a straight-out-of-the-box work of pop sociology devoured by Apple users everywhere – calls the tipping point: the iPod. This was the first Apple product that blew its rivals out of the market. By the middle of the last decade, every Apple product release became a media event. Where once the cool guys used Apple, now you weren't cool if you didn't use Apple. All of which was thanks to Steve Jobs, the gaunt and inscrutable CEO, whose cultivated air of mystery lends credibility to the notion of an Apple cult.

Outside Palo Alto apple store following Steve Job%27s death. Medias - Actualite - Apple-n-a-pas-des-clients-mais-des-fanatiques-558624LeJDD.fr. Pour la sortie de l'iPhone 5, certains fans n'ont pas hésité à faire la queue 48 heures pour décrocher leur Graal. Pourquoi? Tout d'abord, ce genre de situation s'est surtout produit à l'étranger, notamment en Asie, car globalement, les Européens se montrent plus distants que leurs homologues japonais ou américains vis-à-vis d'Apple. Dans tous les cas, si ces clients sont prêts à patienter aussi longtemps, c'est pour… montrer qu'ils l'ont fait. Tout simplement.

Est-ce la seule raison? Pourquoi les produits Apple suscitent-ils autant d'attente dans un contexte de baisse du pouvoir d'achat? Est-ce la raison pour laquelle, par exemple, les vendeurs de l'Apple Store d'Opéra, à Paris, ont formé une haie d'honneur pour applaudir et féliciter les premiers acheteurs?

Lire aussi : L’iPhone 5 suffisamment innovant pour contrer Samsung? Pierre Manière - leJDD.fr. Février | 2016 | Sociologie de la consommation et des usages. Dominique Boullier, Sociologie du numérique. Texte intégral 1 The Economist, édition du 27 février - 5 mars, 2010 1En 2013, 2,5 trillions d’octets de données étaient produits chaque jour. Sous l’effet de ce que The Economist a qualifié de data deluge1, le numérique s’est disséminé partout dans notre vie quotidienne, dans nos interactions, dans nos déplacements et dans nos espaces de travail.

Massive, la présence d’Internet, des réseaux, des médias et de l’informatique bouscule l’économie, la politique, les usages et jusqu’aux opérations cognitives de tout un chacun. 2 Le numérique a été analysé avec le prisme du genre, de la génération, du couple et de la famille. 2En guise d’introduction, Boullier rappelle que les usages du numérique ont d’abord été étudiés au regard des caractéristiques socio-culturelles et situationnelles des usagés2. 4 Pour donner quelques ordres de grandeurs, en 2015, Facebook réunit 1,49 milliard d’utilisateurs et (...) 5 Cardon Dominique, « Le design de la visibilité. Haut de page Notes. Apple consommation. Résultats de recherche. iPhone : pourquoi on ne peut plus s'en passer. Un téléphone Apple ? Steve Jobs fait la moue quand, pour la première fois, le Français Jean-Marie Hullot lui parle de ce projet en 2001. Le patron visionnaire n’y croit pas vraiment. Il faudra quatre ans pour le convaincre, quand, voyant que les téléphones grignotent peu à peu des parts de marché aux appareils photo, il s’inquiète pour son produit phare : l’iPod.

Son lecteur MP3 réalise alors à lui seul la moitié du chiffre d’affaires d’Apple. Heureusement pour lui, à l’époque, les téléphones qui lisent de la musique manquent cruellement d’ergonomie et les quelques écrans tactiles sur le marché nécessitent l’usage d’un stylet. Heureusement, Jobs a une carte en main : ses équipes travaillent sur un projet de tablette (l’iPad n’est pas encore né) doté d’une technologie novatrice, le multi-touch, soit la capacité de toucher plusieurs endroits de l’écran pour des opérations spécifiques, comme faire défiler un carnet d’adresses d’un doigt ou zoomer avec deux.

Apple, fruit de la passion. CDI - LYCEE GENERAL ET TECHNOLOGIQUE MARIE CURIE - Résultats de recherche.