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Post élections européennes

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Test démocratique pour l’Europe : les citoyens ont leur mot à dire. En proposant un candidat pour la présidence de la Commission, le Traité de Lisbonne demande au Conseil européen de «tenir compte du résultat des élections au Parlement Européen» et affirme que le président de la Commission «doit être élu par le Parlement Européen». Ces instructions, ajoutées au Traité de Lisbonne par les gouvernements de l’UE, furent considérées comme une véritable rupture avec le passé. A partir de maintenant, le chef de l’organe de décision le plus puissant de l’UE serait ainsi élu de manière plus transparente et démocratique. Nous trouvons que le fait de prétendre que ces modifications du Traité n’ont pas de signification, comme certains chefs de gouvernement l’ont fait, est déloyal.

En tant que chefs d’Etat et de gouvernement, ils pensent que le choix du président de la Commission leur impute, et que le rôle du Parlement Européen est de le ratifier. Selon cette interprétation, le Parlement peut poser son veto, mais ne peut pas prendre d’initiative. Renforcer le pouvoir limité de l'Europe. Les résultats des élections parlementaires européennes du 25 mai sont aussi déconcertants qu'ils sont choquants. Aucune théorie ne permet en effet d'expliquer les différents résultats nationaux. En Allemagne, où les politiques d'assistance financière de l'Union européenne et les initiatives de la BCE ont suscité une profonde controverse, la campagne électorale s'est révélée remarquablement terne et consensuelle.

En revanche, en France où ni les unes ni les autres n'ont fait l'objet de débat au moment de la crise, elle a tourné autour des thèmes des eurosceptiques. Ni les variables économiques de type croissance du PIB, ni les variables sociales telles que le chômage ne peuvent expliquer pourquoi l'Italie a voté en masse pour le Parti démocrate de centre-gauche du Premier ministre Matteo Renzi, alors que la France mettait en tête le Front National.

Des chiffres déroutants Au sein des pays excédentaires, les eurosceptiques se sont révélés puissants en Autriche, mais pas en Allemagne. Horizons médiatiques. Les « disparus » emblématiques du nouveau Parlement européen. Certains eurodéputés très médiatiques n'ont pas pu conserver leur siège au Parlement européen. La montée du Front National en France ou la débacle des libéraux au Royaume-Uni ont fait sauté quelques têtes. Un article du réseau EurActiv. Les eurodéputés se sont échangé des messages de félicitations, mais aussi de regrets, à la suite des européennes. On parle même de « condoléances » pour certains députés européens qui ne sont pas parvenus à conserver leur siège. Nombre de ces candidats n'ont pourtant aucunement l'intention de se retirer de la vie politique. Catherine Trautmann passe à la trappe En France, Catherine Trautmann, l'ancienne présidente des socialistes français au Parlement européen, n'a pas pu obtenir un nouveau mandat dans la circonscription de l'Est.

L'eurodéputé verte Sandrine Bélier, tête de liste dans l'Est aussi, a également été victime de la montée du FN dans la région. Campagne de la CDU trop eurosceptique « Je ne serai pas eurodéputé au prochain Parlement européen. Comment sera "élu" le futur président de la Commission européenne ?

Qui succédera à José Manuel Barroso, l'actuel Président de la Commission européenne ? Avec le renouvellement du Parlement européen, il s'agit de l'autre grand enjeu des élections européennes qui ont eu lieu du 22 au 25 mai 2014. Le scrutin de mai pourrait bien avoir, pour la première fois, un impact décisif sur la désignation du futur président de la Commission européenne. Avec le traité de Lisbonne, il est en effet désormais probable que le président de l'exécutif bruxellois soit de la même couleur politique que le parti vainqueur des élections.

Au moment du vote, les électeurs ont donc choisi, non seulement un parti, mais aussi son représentant pour ce poste central des institutions européennes. Cette personnification de la fonction a permis de susciter un certain regain d'intérêt parmi les électeurs alors que la courbe de l'abstention s'est inversée pour la première fois depuis les premières élections européennes (43,09% de participation cette année contre 43% en 2009). Quelle est l’influence des réseaux sociaux sur les Européennes ? A quinze jours des Elections Européennes 2014, la toile voit naître des comptes Twitter, des pages Facebook, des débats à coups de hashtags et des tribunes de 140 signes. Pour leur première participation à une élection européenne, les réseaux sociaux ont-ils réellement une influence sur cet événement ? Du 22 au 25 mai se déroulent les élections européennes 2014. Plus de 500 millions de citoyens sont appelés aux urnes et pour la première fois les réseaux sociaux participent à l’événement.

Alors, Facebook et Twitter ont permis de parler des élections et de ses thèmes clés sur la toile bien avant le lancement des campagnes officielles. Un soufflé qui est bien vite retombé semble-t-il car même si l’on peut penser que les réseaux sociaux allaient avoir un impact conséquent sur l’électorat ou le taux de participation -en touchant par exemple la jeune génération, leur influence est relative.

Dans le cadre de cette communication de masse, l’image du candidat est parfaitement travaillée. Décrypter la communication européenne | Page 3. Avec un appel d’offre en cours de plus de 30 millions d’euros sur 5 ans pour des services intégrés de production et de diffusion audiovisuelle, la Commission européenne en profite pour redéfinir sa stratégie de communication audiovisuelle, en ne s’adressant plus seulement aux professionnels des médias… Stratégie audiovisuelle actuelle essentiellement destinée aux professionnels des médias Réunions institutionnelles, visites officielles, conférences de presse, signatures de traités, les services audiovisuels de la Commission européenne produisent du matériel (vidéos, photos, audios) au cœur de l’actualité des institutions européennes, essentiellement destinée aux professionnels des médias, via notamment : Stratégie audiovisuelle nouvelle autant destinée aux professionnels qu’au grand public La communication de la Commission européenne, substitut du travail des professionnels de l’information auprès du grand public ?

Stratégie.