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July 2o12

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Syrian War of Lies and Hypocrisy by Robert Fisk. Has there ever been a Middle Eastern war of such hypocrisy? A war of such cowardice and such mean morality, of such false rhetoric and such public humiliation? I'm not talking about the physical victims of the Syrian tragedy. I'm referring to the utter lies and mendacity of our masters and our own public opinion – eastern as well as western – in response to the slaughter, a vicious pantomime more worthy of Swiftian satire than Tolstoy or Shakespeare. While Qatar and Saudi Arabia arm and fund the rebels of Syria to overthrow Bashar al-Assad's Alawite/Shia-Baathist dictatorship, Washington mutters not a word of criticism against them. President Barack Obama and his Secretary of State, Hillary Clinton, say they want a democracy in Syria. Indeed, 15 of the 19 hijacker-mass murderers of 11 September, 2001, came from Saudi Arabia – after which, of course, we bombed Afghanistan. Then we have the heroes of America – La Clinton, the Defence Secretary Leon Panetta, and Obama himself.

International : Les Kurdes marchent vers leur autonomie. Après leurs frères d'Irak en 2003 à la chute de Saddam Hussein, les Kurdes de Syrie (10 % de la population) profitent du chaos actuel pour prendre leur destin en main. Il est minuit moins cinq dans les régions kurdes du nord de la Syrie. Les unes après les autres, les villes échappent au contrôle de Bachar el-Assad pour passer entre les mains de cette minorité non arabe, longtemps opprimée par le pouvoir central à Damas. Après leurs frères d'Irak en 2003 à la chute de Saddam Hussein, les Kurdes de Syrie (10 % de la population) profitent du chaos actuel pour prendre leur destin en main. «Les districts de Qabaneh, d'Afrine, d'Amouda, de Derika Hamko et de Girhelaghé sont désormais gérés par les Kurdes, affirme Khaled Issa, un responsable kurde en exil à Paris.

Il ne reste plus que les villes de Qameshli, Ras al-Aïn, Der Bassié où des discussions sont engagées entre les Kurdes et les autorités locales pour assurer un transfert en douceur du pouvoir.» L'obstacle turc Zones grises. Syrie: les druzes du Golan, partagés, commencent à se retourner contre Bachar el-Assad • International. Selon Lavrov, la position des Etats-Unis constitue une approbation sans équivoque du terrorisme par RT.

Etant données les difficultés à joindre le site de l’agence Sana, et la lenteur des bureaux de l’Onu à publier et/ou traduire certaines interventions, vous trouverez ci-dessous le compte-rendu fait par l’agence syrienne SANA de l’intervention au Conseil de sécurité du délégué permanent de la Syrie auprès de l’ONU, Bachar al-Jaafari « Les pays qui prétendent être soucieux de la loi internationale sont les mêmes qui fournissent à Israël une immunité contre ses crimes dans les territoires occupés New York, 26 juillet 2012 Le délégué permanent de la Syrie auprès de l’ONU, Bachar al-Jaafari, a exprimé sa vive préoccupation devant les tentatives continuelles et empressées de la part de certaines délégations pour détourner les discussions du Conseil de sécurité sur la situation au Moyen-Orient de leur objectif, à savoir : mettre un terme à l’occupation israélienne dans les territoires arabes occupés et le règlement du conflit arabo-israélien sur la base des références bien connues de la paix. et.

Lavrov psychanalyse le bloc BAO (suite) Arab Spring Libyan Winter - Part I by Vijay Prashad | ZSpace. Arab Spring Libyan Winter - Part II by Vijay Prashad | ZSpace. If Alawites Are Turning Against Assad Then His Fate Is Sealed by Robert Fisk. 'Her husband's to Aleppo gone, master o' th' Tiger," Macbeth's First Witch announces, but Shakespeare got his geography a bit wrong. Aleppo is 70 miles from the Mediterranean. It's certainly ancient; Aleppo was mentioned in the cuneiform tablets of Ebla in the third millennium BC and belonged to the Hittites and the Emperor Justinian, its 14th-century citadel walls still lowering today over the revolutionary capital of northern Syria. And that's the point. While the drama of last week's assault on Bashar al-Assad's regime in Damascus stunned the Arab world, the sudden outbreak of violence in Aleppo this weekend was in one way far more important.

As the birthplace of agriculture – the Euphrates is only 70 miles to the east – Aleppo is also the headquarters of the International Centre for Agricultural Research in Dry Areas (Icarda), one of the finest institutions of its kind in the world. Across all of Syria, the revolution has spread. And not without reason does he speak thus. Syrian blood etches a new line in the sand. THE ROVING EYE Syrian blood etches a new line in the sand Pepe Escobar Once upon a time, early in the previous century, a line in the sand was drawn, from Acre to Kirkuk.

Two colonial powers - Britain and France - nonchalantly divided the Middle East between themselves; everything north of the line in the sand was France's; south, it was Britain's. Many blowbacks - and concentric tragedies - later, a new line in the sand is being drawn by Saudi Arabia and Qatar. Between Syria and Iraq, they want it all. Talk about the return of the repressed; now, as part of the North Atlantic Treaty Organization-Gulf Cooperation Council compound, they're in bed with their former colonial masters. Blow by blowNo matter what militarized Western corporate media spins, there's no endgame in Syria - yet. It's 1980s Afghanistan all over again. They burned a lot of Turkish trucks. At first, it might have been just a bad joke. Baghdad, though, publicly condemned the exile offer.

Plainte contre un big brother français en Syrie. Deux organisations de défense des droits humains dénoncent auprès du procureur les contrats de surveillance d'Internet conclus avec le régime de Bachar al Assad. Après Amesys en Libye, les activités de la société Qosmos pourraient faire l'objet d'une enquête. L’étau se resserre un peu plus autour des marchands d’armes de surveillance.

Selon nos informations, la Fédération internationale des droits de l’homme (FIDH) et la Ligue des droits de l’homme (LDH) doivent déposer ce mercredi une dénonciation au parquet de Paris. Ce signalement auprès du procureur vise des sociétés françaises, dont Qosmos, pour leurs activités en Syrie. Dans ce document qu’Owni a consulté, les deux organisations ciblent la participation de Qosmos “aux opérations de répression réalisées par le régime de Bachar El Assad à l’encontre du peuple syrien”.

Surveillance massive Une décision qui n’a pas convaincu les organisations de défense des droits humains. Dans les pas d’Amesys • Illustration par Loguy pour Owni. Haytham Manna : "En Syrie, les groupes armés et le pouvoir ont éradiqué la résistance civile " Le responsable du Comité de coordination pour le changement démocratique, une des composantes laïque et progressiste de l’opposition, plaide pour une reconstruction de la résistance civile afin d’imposer une transition démocratique.

On assiste à une offensive armée à Damas et à Alep contre le régime. Comment cela est-il organisé ? Peut-on parler d’un commandement unifié de ces groupes armés ? Haytham Manna. Il y a une dizaine de jours, le régime a commencé à préparer le ramadan à sa façon, comme il l’a fait l’année dernière : empêcher qu’il ne soit au service du mouvement populaire. Le régime syrien est-il aussi uni qu’il y paraît ? Haytham Manna. Est-ce que le mouvement populaire, pacifique et démocratique, à l’origine de la révolte qui a éclaté l’an dernier, ne se trouve pas dépossédé par ces groupes armés et fortement islamisés ?

Haytham Manna. L’opposition est divisée. Haytham Manna. Dans les solutions, il y a le plan Annan. Haytham Manna. Lire aussi : Observer la Syrie et se souvenir du Nicaragua (Liberation News) par Richard Becker. Le 18 juillet, une énorme explosion a tué ou gravement blessé plusieurs hauts officiels de la sécurité syrienne. Tandis que « l’Armée Syrienne Libre » revendiquait l’attentat à Damas, l’opération hautement sophistiquée portait la marque non pas d’un groupe paramilitaire crée récemment, mais celle de la CIA ou du Mossad. L’attentat fut salué par le Secrétaire à la Défense US Leon Panetta comme le signe d’un « véritable élan » pour l’opposition soutenue par l’occident.

Le New York Times, dans un article daté du 19 juillet en première page, exaltait les auteurs de l’attentat pour le « perfectionnement » de leur technique. La Maison Blanche et le Département d’Etat ont aussi exprimé une satisfaction à peine voilée. Il serait impossible d’imaginer de tels propos dans la bouche des responsables politiques de Washington et New York et leurs propagandistes des grands médias devant un véritable mouvement progressiste ou révolutionnaire. Richard Becker. Syrie : Quoi d'autre après la volée de flèches empoisonnées US contre la citadelle damascène ? (Al-thawra) par Amin HOTEIT.

Merci Monsieur Gracchus de me confirmer, indirectement par vos propos, que vous êtes bien dans la ligne du FUKUS. Et surtout merci pour me donner le plaisir de démonter une succession de sophismes. En effet, c’ est mon dada de déduire la vérité, non des faits, mais à partir de la rhétorique de ceux qui les rapportent ou commentent. La vérité se trouve toujours là où la rhétorique est honnête. Quand un Fabius et un Hollande braillent que "Assad massacre son peuple", j’ ai déjà choisi mon camp. Vous aussi, il me semble. Vous êtes un très grand humaniste pour venir au secours des peuples qui vont se faire massacrer. La ligne du FUKUS c’ est de faire fi du droit international et du droit des peuples à disposer d’eux mêmes, et justifier l’ emploi de la force brute, celle physique et celle des médias contrôlés par ce FUKUS, pour arriver à leur fins géopolitiques.

Accepteriez vous de reconnaître cela ? Il en va du peuple cubain comme de nombreux autres en Amérique Latine et ailleurs. La bataille de Damas a commencé. Venant de l’étranger, les "Contras" ont débuté leur invasion de la Syrie en prenant des postes frontière. Voici cinq jours que Washington et Paris ont lancé l’opération « Volcan de Damas et séisme de la Syrie ». Il ne s’agit pas d’une nouvelle campagne de bombardements aériens, mais d’une opération de guerre secrète, comparable à celle conduite à l’époque Reagan en Amérique centrale. 40 à 60 000 Contras, principalement libyens, sont entrés en quelques jours dans le pays, le plus souvent par la frontière jordanienne.

La majorité d’entre eux sont rattachés à l’Armée « syrienne » libre, structure paravent des opérations secrète de l’OTAN, placée sous commandement turc. Certains sont affiliés à des groupes de fanatiques, dont Al-Qaida, placés sous commandement du Qatar ou d’une faction de la famille royale saoudienne, les Sudeiris. Les généraux Hassan Turkmani, Daud Rajha et Assef Chawkat, tombés au champ d’honneur, le 18 juillet 2012. La bataille de Damas devrait reprendre cette nuit. Thierry Meyssan à propos de la bataille de Damas, Syrie, le 19 juillet 2012, 18 heures. Afrique Asie. {*style:<b> </b>*} Les pires conjectures formulées au premier semestre 2011 concernant les mouvements de révolte arabes deviennent aujourd'hui réalité.

Je les avais largement exposées dans divers ouvrages et revues [1] à contre courant d'une opinion occidentale généralement enthousiaste et surtout naïve. Car il fallait tout de même être naïf pour croire que, dans des pays soumis depuis un demi-siècle à des dictatures qui avaient éliminé toute forme d'opposition libérale et pluraliste, la démocratie et la liberté allaient jaillir comme le génie de la lampe par la seule vertu d'un Internet auquel n'a accès qu'une infime minorité de privilégiés de ces sociétés.

Une fois passé le bouillonnement libertaire et l'agitation des adeptes de Facebook, il a bien fallu se rendre à l'évidence. En Tunisie et en Égypte, les partis islamistes, Frères musulmans et extrémistes salafistes se partagent de confortables majorités dans les Parlements issus des révoltes populaires. Alaouites de Syrie : une revanche sur l’histoire. Les forces de répression utilisées contre les manifestants en Syrie sont essentiellement composées par des alaouites. C’est pour cette raison que, contrairement à la Tunisie ou l’Egypte, l’armée ne fait pas défection, selon un proverbe alaouite contemporain, «Tu es avec Assad, tu es avec toi-même» («anta maâ Assad, anta maâ nefsak»).

Certes, tous les alaouites ne soutiennent pas le régime. Mais au Proche-Orient, ce type de nuance n’a pas court, la guerre civile libanaise, et plus récemment l’Irak, sont là pour en témoigner. Lorsque la violence se déchaîne, la meilleure protection est celle de sa communauté. La constitution d’un réduit dans la région côtière syrienne, où les alaouites seraient en sécurité en cas de perte du pouvoir à Damas, n’est pas une simple spéculation. Même si le but du clan Assad est de dominer l’Etat national, cela n’est pas incompatible avec la construction d’un territoire alaouite où la communauté serait en sécurité. Misérable. Coup d’État. Syrie : À ceux qui jouent des tambours de la guerre ! par Bachar al-Jaafari.

Comme attendu, hier 19 Juillet, la Russie et la Chine ont prononcé leur troisième double veto et déjoué, une fois de plus, le sempiternel projet conçu par « les ennemis de la Syrie » pour pousser le Conseil de sécurité à adopter une résolution totalement injuste lui infligeant encore plus de sanctions illégitimes en vertu du Chapitre VII de la Charte des Nations Unies, tandis que le Pakistan et l’Afrique du Sud se sont abstenus. Suite au vote, le délégué syrien permanent auprès des Nations Unies, le Docteur Bachar al-Jaafari, a pris la parole ; parole qui n’est sans doute pas parvenue aux syriens de l’extérieur et à ceux qui auraient pu être intéressés de l’écouter, étant donné le silence strident imposé aux médias syriens avec la complicité d’Arabsat, de Nilesat et de toutes sortes de censures concoctées par des pays arabes et occidentaux qui s’évertueraient à instaurer des libertés, notamment la liberté d’expression !

Merci Messieurs. Dr Bachar al-Jaafari. L'opposition syrienne : qui produit le discours ? (The Guardian) par Charlie SKELTON. C’est un cauchemar qui se déroule en Syrie, dans les maisons d’al-Heffa et dans les rues de Houla. Et nous savons tous comment l’histoire va finir : avec des milliers de soldats et de civils tués, des villes et des familles détruites, et le président Assad battu à mort dans un fossé. C’est l’histoire de la guerre en Syrie, mais une autre histoire doit être dite. Une histoire moins sanglante, mais néanmoins importante.

C’est une histoire des faiseurs de contes : les portes paroles, les « spécialistes de la Syrie », les « militants démocrates. » Les faiseurs de déclarations. C’est une histoire sur les membres les plus cités de l’opposition syrienne et leur connexion au business anglo-américain de fabrication d’oppositions. Il est important de le souligner : enquêter sur la trajectoire d’un porte-parole Syrien ne revient pas à mettre en doute la sincérité de son opposition à Assad. . « Le temps est compté » [Le sable s’écoule dans le sablier] a déclaré Hillary Clinton dimanche. Radwan Ziadeh. Suicide bombers of the world, unite. THE ROVING EYESuicide bombers of the world, unitePepe Escobar It is, literally, a bomb. What kind of wily actor managed to get the precious intel needed to penetrate, disrupt and destroy a meeting at the National Security building in Damascus - killing Defense Minister Dawoud Rajha and his deputy Assef Shawkat, Bashar al-Assad's brother-in-law?

What really happened is still murky. Reuters said it was a suicide bomber working as a bodyguard for Assad's inner circle. Agence France-Presse reported it was a suicide bomber detonating his belt. So who was it? US Secretary of State Hillary Clinton, five months ago, came up with a non-denial denial by in fact admitting that Washington was working side by side with al-Qaeda in Syria supporting the Not Exactly Free Syrian Army (FSA). [1] The FSA - out of its Turkey digs - wasted no time in claiming responsibility; it was an improvised explosive device (IED) planted inside the room. And that may be a clue to what comes next. Notes:1. Refondation énergétique du Moyen-orient : la plaque tectonique syrienne par Chems Eddine CHITOUR. Thierry Meyssan sur l'agression de la Syrie et la diplomatie de François Hollande.

Thierry Meyssan sur le massacre contre la liberté d'information à Al-Ikhbariya 30 juin 2012. Les détails du plan états-unien contre la Syrie. Le cœur du régime syrien touché de plein fouet à Damas. Les dissonances sur la transition en Syrie se font déjà entendre - ONU / Syrie. Le Pentagone établit que l'avion turc a été abattu dans l'espace aérien syrien. L'accord de Genève ouvre la voie à l'ère post-Assad.